Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009

Publications de Rébecca Terniak (265)

Trier par

De la teCHnique et ses mystères ...

vous n'êtes guère plus que moi familière

et je m'en amuse un peu, ma chère !

- Oh que cela n'éveille point votre colère ! -

quand au plus haut point cela vous stresse

et que vous vous battez la coulpe en détresse ...

car  j'ai confiance que ....  pas très loin

interviendra  notre efficace magicien

qui de sa baguette rétablira  tout bien

et nous rendra le sourire enfin,

sans nous en vouloir le moins.

Alors détendez vous au mieux

et soyez toute en liesse !

L’esprit en paix et heureux,

continuer sans souci de nous faire partager un peu

de vos faramineuses littéraires largesses !

 

Lire la suite...

Merci aux Fruits et prénoms de Suzanne

https://artsrtlettres.ning.com/profiles/blogs/fruits-et-pr-noms

Fruits et prénoms

Un  cadeau de Suzanne adorable
qui viendra vite dans mon cartable !
rejoindre un de mes jeux préférés

dont cet exemple de jeu au printemps chanteur
que pour le temps des oiseleurs
j'avais composé pour danser - chanter
et viens de ma mémoire tirer :

"Bonjour mon petit oiseau, petit oiseau ...  qui es tu ?

( Et chaque enfant vient au milieu voleter seul, mimer
et en réponse chanter et nous aussi autour de lui pour le fêter )

Je suis Pierrot le moineau...  je fais de tout petits sauts... ...
Je suis Marie la Perdrix --- je prépare bien mon nid ..-
Je suis Alain le pingouin ...  tout droit,  je marche bien, marche bien
Je suis Davidou le hibou  ... je regarde par mon trou, cou-cou-cou ....
Maya la petite oie .. je vole très haut sur les toits
Isabelle l'hirondelle  ... je m'envole à tire d'elle
Marco le corbeau ... le plus gros, le plus beau,
Diégo le loriot  ... dont le chant est si beau
Nathan le goéland ... je me glisse dans les vents
Jeannette la fauvette ... si coquette
Robert le Pivert ... je picore l'arbre vert
.........et des dizaines d'autres

De même pour les légumes pour le marché....

Les rimes toujours les rimes en tout
et partout
avec le rythme, la cadence
dans les mains et les pieds
pour la danse
pour saisir son corps et bien l'incarner ,
par la rime, la musique, ferons des poètes
dans les étoiles auront la tête
mais sur terre, seront bien enracinés !

Lire la suite...

Quant aux réfractaires ... de la Saint Valentin

https://artsrtlettres.ning.com/profiles/blogs/billet-d-humeur-propos-des-r-fractaires-aux-traditions-s-culaires

Pour les cadeaux supplémentaires
offerts -


Une offrande artistique
belle et complète,
formant un TOUT SI HARMONIEUX !!!
Un apport historique,
en guise de didactique
pour nourrir les têtes bien faites,
mais illustré par peinture et poésie
pour combler l’esprit,
le cœur et les yeux,
et nous mettre à la fête !
Que demander de mieux
les amis !?!
Vraiment un tout grand Merci !

17.2.2012

Merci Valériane d'Alizée, bien chère,
pour ce bel apport historique littéraire,
qui nous fait voyager si loin en arrière

dans un autre et ancien temps
et met la Saint Valentin en lumière
à notre plus grand étonnement !

Mais je vous prie,
ne  soyez pas marie !
Consolez vous bien des grincheux
qui font toujours la tête
et regardez plutôt les gens heureux
au cœur ouvert et généreux !
Car sur ce beau réseau des Arts et Lettres
à l'Amour tendre, aux amoureux,
nous avons dignement fait la Fête !
La Saint Valentin célébrée de notre mieux.
Et même à qui mieux mieux.
La douce et tendre Colombine,
tant mutine et câline,
baptisée en ce jour Valentine
par  sa charmante Rosyline,
nous n’oublierons pas de si peu
Parbleu !!!

