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Publications de Gilbert Jacqueline (557)

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Un soir... Un livre...

2010  "Insomnies"

Pour s'endormir, on peut essayer de compter les moutons! On peut aussi passer en revue ses rflexions et ses sentiments...

Alors parfois au lieu de sombrer dans le sommeil, on se lève pour mettre de l'ordre dans ses révoltes, ses pensées et pourquoi pas… s'amuser à jongler avec le rythme des mots?

C'est la raison pour laquelle j'ai intitulé ce recueil "INSOMNIES"! Rêvant qu'il se retrouve sur quelques tables de nuit et qu'en le parcourant, le lecteur se sentant compris et moins seul… s'apaise jusqu'à trouver le sommeil...

Un petit extrait :

Sérénité…

 L'odeur du foin coupé

C'est comme le goût de l'été!

Et ta peau parcourue par mes lèvres

C'est ce à quoi je rêve...

La brise mutine décoiffant des cheveux

Comme un désir qui rend heureux.

Entendre le ressac de la mer au lointain

Scander l'espoir que je mets en demain!

Les soucis sont partis loin d'ici

Alors de toutes mes forces de la vie je jouis!

Et si d'aventure je m'étais trompée...

Je repartirais pour d'autres traversées!12273324087?profile=original

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Un soir... un livre...

"Au fil des âges" 2009

De l'adolescence à l'âge mur le regard que l'on porte sur la vie n'est pas forcément différent, ce contrairement aux idées toutes faites.

En mettant bout à bout les textes écrits hier et ceux d'aujourd'hui, j'en ai fait le constat sans m'étonner vraiment...

Ce doit être parce que la poésie pour s'exprimer a besoin d'une réflexion qui, si elle est profonde, est finalement intemporelle...

Un petit extrait avant d'aller dormir?

ON M'A DIT :

On m'a dit : C'est seulement dans la souffrance que l'on est grand.

Je voudrais tant être restée petite, sans peines et sans tourments.

On m'a dit : Il faut fuir le bruit pour trouver la paix et l'oubli.

Je voudrais bien ne plus entendre ce silence qui m'assourdit!

On m'a dit : Si tu veux être sage, veille à ne pas trop rêver.

Je voudrais tant savoir où finit ce cauchemar de la réalité?

On m'a dit : Aux trop beaux serments il ne faut jamais croire.

Je voudrais bien avoir gardé ne fût-ce

qu'un tout petit peu d'espoir!

On m'a dit : Si tu savais! Une si longue et raisonnable prose

Je voudrais bien oublier que sans rien dire

tu contais tant de choses...12273325471?profile=original

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Présentation et bibliographie...

D'aussi longtemps que je m'en souvienne, j'ai toujours été intéressée par le théâtre et la poésie.

Très jeune j'écrivis des poèmes que j'enfuis dans une boite.

Ensuite, il y eut la vie…

Aussi ce n'est qu'en 2009 que je pris le temps d'en envoyer un choix à un éditeur.

Depuis, voici ma bibliographie :

Aux éditions Baudelaire

Au fils des âges…, 2009

Insomnies, 1010

Feuillets d'automne…, 2011

Murmure…, 2012

La vie et plus…, 2013

Funambule…, 2014

La couleur des mots…, 1015

Entre deux pluies…, 2016

Vertiges, 2017

Eclats de voix, 2018

Racines, 2019

Aux éditions Acrodacrolivres

Un petit goût de quinquina, 2015 Roman

Aux éditions Atramenta

Un penny pour vos pensées, 2016 Roman

A fleur de peau, 2016 Nouvelles

Un double des clés, 2017 Roman

Un petit détour, 2019 Histoires courtes

Chez LC Productions

A l'encre de ma vie, 2019, CD avec la complicité musicale de Pascal Michaux (la poésie autrement…)

Contretemps, une pièce de théâtre (en attente d'être jouée fin 2020 ou en 2021?)

Et sur le feu : Un douzième recueil prêt pour l'éditeur, quelques nouvelles et billets d'humeur, et le début d'un quatrième roman….

Boulimique de travail et paresseuse… je suis en vie!

J.G.

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SURNOISE QUESTION!

 Les heures ont ce goût fade des rêves qui s'étiolent!

Pourtant dans têtes en vrac des images caracolent...

