Les paupières fermées ou les yeux grands ouverts.
Prononcer ton nom.
Délices enserrant nos mains,
les voiliers sillonnent l’océan de ta silhouette,
et tu danses.
Tu fredonnes l’épopée qui sous ton regard,
parcourt ce livre d’un trait.
Rappele-toi quand à notre rencontre,
nous cherchions l’heure où l’arbre est dans nos rêves,
où la forêt est suspendue dans le temps,
où nos pas évoluent sur un fil tendu dans l’espace,
puis continuent le long des chemins,
la tête dans les étoiles.
Julien Boulier le 11 février 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3434606411
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