Rébecca Lily Lyre d'Alizé

15.2.2012

Lire la suite...

https://artsrtlettres.ning.com/photo/joyeuse-saint-valentin?context=user

https://artsrtlettres.ning.com/video/rosyline

Chère Rosyline

de si bienveillante mine,

ta petite Colombine

-        tenant son cœur offert

d’un geste intérieur si sincère ! -

aussitôt par moi fut partagée

pour la joie attendrie

de tous les amis !

A ton image

aimante et sage,

elle émane douceur

et tendresse.

Tout dans ses traits

et teintes pastelles caresse.

D'elle émane tant de douce poésie

qui rend nos cœurs

tout émus et ravis !

Elle fera fondre et craquer

les plus blindés

et leur  inspirera sans tarder

la joie d’aimer !

 

Lire la suite...

Ode à Robert Paul,

Cher Robert Paul,

Nous sommes ici, nous les invités
de votre royaume des Arts et des Lettres
un peu comme des enfants gâtés
recevant dans toutes les spécificités
la profusion de cadeaux culturels par vous faites,
avec de tous côtés,
par tous et chacun, la créativité
offerte
par votre opportunité.

Cela donne un formidable bouillon
de créations
entretenu par ces idées
en si grand fourmilion 
émanant de la multitude d'oeuvres ici nées.

Or, justement les effluves électives
de ce prodigieux magique chaudron
inspirent une ambiance créative,
tellement stimulante et propice,
que j'ai bien noté de ma lyre
la nette tendance
à vouloir se mettre sans cesse à chanter
et me pousser à écouter
la mélodie des mots
qui en moi veulent naître.
Parfois tellement trop éveillée,
sur la brèche,
que je dois lui dire "Arrète !
Prends donc un peu de repos."

Ainsi, je suis assez étonnée
et aussi satisfaite
de voir ma lyre de poète
ne pas se limiter à chanter
uniquement l'amour, la nature et les petiots
mais que la voie lui soit ouverte
pour toute Vie et tous les mots !

Lire la suite...

                                                                     

"La différence qu'il y a entre un ange et une personne? Facile. Un ange, c'est presque tout en dedans, une personne, presque tout en dehors." Ainsi parlait, à six ans, Anna, également connue sous les noms de Pompom', Souris, ou La Joie.
A cinq ans, Anna connaissait parfaitement le but de l'existence, a signification de l'amour, et elle était l'amie intime et le bras droit de Mister God.
A six ans, elle était théologien, mathématicien, philosophe, poète et jardinier.
De moi, personne n'a entendu parler, et pourtant, je devrai être célèbre : J'ai connu Anna. Cette aventure là, c'était une grande première. Je ne l'ai pas connue vaguement, comme ci, comme ça. La connaître exigeait un engagement total. Car je l'ai connue dans sa propre lumière, comme elle demandait à l'être: du dedans. "Un ange c'est presque tout en dedans" C'est ainsi que je me suis appliquée à connaître Anna, mon premier ange.

Maman et Anna avaient beaucoup de choses en commun, la principale et la plus belle étant, à mon avis, leur attitude envers Mister God. La plupart des gens que je connaissais évoquaient Dieu pour chercher une excuse à leurs échecs. "Il aurait dû faire ci!" ou "Pourquoi Dieu a-t-il fait ça?" Mais Maman et Anna voyaient dans les épreuves une occasion d'agir. La laideur? Une occasion de faire de la beauté? La tristesse? Une occasion de susciter la joie. Mister God était ainsi toujours de leur côté. Un étranger aurait été excusable de croire que Mister God habitait chez nous, mais Maman et Anna, quant à elles, en étaient sûres; d'ailleurs, il était rare que nous ne fassions pas participer Mister God à nos conversations.