Un gros orage craque et la pluie qui dévale

Puis reviens le soleil et la mémoire cavale!

Sur un bateau qui tangue, on respire un grand coup

Mais, l' passé aujourd'hui semble une histoire de fou...

Alors! Un nouveau tour d' un monde sans harmonie?

Ou aurions-nous perdu, l'envie d'avoir envie…?

J.G.

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HISTOIRE COURTE 46

AU SUJET DE LA BËTISE...

On a tout fait pour l'éviter, fatigués de trop la côtoyer cette bêtise ordinaire!

On a cherché des solutions : l'école, l'éducation, les progrès de la science, les règles de bienséance, les religions...et...non! Derrière chacune de ces solutions, elle est tapie comme un zona, attendant le moment de faiblesse pour nous montrer l'étendue de notre dépendance...

Est-elle congénitale? La faute aux gènes, aux neurones déficients? Les plus intelligents en réchappent-ils?

Encore non! Elle s'adapte, elle cohabite, nous manipule, nous fait douter! Elle est là, s'épanouit dans les préjugés, les religions, les lois, les interprétations dirigées, les égoïsmes et même, l'altruisme, où elle fait bonne figure avec son regard à court terme ou pire, sa vision à long terme dégagée de toute réalité!

La bêtise est le cancer de notre société puisque toujours elle est persuadée d'avoir raison...

Alors, une solution?

Au lieu de continuer de tester l'augmentation perpétuelle d'un progrès qui finira par nous détruire, alternant avec des théories improvisées pour sauver le monde, si nous nous penchions sur les racines en espérant l'éradiquer?

Nions le fatalisme, développons notre instinct, observons la nature, redécouvrons l'humilité! Soyons enfin digne de dire NON à trop de TOUT et de nous aimer… avec une simplicité qui elle, n'a rien à voir avec la bêtine!

J.G.

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HISTOIRE COURTE 45 (suite et fin)

-Ce n'est pas possible, pense Catherine lorsque arrivée chez Gabrielle, elle découvre en pleine lumière le visage de celui qu'elle avait pris pour un prêtre!

-Je me doutais que Gabrielle allait inviter les anciens de l'athénée, mais je m'étais persuadée que Marc n'en ferait pas partie. A ma connaissance il avait quitté l'Europe depuis longtemps pour faire carrière à Wall Street! Et voilà que Manu embarque cet homme en noir pour nous indiquer la route, et que là, dans la clarté de l'entrée c'est Marc que je découvre!

J'hésite entre douceur et irritation, ou devrai-je dire, je flotte dans l'irréel ? Et… j'entends sa voix;

-Je vois bien que tu m'as reconnu Cathy, perturbée?

-Je n'en crois pas mes yeux, ce n'est tout de même pas une soirée costumée?

-Pas à ma connaissance, mais cela ne veut rien dire… Par où allons-nous commencer ma belle? Ce jeune homme te ressemble, éclaires-moi, c'est bien ton fils qui t'accompagne? Son géniteur est absent?

A présent Catherine sait, c'est l'irritation qui domine! Ce culot de prendre comme toujours la main en posant les questions! Elle avait presque oublié ce trait de caractère pourtant à l'origine de leur rupture...

Il n'a pas changé, elle réalise maintenant que ce costume improvisé ou pas, n'est à coup sûr rien d'autre qu'un déguisement.

Gabrielle arrive alors tout sourire, avec un petit air de contentement...

-Et bien, je vois que vous vous êtes déjà retrouvés mes chéris! Surprise, surprise ma Cat, tu ne t'y attendais pas hein? dit-elle. Et, s'emparant du bras de Manu, elle l'entraine à l'écart :

-Par ici mon garçon, je te fais découvrir le coin de la jeunesse, tu vas voir, je ne me suis pas moquée de vous, ajoute-t-elle en gloussant.

Marc et Catherine se retrouvent face à face, un serveur passe avec des cocktails et ils trinquent pour se donner contenance. Cette fois, c'est Catherine qui interroge :

-Quand as-tu quitté New-York? Et qu'est-ce que c'est que ce déguisement?

C'est à ce moment qu'un orchestre de trois musiciens dissimulés jusque là, se met à jouer un air d'Aznavour : Non, je n'ai rien oublié, rien oublié...

