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Christophe rejoint "Aline"

Christophe rejoint "Aline"

Bonjour mesdames et messieurs! A l’époque où la chaîne unique de l’ex-R.T.A (radio télévision algérienne) cessais d’émettre à 22h30’, c’était le transistor aux grosses piles plates qui prenait le relais jusqu’à  je sombre dans les bras de Morphée. Mais avant, j’allais de la station d’Alger Chaîne III vers la Radio Monte-Carlo (RMC) où j’écoutais les tubes au hit-parade de la variété française, dont  l’indémodable « Les paradis perdus » de Christophe qui passait en boucle avec entre-autre «Appelez-moi frénésie » de Michel Jonasz  (1973). Aujourd’hui qu’il est loin d’ici, je me sens redevable envers Christophe à qui je dédie cette modeste dépêche publié aujourd’hui sur le journal « Liberté » pour lui dire merci pour tant de bonheur qu’il m’avait donné. Repose en paix l’artiste ! Que la terre te soit légère et que tes « mots bleus » soient l’épitaphe gravée pour l’éternité sur ta pierre tombale. Bonne lecture à vous mes ami(e)s et agréable journée. Louhal Nourreddine, le 18 avril 2020.12273324473?profile=original

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Commentaires

  • administrateur partenariats

    Toute ma jeunesse aussi, les slows sur lesquels j'ai dansé avec un amoureux, les images défilent, et le souvenir de ces si belles années contraste avec le monde d'aujourd'hui.

    Qui d'autre s'en rappelle ?

    Merci à vous Nourredine.

  • administrateur partenariats
    Il est six heures au clocher de l'église
    Dans le square les fleurs poétisent
    Une fille va sortir de la mairie
    Comme chaque soir je l'attends
    Elle me sourit
    Il faudrait que je lui parle
    À tout prix
    Je lui dirai les mots bleus
    Les mots qu'on dit avec les yeux
    Parler me semble ridicule
    Je m'élance et puis je recule
    Devant une phrase inutile
    Qui briserait l'instant fragile
    D'une rencontre
    D'une rencontre
    Je lui dirai les mots bleus
    Ceux qui rendent les gens heureux
    Je l'appellerai sans la nommer
    Je suis peut-être démodé
    Le vent d'hiver souffle en avril
    J'aime le silence immobile
    D'une rencontre
    D'une rencontre
    Il n'y a plus d'horloge, plus de clocher
    Dans le square les arbres sont couchés
    Je reviens par le train de nuit
    Sur le quai je la vois
    Qui me sourit
    Il faudra bien qu'elle comprenne
    À tout prix
    Je lui dirai les mots bleus
    Les mots qu'on dit avec les yeux
    Toutes les excuses que l'on donne
    Sont comme les baisers que l'on vole
    Il reste une rancœur subtile
    Qui gâcherait l'instant fragile
    De nos retrouvailles
    De nos retrouvailles
    Je lui dirai les mots bleus
    Ceux qui rendent les gens heureux
    Une histoire d'amour sans paroles
    N'a plus besoin du protocole
    Et tous les longs discours futiles
    Terniraient quelque peu le style
    De nos retrouvailles
    De nos retrouvailles
    Je lui dirai les mots bleus
    Les mots qu'on dit avec les yeux
    Je lui dirai tous les mots bleus
    Tous ceux qui rendent les gens heureux
    Tous les mots bleus
    Tous les mots bleus
    Source : LyricFind
    Paroliers : Daniel Bevilacqua / Jean-Michel André Jarre
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