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« En attendant Bojangles » au Centre Culturel d’Eau de Gemmes
Publié(e) par Deashelle le 13 décembre 2018 à 10:00
Poème sur la mort, prière amérindienne magnifique, à lire si vous vous sentez mal suite à la perte d'un être cher.
Publié(e) par Dominique Prime le 15 juillet 2012 à 10:27
De l’art d’être malheureux dans « Capitale de la douleur »
Publié(e) par Robert Paul le 25 août 2012 à 11:30
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Commentaires
Bonjour Stella,
Pendant mon adolescence, par je ne sais quel heureux hasard ou pas, j’ai été fortement attiré par des cultures anciennes et plus particulièrement par la culture celtique et par la culture andine, me suis empressé de me procurer des albums de leurs chants et de pièces musicales et de les faire connaître à mon entourage. Cette attirance est devenue un attachement toujours plus profond à ces cultures. Pourquoi cela ? Il faut croire que ces chants et pièces musicales me correspondent le mieux, mais en quoi me correspondent-elles ? Je pense que nombre de ces chants et pièces musicales ont pour fonds une tristesse mais qu’à ce fonds de tristesse se superpose un élan que l’on peut nommer espérance, et pour ma part, autant qu’il m’en souvienne, j’ai toujours cet état d’esprit, un fonds de tristesse et par-dessus ce que nomme élan, sursaut ou planche de salut, ces choses auxquelles j’ai consacré des centaines de textes. La pièce musicale que vous avez si bien interprétée est à mon sens une illustration de ce que peut être l’espérance qui ne peut se séparer d’un fonds de tristesse, l’espérance qui n’est ni une joie, ni morceau de bonheur, mais chose bien plus significative de la condition humaine. Merci à vous.
Bien à vous. Amitiés. Gil