qui me dévisage avec ses yeux moqueurs.
Je le convoite. Il n'a pas besoin de penser. Il n'a pas besoin d' aimer,
d' être aimé. Il n'a pas besoin de s'assoir
chaque jour derrière une machine sans âme, parfois capricieuse.
Il est libre comme l'air. Fluide comme un mirage.
Il n'attends rien de personne et personne n'attends rien de…
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Je te remercie pour ton commentaire.
Très bonne continuation...
Comme je me retrouve dans ce poème! merci