Comme des yeux qui nous regardent. Le jour et la nuit.
Les chemins de nos rêves, l’été ou l’hiver,
passent aux carrefours du temps.
Espaces imaginaires qui, toute la vie,
nous serrent dans leurs bras.
Tous les ciels, à toute heure venus,
illuminent les montagnes de nos souvenirs.
Ombres intérieures. Eblouissements.
Saisons qui traversent le sommeil.
Voyages en altitude.
Mystiques parcours des étoiles
venues nous saluer de très haut.
Passons l’hiver.
Julien Boulier le 17 mars 2018
poème déposé Sacem : code oeuvre 3435947211
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