Après souper, quand tout était rangé, Anna et moi nous asseyions pour faire ce qu'elle avait choisi. Pas question de contes de fées, la vie était une réalité, et la réalité bien trop passionnante. La lecture de la Bible n'avait pas grand succès. Elle la considérait comme une matière primaire, réservée aux tout-petits. Le message de la Bible était simple, n'importe quel demeuré pouvait le saisir en moins d'une demi-heure. La religion consistait en action, pas en lecture d'actions. Le message une fois recu, il était inutile de le relire cent fois.
Le curé de notre paroisse ne fut pas peu surpris quand il l'interrogea sur Dieu. Voici à peu près leur conversation:
- "Crois-tu en Dieu?"
- Oui.
- Sais-tu ce que c'est que Dieu?
- Oui.
- Qu'est ce que c'est alors?
- Il est Dieu.
- Vas-tu à l'église?
- Non.
- Pourquoi?
- Parce que je sais tout ça.
- Qu'est ce que tu sais?
- Je sais aimer Mister God, aimer les gens, et les chats et les chiens, et les araignées et les fleurs, et les arbres..." le catalogue n'avait pas de fin. "de tout mon coeur".
Que faire devant une telle accusation? Car c'en était une. Anna avait dépassé tout l'accessoire et résumé l'essence de toute connaissance en une phrase " Et Dieu dit: Aime moi, aime-les, aime tout, et n'oublie pas de t'aimer toi même."
Cette façon des adultes d'aller à l'église mettait Anna très mal à l'aise. L'idée d'un culte collectif heurtait le sens des conversations intimes qu'elle avait avec Dieu. Quand à se rendre à l'église pour rencontrer Mister God, voila qui était absurde. S'il n'était pas partout, il n'était nulle part? Elle ne voyait pas le rapport entre l'église et "parler avec Mister God". Pour elle, tout était limpide: on allait à l'église pour recevoir le message, on en sortait pour agir. Si on continuait à aller à l'église, c'est qu'on avait rien reçu, ou qu'on avait compris, simplement "pour se faire voir".