Catherine devient si pâle que Marc la conduit vers un canapé à proximité et enchaine manifestement ému, lui aussi :

-Et en plus, elle s'est souvenue de notre chanson, elle est démoniaque notre amie! Enfin nous ne sommes plus des ados, qu'est-ce qu'elle cherche au juste?

-Sans doute que nous disions enfin la vérité, murmure Catherine.

                                                                                         F I N.

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HISTOIRE COURTE 45 (suite...)

La soirée avec la jeune Annette, qui finalement n'était pas si timide que la première entrevue avait laissé craindre, avait été positive elle aussi. Il a régné pendant toute la semaine une sorte de Zénitude inhabituelle que les quatre colocataires, à l'initiative d'Annette, ont mis à profit pour réorganiser l'espace dans la bonne humeur.

Lorsque Catherine a débarqué à 5H le samedi avec le linge propre et quelques plats préparés et congelés, elle n'en a pas cru ses yeux :

-Quel ordre! Je suis au bord de l'infarctus! Présentez-moi donc la nouvelle, si c'est son influence, vous avez trouvé la perle rare.

Annette sans se démonter lui proposa une tasse de thé qu'elle venait de préparer, ce qui acheva la conquête de Catherine qui, une demi heure plus tard dans la voiture n'a pas arrêté de parler de la jeune fille et à poser un tas de questions à son sujet, ce qui a fini par lasser Manu.

-Eh Maman, il n'y a qu'une semaine que je la connais, ce n'est pas la femme de ma vie! Et tu sais bien, c'est toi qui le dis sans cesse… un nouveau balai balaye toujours bien, non?

Ils s'arrêtèrent à l'auberge choisie par Catherine et là aussi, furent agréablement surpris. Le lieu était très simple mais réellement charmant et leur deux chambres donnaient sur une terrasse où si le temps restait au beau il pourraient prendre le petit déjeuné.

Après s'être changés il partirent donc à la découverte d'une ferme flanquée d'un moulin où Gabrielle projette de fêter le printemps.

Le soir est tombé et le GPS les fait un moment tourner en rond. Ils arrivent enfin à l'entrée d'une grande allée bordée d'arbres, dans la lueur des phares Manu aperçoit un curé sur le bas côté, il baisse la vitre et demande :

- Mon père est-ce bien ici le chemin pour la ferme du moulin?

-Oui, j'y vais aussi, si vous voulez je monte et vous ndique la route, c'est un peu mal éclairé.

Sans attendre la réponse qu'il n'imagine que positive,  la silhouette sombre ouvre la portière arrière, s'installe et enchaine :

-Vous tournez à droite au gros chêne.

Quelques minutes plus tard une série de torches éclairent un vieux corps de ferme et on devine les ailes d'un moulin à l'allure fantomatique.

… demain suite et fin

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HISTOIRE COURTE 45...

L'INVITATION...

Manu hâte le pas, il sort de la piscine en ce début d'après-midi.

-Et maintenant pourquoi pas un petit jogging jusqu'à la superette?

Enfin détendu, il se sent bien. Le sport lui a manqué ces dernières semaines. Les réunions en vue des travaux en commun enfin bouclées, il reprend son rythme et déstresse enfin.

-Les résultats, on verra bien! pense-t-il, inch Allah!!

-Une nouvelle colocataire arrive en ce début de soirée, elle ne peut être pire que Julia, bordélique à souhait et incapable d'une sortie sans beuverie! Pierre et Sophie en avaient aussi marre que moi, aussi l'annonce de son départ nous a soulagés et nous attendons Annette et son petit air timide avec une curiosité plutôt bienveillante.

Manu achète de quoi préparer un spaghetti bolognaise pour accueillir la jeune fille et dans la foulée, il se laisse tenter par une plante fleurie pour sa chambre. Il se sent d'humeur festive, les courses vite faites, il débarque au kot et avant de monter il se décide à vider la boite aux lettres qui déborde et à faire le tri afin de ne pas s'encombrer de la multitude des pubs que personne ne lit...

-Tiens, Une lettre avec mon nom sur élégante enveloppe bleu azur, c'est quoi çà?.

Il découvre une invitation de Gabrielle Clémentini, à une soirée en l'honneur du printemps, dans une ferme quelque part perdue dans le namurois...

-Cette vieille copie de Maman est toujours aussi fofolle, pense-t-il.

