Là-haut, les secrets.
En bas, l’oubli.
Les yeux déploient leur récit.
Comme une longue respiration recherchant
les matins immobiles,
la chevauchée fantastique s’empare des corps,
par delà les jours ensorcelants.
La pluie ruisselle sur ses cheveux
et le soleil à venir s’étend déjà sur nos espoirs.
L’amitié nous parle du temps
où l’absence chante doucement
les demeures paisibles et les rencontres.
Au bord du chemin, nous épousons les chimères.
Julien Boulier le 05 avril 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3436674411
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