- Mister God a tout fait, non?
Aucune raison de dire qu'en fait je n'en savais rien. Je dis "Oui"
- Même la poussière et les étoiles et les animaux et les gens et les arbres et tout et les"trucmuches"? "Les trucmuches étaient les petites créatures que nous avions vues au microscope.
-Oui, dis-je, il a tout fait.
Elle fit un signe d'accord et poursuivit: "Est ce que Mister God nous aime vraiment?
-Surement, dis-je, Mister God aime tout.
- Mais alors, dit-elle, pourquoi permet-il aux choses d'avoir du mal et de mourir?" On sentait à sa voix, qu'elle venait de trahir un grand secret, mais la question avait été pensée, il était nécessaire de la prononcer.
- "Je ne sais pas, répondis-je, il y a des tas de choses que nous ne savons pas sur Mister God.
-Mais alors, poursuivit-elle, s'il y a des tas de chose que nous ne savons pas sur Mister God, comment savons-nous qu'il nous aime?"
Je me sentais glisser dans un trou. Heureusement, elle n'attendait pas de réponse et continuait:
-"Ces trucmuches, je pourrais les aimer à en crever, mais ils ne le sauraient pas, hein? Je suis un million de fois plus grosse qu'eux, et Mister God est un million de fois plus gros que moi, alors comment savoir ce que Mister God fait?"
Elle se tint silencieuse pendant quelques minutes. Plus tard, il m'a semblé qu'elle disait adieu à sa petite enfance. Puis elle continua:
-"Fynn, Mister God ne nous aime pas." Elle hésita. "Il aime pas vraiment, tu comprends, il n'y a s que les gens qui peuvent aimer. J'aime Bossy (un chien) mais Bossy ne m'aime pas. J'aime les "trucmuches", mais eux ne m'aiment pas. Je t'aime toi, Fynn, et toi tu m'aimes, hein?"
Je resserai mon bras autour d'elle.
- Tu m'aimes parce que tu es un gens. Moi j'aime vraiment Mister God, mais lui ne m'aime pas."
Je croyais entendre un arrêt de mort. "Nom de nom, pensais-je, pourquoi faut-il arrive qu'il arrive des choses pareilles? Maintenant, elle a tout perdu. "Mais j'avais tort. Elle s'était déjà assuré une nouvelle prise.
- Non, dit-elle, non, il ne m'aime pas, pas comme toi, c'est différent, c'est des millions de fois plus gros."
J'avais sans doute bronché ou poussé un soupir car elle se releva, s'assit, se mit à rire doucement, puis se jeta sur moi pour dénouer le petit noeud de peine, l'inciser avec la sureté de main d'un chirugien.
- Fynn, tu sais aimer, mieux que n'importe qui au monde, et moi aussi, hein? Mais Mister God, c'est différent. Tu comprends, Fynn, les gens ne peuvent aimer que du dehors, et embrasser le dehors. Mais Mister God, il peut nous embrasser du dedans, c'est différent. Mister God n'est pas comme nous; nous nous sommes un peu comme Mister God, mais pas beaucoup encore.
Je crus comprendre : cela revenait à dire que nous sommes comme Dieu par ressemblance, mais que Dieu n'est pas comme nous par dissemblance. Le brasier de son coeur avait affiné les idées et, petit alchimiste, elle avait changé le plomb en or. Finies, toutes les définitions humaines de Dieu. Bonté, Miséricorde, Amour, Justice, ce n'était là qu'échafaudages autour de l'indescriptibles.
- Tu vois, Fynn, Mister God est différent de nous parce qu'il peut finir les choses et pas nous. Moi, je ne peux pas finir de t'aimer, parce que je serai morte des millions d'années avant d'avoir fini, mais Mister God peut finir de t'aimer, alors ça ce n'est pas le même genre d'amour, hein? "
La première salve m'avait réduit à merci, j'avais déjà amplement de quoi réfléchir, mais elle ne m'épargnerait pas le reste de son artillerie.
- Fynn, pourquoi les gens se battent et font la guerre?
Je tentai de lui exmpliquer comme je pus.
- Fynn comment dit-on, quand on voit les choses autrement?
Après quelques minutes de recherche, elle réussit à extraire de moi l'expression exacte : un "point de vue".
- Fynn, voila la différence. Tu comprends, tout le monde a un point de vue, le sien, mais Mister God n'en a pas Mister God a des "points à voir".
Et quelle différence y avait-il entre "un point de vue" et " des points" à voir?" J'étais collé; mais quelques questions me permirent de lever le mystère. "Point à voir" était une tournure maladroite. Elle voulait dire : "Vue sur des points". C'était donc une salve : l'humanité en général a une infinité de points de vue, alors que Mister God a vue sur un nombre infini de points. Quand je lui proposai sous cette forme, elle aquiesça et attendit que l'enchaîne. Voyons un peu. L'humanité a une infinité de points de vue. Dieu a vue sur une infinité de points. Ce qui veut dire que Dieu est partout. Je sursautai.
Anna partit d'un grand éclat de rire, et je la suivis.
-Tu vois, dit-elle, tu vois? Il y a une autre différence "Nous n'en avions donc pas fini" Mister God connaît aussi les choses et les gens du dedans. Et nous, nous les connaissons du dehors, hein? Alors, tu vois bien, Fynn, que les gens ne peuvent pas parler de Mister God du dehors. On ne peut parler de Mister God que quand on est dedans, du dedans de lui.
Un petit quart d'heure passa encore à fournir ces arguments, enfin, elle soupira : " C'est merveilleux ça?" m'embrassa, et nicha sa tête sous mon bras pour s'endormir.
Dix minutes après :
-Fynn?
- Oui.
- Fynn, tu sais, ce livre sur les quatre dimensions?
- Oui, et alors?
- Je sais où est la quatre, elle est dedans moi."

