Vers les cieux du monde des heureux éternels.
Je ne suis pas.
Je n’existe que dans mes pensées,
Quand je les libère du joug d’ici-bas.
Je suis ton parfum au gré des vents.
Oh ! Éole, maître des airs, ne me lâche pas,
Continue à suivre ces senteurs qui m’enivrent.
Oh ! Toi, Éros, maître des cœurs envoutés par la foudre,
Garde-moi sur ton char qui vole vers la lueur, le bonheur, la béatitude.
Fais qu’une étincelle jaillisse de ces yeux
Et, que je puisse enfin,
Libérer ma langue pour avouer mes tourments.
J’ai peur que mes élans ne se heurtent à ce cristal, enchantant.
Peur ? Quel mot affreux ! ne l’avais pas banni de mes songes ?
Que puis –je ? La désillusion me hante.
Courage ! Aie du cœur à l’ouvrage !
Et même un diamant se briserait à ton seul désir.
Il se taillerait de lui-même.
Tu pourras alors le posséder, le caresser l’admirer.
Ses éclats te rafraichiront le cœur.
Tu baigneras alors dans la splendeur.
Je ne suis pas.
Je n’existe que dans mes pensées,
Quand je les libère du joug d’ici-bas.
Je suis ton parfum au gré des vents.
Oh ! Éole, maître des airs, ne me lâche pas,
Continue à suivre ces senteurs qui m’enivrent.
Oh ! Toi, Éros, maître des cœurs envoutés par la foudre,
Garde-moi sur ton char qui vole vers la lueur, le bonheur, la béatitude.
Fais qu’une étincelle jaillisse de ces yeux
Et, que je puisse enfin,
Libérer ma langue pour avouer mes tourments.
J’ai peur que mes élans ne se heurtent à ce cristal, enchantant.
Peur ? Quel mot affreux ! ne l’avais pas banni de mes songes ?
Que puis –je ? La désillusion me hante.
Courage ! Aie du cœur à l’ouvrage !
Et même un diamant se briserait à ton seul désir.
Il se taillerait de lui-même.
Tu pourras alors le posséder, le caresser l’admirer.
Ses éclats te rafraichiront le cœur.
Tu baigneras alors dans la splendeur.
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