Et puis soudain ce froid dans le dos...
Non, il n'y aura plus d'ailleurs
Où épancher un cœur trop gros
Et toi partie, maintenant j'ai peur!
Tu étais la dernière épaule
Où déposer une tête lourde
Les sentiments pleurent comme un saule
Et toutes les oreilles sont sourdes!
Alors, soudain ce froid dans le dos
Se sentir seule, abandonnée...
Et puis pour toi, ces derniers mots...
Dans mon cœur tu restes lovée!
J.G.
Commentaires
MERCI chers ami(es) d'A et L pour votre visite et la chaleur de vos propos.
Belle semaine à tous
Amitiés
Jacqueline
Très émouvante déclaration.
Amicalement
Josette
Très émouvant, une note de tendresse termine ce beau poème ...
Un effet papillon sur l'épaule.
Que dire chère Jacqueline.
Ces mots sont émouvants.