J'ai tant aimé ce livre autrefois que j'aimerais le partager après avoir été une enfant très interpellée par Mr God.

Lire la suite...

https://artsrtlettres.ning.com/video/vincent-au-songe-parfait

C'est un plaisir de replonger

dans Van Gogh et son univers  

si vivant, coloré

et beau.


Votre musique sert

si  bien ses tableaux

en odes offerts

à notre mère Terre

généreuse et riante,

dont justement les formes et les couleurs

par tout son cœur

grand ouvert

sa gloire et beauté chantent !

Oui, son chant brulant monte haut !

Au final, les platanes ont une telle présence

une telle force dressée,

époustouflante !

Dans les nuages et les cyprès

qui l'enchantent,

il est plaisant de retrouver,

ainsi qu’en l'art japonais,

ses formes rondes, souples et tournoyantes !

Toi Van Gogh, qui peignit avec le feu de la passion

Qui aima et souffrit jusqu’à la déraison,

La matière et le chant de tes tableaux

 nous combleront de leurs tons chauds

Pendant encore bien des générations !

Rébecca Terniak - 7 février 2012

Lire la suite...

https://artsrtlettres.ning.com/video/sur-des-oeuvres-de-chantal-roussel

C'est vrai qu'elle est féérique et charmante !

Petite fille-fleur en corolle de dentelle blanche.

Elle fait d'autant plus rêver devant ce mur gris

où s'animent tous ces musiciens Jazz, amis.

Pour moi elle évoque et représente

le destin éprouvant de toute âme innocente

qui en ce dur monde fait sa descente...

Danse, petite toupie des Dieux, danse

sur cette chaude musique trépidante.

Danse, légère et virevoltante !

Garde au cœur ta lumière comme chance !

Lire la suite...

A Eve Pélerins, Élemental

Oh là !

Frères Humains,

ouvrez vos cœurs

faites y attention !

Prenez respect de Mère Nature

ne lui pratiquez plus de blessure !

Dans ses écorces et sa chair,

ses monts.

ses mers, ses rivières,

Faites y attention !

Car ses Esprits  bienfaiteurs

sinon, se changeront

en démons vengeurs ,

tel ce géant furibond,

ce furieux Élémental

surgi de notre bas astral,

égrégore destructeur

formé de nos  bas fonds.

Quel orage de feu, il souffle !

quelle lave en fusion

va rugir de sa bouche ?

Quelle malédiction ?

Ô frères humains,

vivez ensemble simples et sereins.

Ne réveillez pas la colère .

du peuple des Élémentaires,

de tous les enfants de Mère Terre !

De tous ses zélés serviteurs

aux innombrables invisibles mains,

qui sont maltraités sans fin

prenez bien soin.

Prodiguez leur  la douceur,

le Merci, les soins, la prière

car Le Fils Unique en Mère Terre

s'est sacrifié et uni sans fin

pour l'amour du genre humain.

Rébecca Terniak - 30 janviers 2012

Lire la suite...


https://artsrtlettres.ning.com/video/la-petite-fille-de-neige
Proposition et réalisation vidéo: Robert Paul

La petite fille de neige

Texte de Rébecca Terniak – Illustrations Mariella Fulgosi
Relié, cartonné et vernis mat,
40 pages couleur dont 20 aquarelles, format 240 X 240
Ed. La Lyre d’Alizé, juillet 2011
Ce conte russe est un chant de tendresse et de poésie dédié à l’enfance
et à l’univers magique de la neige.
De vieux parents en désir d’enfant façonnent avec amour une petite fille de neige qui aussitôt s’anime, chante et danse.
Céleste, elle restera auprès d’eux s’ils savent vraiment l’aimer, sinon s’en retournera au royaume des neiges.
Tiendront-ils leur promesse ?
Cet ouvrage de belle facture fera le bonheur des enfants pour un anniversaire
ou comme cadeau de Noël.
La qualité artistique de ses illustrations pleines de charme aux teintes nuancées
et de son texte poétique permet de destiner ce livre aussi bien aux adultes qu’aux enfants.
Editions La Lyre d’Alizé


Lire la suite...

https://artsrtlettres.ning.com/profiles/blogs/focus-sur-les-editions-la-lyre-d-alize-de-rebecca-terniak

Chers Amis de ce site merveilleux,

Merci pour vos si gentilles appréciations lors de ce focus sur mon édition avec une si élogieuse présentation qui trop m'honore !

