Courtoisement, toujours dans tes yeux ces miroirs,
et la pluie à Lauberlac’h avant les soleils de ce mois-ci.
J’entends ton amitié à chaque recoin de sentier,
autour de cet arbre,
comme un géant d’écorce et de lumière.
Sincères nos cœurs sous ses branches.
Un souvenir à midi. Seules, simples journées
qui accueillent ses visiteurs à pieds.
En tout cas je te vois face à la mer
et les voiliers anciens.
Ayant passé l’hiver et projetée vers l’été,
la chaleur de cette journée à chaque seconde,
nous rejoindre ainsi en sculptant le temps.
Julien Boulier le 23 avril 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3437201811
Commentaires
Le tapis de feuilles crissant sous nos pas
les bruissement d'ailes
dans les arbres fous d'oiseaux
et ta main prévenante mes ecarts
les jeunes fleurs fraiches
de leurs corolles nous saluent
Et toute cette magie feerique
qui accompagne notre amitié troublante
comme ce jour frissonnant
qui nous lie.