Vous embrasser,
je ne peux point,
alors je vous écris,
de vous je suis si loin,
entendez-vous ma vie ?
Ce cri de moi,
fait de silence pour vous,
est devenu si bleu, parfois noir,
sur le blanc, il s'inanime, se brise ;
c'est lorsque je vous écris,
faute de vous étreindre.
Même vous prendre la main
est mon plus grand dessein,
entendre votre cœur battre,
est l'orage que je guette,
point terrifiant, ni sombre,
mais fabuleusement clair.
Je vous écris tout le temps,
à l'ombre du soleil,
en cachette.
NINA
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