Il faut pourtant bien reconnaitre qu'il a toujours éprouvé de la sympathie pour cette ancienne danseuse qui ressemble maintenant à une sorte de loubard. Elle le fait rire car sous son air sévère elle est pleine d'humour et toujours imprévisible, comme le prouve cette idée de célébrer le printemps.

-Ce Week-end me ferait un break bienvenu, je téléphone à maman dès que j'aurai fini de ranger pour m'assurer qu'elle a aussi reçu l'invitation et qu'on peut y aller ensemble.

Une heure plus tard, chose faite, lorsque Catherine entendit la voix de son fils, très excitée, elle ne lui a pas laissé placer un mot :

-Je ne sais pas si tu as déjà reçu l'invitation de Gaby, mais pas question de te défiler, j'ai réservé un petit hôtel dans le coin, je me suis luxé l'épaule au yoga hier et je ne peux pas conduire longtemps, je compte sur toi! Je te pique à ton kot samedi en fin d'après-midi et je te passe le volant. Cela nous fera du bien à tous les deux. Et bien Manu, tu m'as entendues?

Manu avait parfaitement entendu et puisque pour une fois il était en accord avec les désirs de sa mère, tout était pour le mieux!!

… le suite demain...

!

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MISE AU POINT...

Au bord du printemps

La nature s'éveille

On nous donne du temps

Nos désirs en veille!

C'est un grain de sable

Qui bouche nos vies

Il est misérable

D'oublier l'envie.

C'est comme un cauchemar

On va s'réveiller

Et soudain pénard

Au lit s'prélasser!

Si à nos côtés

Chemine l'amour

On peut oublier

Le décompte des jours...

Une couronne de peur

Face à face mortel!

Ah! Retarder l'heure

Et être éternel!

Mais, rappel à l'ordre

Nous ne le sommes pas!

Alors ce désordre

Nous remet au pas!

J.G.

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DU TEMPS AU TEMPS ?

 Donner du temps au temps, il y a peu cela relevait du fantasme. Pris dans la frénésie des activités, dans le besoin de se prouver notre illusoire importance!

Et puis voilà que surgit sur le gâteau de l'inconséquence une mouchette… et le désir du gâteau s'effondre, un recul, oserai-je dire un rejet?

Notre monde avait bien les pieds d'argile puisqu'un virus le paralyse. Alors entre peur et incrédulité nous ressentons le frisson de notre fragilité qui nous crie : il est temps de penser!

Repliés pour éradiquer l'intrus, nous avons l'opportunité d'accueillir un cadeau : le temps!

Du temps pour la réflexion, pour se remettre en question?

J.G.

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J'ASSUME...

Il y a longtemps que je vis

Presque aussi longtemps que j'écris!

Besoin d'coucher sur du papier

De quoi tout rendre plus léger...

Toujours si seule face au présent

Envie d'se confronter au vent

Peut-être qu'il emportera

Ces joutes où trébuchent nos pas?

Au bout des jours enfin trouver

Des regards où se reposer

C'est sans aucun doute un peu fou!

Mais aujourd'hui, je crois en vous...

J.G.

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AU BORD DU RËVE...

C'est un début d'année morose

Le temps qu'il fait, le temps qui passe?

Les mots voudraient chanter le rose...

Mais les nuages sont en chasse!

Ils recouvrent notre optimisme

D'un voile qui prend couleur de deuil

Nous ramène à ce réalisme

Qui fut de notre vie l'écueil!

Alors, fermons des yeux brillants

Echappons-nous sans plus de trêve

L'amour sera toujours présent

Puisqu'il se niche au creux des rêves...

J.G.

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ENCORE UN JOUR...

Encore un jour qui s'achève

Vide de sens, vide de toi.

Un jour trop lent qui tremble…

De ne plus éprouver de joie!

Un jour entier à faire seulement…

Des gestes vains du quotidien soulant!

Absent de désirs et de rêves…

Où les sentiments semblent en grève!

La nuit se répand…

Avec aussi le vent…

La pluie qui bat sur la fenêtre

Et le constat de mon mal-être!

Et pourtant…

Les mots s'alignent machinalement

Et à mon grand étonnement

Défilent les images

Du plus beau de nos âges!

Des images claires de printemps

Et de la tiédeur du temps

Et de la caresse des brises…

Embaumées de senteurs exquises!

