En réponse à "Alors que je paresse" de Suzanne Walther-Siksou
Ò Merci ! Chère Suzanne,
Paisible et bienheureuse âme
Recevant de la beauté la manne.
Voici une noble sagesse Zen
Qu'il faudra bien que j'apprenne
Avec ce fuyant lâcher-prise
Sur lequel j'ai si faible emprise.
Un vécu ancré dans le présent
Plein, dans l'Ici-maintenant
Comme seuls savent vivre les enfants
Sans effort, spontanément.
Moi l'infatigable Passionaria
Qui vibre et tourbillonne
Un jour, même lointain il faudra
Que cette quiétude me redonne
L'éternel bonheur d'enfant
Qu'à mon cœur le végétal fredonne.
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