Que vous êtes libre ! Auprès de vous, les rochers, lentement,
renaissent des abîmes de la Terre.
Non , vous ne me lassez jamais. Toujours nous nous étreignons
jusqu’aux contacts des mains.
Dites-moi, quels mots viendront grandir notre cause ?
Sans doute, toute épanouie dans votre cœur,
votre altitude nous observe.
Enfin, de nos journées nous fûmes libérés.
Dans le vent vous rentrez aujourd’hui
sous le toit de notre demeure.
Une dernière fois avant le sommeil,
vous écoutez nos respirations,
réunies au moment de se pencher au cœur des songes nocturnes.
Julien Boulier le 16 avril 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3436982811
Commentaires
Et demain
quand les betes de la nuit
se faufileront
Le Soleil se livrera
Âun jeu charmant
Épouser le monde
en un rien de temps!