Alors je souris tendrement…

A notre image dans le temps.

J.G.

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le jour se lève...

le jour se lève, un zigzag rose zèbre le ciel...

Le gris s'estompe, place au turquoise, il va faire beau!

Si solitude aussi souffrance distillent leur fiel

Vouloir sourire ainsi guérir de tous les maux...

Matin enchante, l'immensité danse sa joie

Fleurit le temps, joli moment, fragile l'instant...

Ta voix résonne et je frissonne, bonjour l'émoi

En plein hiver, petite merveille, un goût d'printemps!

J.G.

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BIENTÔT 2020...

La vie s'enfuit, on court derrière

Comme des mille-pattes déboussolés!

Pas question d'rester en arrière

On a tellement envie de rêver...

Dans les rues et dans les jardins

Les guirlandes font un p'tit détour

Ce sont si jolis serpentins

Que les sourires sont de retour...

Dans quelques jours déjà Noël!

Alors des étoiles plein les yeux

Après quoi une année nouvelle

Aussi des vœux pour rendre heureux?

Que pour tous cette année soit belle

On ne se lasse pas de l'apprendre!

Et cette jolie ritournelle

On finira bien par l'entendre...

Si les ans apportent la sagesse

Avec un plus d'anxiété...

On a toujours le goût d'l'ivresse

Et surtout, besoin d'être aimé!

Joyeux Noël et bonne année.

J.G.

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L'ATTENTE...

La pluie est venue

Un rythme s'impose

Point de déconvenue

Ni d'regard morose...

Ce soir tu viendras

Un soleil au cœur

Chasser les langueurs

Et m'ouvrir tes bras...

La pluie subtilement

Occulte la ville

Complice des amants

Une douceur fragile...

J'aime ce temps d'automne

Presque autant que toi

La vie y bourdonne

D'un si bel émoi!

J.G.

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Poussière d'étoile?

A travers la porte fenêtre un rayon de soleil hivernal vient exploser aux murs du salon. Il dépose sur un tableau une lumière imprévue dont l'éclat au passage me fait frissonner.

Sur la langue la fraîcheur de la vodka glacée apporte un regain de chaleur. De l'armoire monte la musique jazzy que j'ai sélectionnée, une voix rogue s'envole sur des notes dont la douceur me monte aux yeux...

Passé et présent se figent tandis que je rêve à tes bras. La nostalgie m'enrobe et mon regard se mouille... nous ne sommes que poussière certes! Mais poussière d'étoile?

J.G.

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L'IMAGINATION...

Elle s'en va et elle revient...

Dans un sacré va et vient!

Un jour elle va s'arrêter

En aura marre de frimer!

Quand on pense prendre une gamelle

Toujours là, elle se rebelle!

Sur un mot ou sur une phrase

Elle survit, se sent en phase...

Elle donne sens à nos envies

Et comble nos insomnies...

Ensuite, au petit matin

Elle nous fait nous prendre en main!

C'est une amie très fidèle

Elle fait déployer nos ailes

L'imagination!

J.G.

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A PROPOS DES SENTIMENTS...

Les sentiments sont comme le vent! Ils sont légers puis forts, tourbillonnants...

Parfois ils s'arrêtent, il font une pause le temps de se rendre compte qu'ils sont incontournables. Ils sont caresse mais peuvent détruire, ils sont tristesse ou immense joie! Ils donnent à nos visages ces rides que leurs procurent la patine de nos âmes...

Et si quelques masques essayent de les résumer, ce ne sont bien souvent que duperie! Nous le savons bien, derrière les pleurs se cache le soulagement et derrière le sourire un désespoir latent...

Les sentiments sont comme le vent, ils font de la vie un puzzle que seule la mort un jour peut apaiser... et encore rien n'est moins sûr!!

Car, il me plait de penser que certains sentiments ont un parfum d'éternité...

J.G. 

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INSPIRATION...

Une giclée de mots de la tête à la main...

Une bouffée de vérité qui tend vers demain?

L'écriture se libère et nous revient l'envie

Au profond d'la nuit où s'installe l'insomnie...

Le cerveau fatigué, mais qui encore s'emballe

C'est la preuve que la vie triomphe de ses dédales!

Alors, le cœur s'accroche, se maintient en douceur

Pour laisser de côté nos si stupides peurs!

J.G.

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