En ce printemps 2020,
jamais, depuis des décennies, le ciel n'avait été aussi pur.
La profondeur des bleus donne le tournis à l'artiste que je suis.
Sans doute, les peintres de la Renaissance ont-ils connu cet azur sublime,
cette transcendance qui les a hissé au plus haut de l'excellence,
sans doute les peintres impressionnistes,
ceux des campagnes, ceux de Bretagne, de Barbizon,
ont-ils pu sortir de l'atelier et voler,
dans les célestes turquoises,
qui nous font tant rêver...
Regardons ce ciel pur et profitons, évadons nous un instant...
LM
Commentaires
Un petit bol d'air qui régénère.
Merci Robert Paul !