Petit moment de lecture si la vie vous en en laisse le temps ?
Amitiés à tous,
Robert.
L’Amour ? Ou alors, simplement le besoin de parler, de vider mon cœur…
C’est quoi l’amour ?
Parmi les mots mystérieux, Je relève le mot amour.
Il est pour moi comme un nom « indéfini » !
Une destination aventureuse vers une contrée imaginaire comme le pays de « Rêves-roses », un pays où tout serait possible.
Comment cela se découvre-t-il, l’amour ?
Quand donc commence son apprentissage ?
Avec le premier sourire de la maman ?
Avec les gestes d’affection que l’on prodigue au bébé, ce petit bout d’homme encore incapable de répondre à cette question,… C’est quoi l’amour ?
J’en connais pas mal, je crois, des « amours » !
Il y a, l’amour simple, sans complication, l’amour jeune, celui qui fait dire : C’est qui ton amoureux ?
Il y a, à l’opposé, l’amour vieux, celui qui ne parle plus beaucoup, sinon, avec les yeux.
L’amour très vieux, qui fait dire : T’as prit tes cachets ? Et, tes gouttes pour les yeux ?
Un amour blanc !
L’amour d’un enfant, est-ce, du sentiment de l’enfant, dont on parle, ou d’un sentiment à son égard ?
Et l’amour « rare » Ah oui, le rare, c’est quoi ?
L’amour noir ! La haine, je crois que c’est son nom.
L’amour seul !
L’amour unique. L’inespéré, l’inattendu, le plus merveilleux, le plus rare, le plus sublime,
Le plus pur, celui que l’on dit, platonique.
L’amour des autres, de soi, de Dieu, des enfants, voir « des choses ».
C’est quoi l’amour ? Qui vous l’apprend, qui vous explique les différences, ses différences ou ses nuances ?
L’amour d’une nuit, l’amour gratuit :
Moi, je ne fais pas payer quand j’aime.
L’amour de soi. En ai-je parlé ?
Et celui que l’on dit ; l’amour inconnu. Il n’a pas sa tombe, ou son monument, celui là.
Dernièrement, j’ai même entendu dire, l’amour des mots. Pourquoi pas, puisque de toute façon je ne sais toujours pas dire, c’est quoi l’amour, ou, ce qu’est l’amour ?
L’amour de, ou pour, ma fille, vaut-il l’amour que je porte, à ma fille ?
Amour !
C’est fou ce qu’il y en a des amours, comment peut-on les classer, et par lequel faut-il commencer ?
Je ne suis même pas sûr d’oser dire si ce mot est beau, quelconque, ou banal, peut-être.
Pourtant je l’aime ce « mot » !
Je crois penser même, que je lui voue un culte sectaire….
Comme pour tout questionnement il faut bien tenter de donner une réponse, …
La sienne au minimum.
Voici donc ce que j’en crois.
L’AMOUR !
Pour moi est sentiment proche de celui que l’on appelle l’amitié, mais avec un degré d’importance en plus.
L’amitié c’est comme le « grand frère ». Celui que l’on se choisi, auquel on se lie à vie. Celui pour qui on peut tout renier, tout modifier du déroulement d’une vie, et faire en sorte de répondre à son appel !
Que son appel soit, soit un cri de désespoir, de frayeur, ou un besoin de crier ensemble, sa joie ou son bonheur.
Pour un ami on répond, je suis là mec. Que veux tu ami, …
Que veux tu que je fasse pour toi ?
Qu’en est il de l’amour alors ?
Lui, l’amour, il est, je pense, pareil et différent, un peu comme « le petit frère adoré, (une sorte de « rêve inaccessible, inimaginable ») que l’on espère parfois tout une vie sans jamais que celui-ci n’arrive, parce que la vie, parfois, vous le refuse.
L’Amour c’est un sentiment, comme l’amitié, presque! Mais c’est aussi un sentiment beaucoup plus « coûteux » que l’amitié.
C’est aussi un très beau et très noble sentiment, mais qui exige, un don de soi, total, absolu, inconditionnel.
C’est un sentiment auquel on adhère librement, mais qui, une fois le « contrat signé », vous prend tout ce qui fait ce que étiez jusque là, tout ce qui faisait votre être !
Votre cœur, votre âme, votre vie, tout est donné à la personne élue, à la personne que l’on choisi d’aimer, et pour elle, on ne s’autorise aucune concession.
Le cœur qui bat en vous n’a plus pour fonction, que de faire en sorte de se remuer, pour que celle que l’on aime puisse vivre.
L’âme qui est en nous, se met, pour l’infini, en prière avec les tous Dieux, afin que celle que vous aimez, puisse être couverte de toutes les grâces divines qui la rendront heureuse.
Ces souffles d’air qui entrent en vous, qui vous font vivre, n’existent plus que pour vous donner la force de porter celle que vous aimez dans vos bras.
Que vous puissiez lui tenir la main, là où le danger menace ! Lui offrir votre vie, pour qu’elle survive.
La tirer vers « là haut », pour qu’elle puisse mieux voir combien le monde est beau à l’entoure de ce que vous créez pour elle.
Elle est devenue, votre vie, et, elle sera votre mort.
Parce que, je crois, et il faut le savoir, quand on choisi d’aimer d’amour, on ne survit pas à la mort de « son Amour ».
Notre amour ignore la raison. Puisque l’amour n’a de raison que celle de l’autre, de celui que l’on aime.
L’amour n’est pas un « partage » comme l’amitié, c’est une « fusion de deux êtres » en une seule chose vivante, et qui porte le nom d’Amour.
L’amour, c’est la lumière, des arcs en ciel, des explosions de bonheurs absolus, des moments vécus de façon fusionnelle. Des extases, qu’il est difficile d’expliquer, parce que les mots que nous connaissons sont trop peu intenses, trop « pauvres ».
L’amour c’est si beau, que très rares sont ceux qui peuvent en parler avec précisions, car seuls, ceux qui ont eu l’ultime bonheur de le connaître, le connaître vraiment, dans sa réalité, pourraient tenter de le décrire.
Et, moi, je ne suis pas sûr, d’avoir eu ce bonheur là.
C’est pour cette raison que les mots que j’ai écris jusqu’ici sont, me semble-t-il, si peu ardents, manquant de puissance, et paraissent d’une banalité affligeante.
Alors je vous demande pardon, d’en avoir si mal parlé.
Pourtant je vous le promets, j’ai essayé d’être honnête avec les mots que j’ai employés.
Mais comme personne n’a jamais voulu m’expliquer ce sentiment que vous appelez « l’amour », j’ai agis comme un autodidacte. J’ai dis ce que crois, moi, être juste.
A, et, pour tous les amoureux du monde.
Robert.
Avec mes meilleurs sentiments.
Ceux qui arrivent à naître dans le cœur d’un « enfant battu » !