Un profond grand remerciement à notre si dévoué et formidable mentor Robert Paul, pour son précieux soutien !

Lui qui sans relâche nous comble par la création de ses vidéos musicales artistiques en plus de nous permettre l'expression et l'échange heureux dans ce site prodigieux !

Lire la suite...

A toi cher Saule,

Dans ta tourmente, solitaire,
Jeune arbre, pensif, te tiens dressé.
Saule d'or tendre, de pluie amère,
Dans ton hiver, tu t'es noué.

A la terre dure, ton tronc fige.
En lui, toute sève occultée.
De l'espace temps morne et glacé
Et à venir, tu as vertige ...

Las, fi de bourrasque et  froid cruel !
De ton front haut, défies le ciel !
Nul Dieu de ta fin se rira,
Ni ton combat te dictera.

Seule virevoltante, folle et rebelle,
De mille morts souffrants trépas,
Ta chevelure se tord et ploie
Et se relève, fière à l'Appel !

Hiver 1981
A Philou-philosophe "ténébreux, veuf, inconsolé"

Lire la suite...

Bretagne Océane

Lorsque voguant, je vais
Sur les ondes, portée,
Qui me bercent,
Des vagues souples et légères
J'éprouve la caresse.

Quand je longe à mon gré
Les flots pâles argentés
Où là-bas sur la baie
Dansent en vivants reflets
Des êtres pétillants de lumières,

Sur mon chemin,
Parmi algues et rochers
Ou sur le sable fin,
Je recueille étonnée
Frêles nacres irisées.

Ivre de soleil, de mer
Et de grand air marin,
Songeant à des temps chers,
Je t'évoque lointain
Et proche mien voisin.

Le vent du large, par grâce,
Passe et tout chasse !
De l'infini, l'espace
Aère les trop intenses liens,
Les rend sereins,
Calmes et pleins.
Sages enfin.

Rébecca Terniak

Août 1984

Lire la suite...

Automne

Comme en un Temple
J'entre en tes fauves forêts.
Roux, or et rouge !
Dernier embrasement
Ranime toute passion
en un ravissement !

En mon âme
Une flamme s'allume ...

Clarté douce
Caresse la feuillée ...
Sur la mousse,
J'écoute le silence ....
Ombre rousse,
J'écoute en moi la Voix ...

Lumière douce
- au coeur -
Paix !

Automne,
Je t'attends au détour de l'été
Comme un dernier enchantement
Avant le long recueillement.

1985

Lire la suite...

GROS MOTS ... D'ENFANTS... A Dominique Dumont -

https://artsrtlettres.ning.com/profiles/blogs/les-gros-mots

Pour sûr, je vous lutes

et le fit avec moult plaisir  !

De l'Homme, propre est le rire

et le JEU aussi.

Mais nos GROS MOTS d'enfants

à L'Oiseau Lyre

pour de feinte colère, RIRE,

s'ils sont sonores-sonnants

sont tout innocents.

Quand je clame

en alarme

au milieu du vacarme :

- Holà ! SCRABIDOU ! SCRABIDOU

on ne s'entend plous !

on ne s'entend pas !

C'est tout doux.

(J'aime bien bégayer-alitérer

comme dans le Kalévala.)

Ou même, comme très fâchée,

m'écrier

si un jouet est cassé :

- SAPERLIPOPETTE !

Nom d'une GROSSE TROMPETTE !

