Parfois la lumière de ton visage
et la forme de tes mains
s’emparent de ma vie.
Silences et murmures mystérieux.
Le corps s’épanouit.
Dans l’arbre, je vois tes bras, tes cheveux.
Ta silhouette envahit les feuillages.
Je te rejoins d’un regard,
et tes yeux embrassent nos âmes.
Emotion, voyage intérieur.
Ce tableau nous transporte sur les toits
d’où nous observons la vie tranquille des villages,
secrètement, et nos yeux se ferment.
Julien Boulier le 04 avril 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3436603111
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