Te nommer où tu vas. Les grands temps ou ceux qui font l’invisible.
Tenir ta main là où les chemins se croisent.
Avoir pour manteau ton sourire.
Regarder la vague comme ta voix.
Les possibles se rapprochent. Au jour, la nuit.
Les songes nous transportent vers les contours d’une montagne,
Ou le long d’un aber.
Racines tremblantes et branches rampantes,
Zigzaguant entre la lumière et les reflets.
Miroirs à facettes, pétillantes alchimies.
Sous nos pas, les racines nous délivrent.
Renaissent alors les frémissements de nos âmes,
le scintillement de tes yeux, l’horizon de notre mémoire.
Julien Boulier le 08 avril 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3436751111
Commentaires