Chassons les NAINS

aux GROSSES mains !"

ça c'est chouette !

Ils en sont tout impressionnés.

Rire en coin, bouche bée.

A table, exercice de bonne manière.

Il n'est jamais trop tôt

pour bien faire

et épater leurs petites mères !

A leur place, je dis tout haut :

- Excusez moi pour mon GROS ROTTOTO !

C'est mon ventrou qui chante !

Cela les confond, les enchante,

Et quand, librement, ils ventent :

- Ò Pardon pour ma PÉTA !

Fi des tabous-tabas !

Les gosses aiment ça.

Ils vous servent des "Zizi-Caca boutchi", 

de leurs rires argentés petits.

On n'y coupe pas.

C'est tout mimi,

mais on ne le montre pas.

Alors je réplique attendrie

- COQUINS A ROULETTE !

Et pour rire un bon coup :

sans  respirer, à la file :

- SAPRISTA, SAPRISTI !

Petits bandits,

garnements, gredins,

Filous, voyous !!

Les clowns à fossettes

s’esclaffent et sont à la fête.

Puis nous dégustons en paix,

moustaches de lait,

plus ou moins barbouillés

barbouillettes,

des mets paradisieux

les plus doux délis-exquis-savoureux !

Les clowns à fossettes

font luire leurs assiettes

et n'en laissent miette.

On ne peut vivre plus heureux.

Loin des géants,

des ogres caverneux.

Qui dit mieux ?!

PANAM - CARTOUCHERIE ...
vos monologues ... osés

Cher Dominique lutin,
Lors de mon petit séjour à Panam,
et surtout au Quartier Latin,
Notre Dame,
je n'ai pas manqué,
en battant son pavé gelé,
à l'oreille de lui murmurer
combien vous l'aimiez
mon vieux Paris
de toute votre âme
et vos rêves lui avez dédiés
de vos jeunes années,
du temps de Dany
et des barricades.

En ces temps actuels plus durs,
n'ai pas osé aller rechercher
par cette grande froidure
votre ombre à la Cartoucherie
de Vincennes-Paris,
ni vos Monologues inspirés
dont votre évocation osée
m'a tant amusée.
Mais en été, sûr !
J'irais !

Lire la suite...

A Suzanne au nom doux, vos vers m'enchantent

https://artsrtlettres.ning.com/profiles/blogs/un-conditionnement-r-ussi

L'écoute de vos vers

est un ravissement !

La même musique douce,

un murmure sur la mousse,

un pur enchantement

qui ne peut que nous plaire

et comme je vous comprends !

Moi, c'est tout le contraire,

mon destin est de fer :

comme je l'écris tantôt,

j'ai dû quitter mon ciel,

plier - un peu - mes ailes.

Mais avec les bambins,

on est toujours là haut,

dans les sphères légères

pour les dons de mère terre

aimer et remercier.

Je ne peux, ne veux reposer,

toujours suis sur la brèche,

de lourdes responsabilités

le dos chargé.

Inspirée par mille projets

qui me pressent,

encore je m'en remets !

Me saisis comme une flèche

pour n'être submergée

et tout concrétiser.

Mes écrits sont mes rêves

qui sont chantés, dansés

par les petits amis

et mes livres imagées

à l'enfance dédiée,

célèbrant la beauté

sont la plus belle trêve

Je crois en cette vie,

devoir compenser

la grande facilité

dont j'ai tant profité

quand au Quatro Cento,

les arts, je protégeais,

adulée, admirée,

une perle en larme au front

et d'une cour entourée,

près de Léonardo ....

Éternelle cadence

qui cherche la balance :

Se reposer ... agir,

l'expérience engranger,

prépare notre A-Venir.

Qu'il soit

bien maturé !

Chaque fois,

au long des Âges

différend est l'ouvrage 

par nous tout bien choisi,

pour notre avancement.

Car alterner ainsi,

cela nous réussi !

Lire la suite...