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administrateur littératures

  Et suite à la publication de mon billet "Littérature: les bons sentiments font-ils encore recette?", penchons-nous un instant sur la crédibilité d'un récit. Est-elle un critère de sélection ou de non sélection d'un manuscrit? Lorsqu'on est grand lecteur, on rencontre souvent, dans les romans principalement, des situations peu réalistes, voire fantaisistes, qui font sourire, même davantage: rigoler, se pâmer...pari réussi pour l'auteur qui, par son récit, a accroché; le lecteur assidu continue alors à se gaver de l'ouvrage jusqu'à la dernière ligne. Probablement que l'acceptation d'un roman par un comité de lecture dépend de la ligne éditoriale de la maison d'édition sollicitée...mais souvent les frontières sont floues, l'on découvre en rayon des oeuvres mélangeant les genres, les critères ne sont pas nets, ce qui revient à penser qu'un manuscrit doit avant tout accrocher et, si ce n'est pas le cas, il sera rejeté, l'éditeur invoquant alors le manque de crédibilité comme le trop plein de bons sentiments.

  Et alors? La vie n'est-elle pas déjà suffisamment sombre, voire angoissante, pour certains? Ne peut-on pas compenser, contrer la négativité ambiante par un peu de pureté et de beauté à faire rêver? Ne peut-on pas, quand on le souhaite, décoller de la planète Terre afin de poser son esprit - et le reste - en d'autres lieux? Des lieux oniriques, plaisants? Affaire à suivre...

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