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Publications de Rébecca Terniak (265)

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Invité d’honneur : Wallonie-Bruxelles

Située, pour le meilleur et pour le pire, au centre de la construction européenne, la Belgique reste une nation fragile dont le territoire fut jadis régulièrement labouré par les confrontations incessantes entre les grands Empires. Dans ce jeu permanent des dominations étrangères, les villes ont toujours constitué un espace de résistance et d’identité. Il n’est dès lors pas étonnant de constater la place qu’elles tiennent dans la littérature belge depuis ses origines (Charles De Coster, Georges Eekhoud, etc.).

Une série importante d’auteurs contemporains, de William Cliff à Bernard Quiriny, s’inscrivent dans cette tradition revisitée par la découverte d’une dimension urbaine élargie à l’Europe entière. À ce titre, on peut penser que le principe d’identité faible souvent utilisé lorsqu’il est question du sentiment national belge, a acquis le statut de modèle pour cette Europe qui peine à rassembler les éléments d’une culture partagée qui ne soit pas strictement économique.

Invité d'honneur : Le Québec
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Poétesse des poétesses,

Comme aux temps antiques ...

Son Verbe inspiré,

Exhale un vent cosmique.

Poétesse au grand souffle magique,

Son univers immense et débridé

De chevaux fous marins hennissant,

Aux odeurs d'embruns chimériques,

Nous saisit et nous ouvre aux océans

Nous bouleverse par sa musique.

Elle nous captive et nous ensorcelle

Dans ses méandres lyriques,

Ode à la poétesse enchantée - mars 2010

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Jérusalem d'or ("Yeroushalayim chel zahav")

Jérusalem d'or ("Yeroushalayim chel zahav")

L'air des montagnes est pur comme vin
Et l'odeur des pins
Est portée par le vent du soir
Avec le son des cloches.

Et quand sommeillent l'arbre et la pierre
Enfouie dans son rêve,
S'abime la ville solitaire
Un mur dans le coeur.

[Refrain]
Jérusalem d'or, de bronze et de lumière,
Pour toutes tes chansons, ne suis-je pas un violon?
Jérusalem d'or, de bronze et de lumière,
Pour toutes tes chansons, ne suis-je pas un violon?

Comme ils sont à sec les puits!
La place du marché est vide.
Et nul oeil ne guette le Mont du Temple
Dans la vieille ville.

Et dans les grottes des rochers
Hurlent les vents
Et nul ne descend vers la Mer morte
Par la route de Jéricho.

[Refrain]

Mais venue aujourd'hui chanter pour toi
Et te tresser des louanges
Je ne suis pas à la hauteur du moindre de tes enfants
ni du dernier des poètes.

Car ton nom brûle les lèvres
Comme le baiser d'un séraphin
Si je t'oublie, Jérusalem...
Toi qui es toute d'or.

[Refrain]

Nous sommes revenus aux puits des eaux,
au marché et sur la place.
Un shofar appelle sur le Mont du Temple
dans la vieille ville.

Et dans les grottes des rochers
Des milliers de soleil rayonnent
Nous reviendrons et descendrons vers la Mer morte
Par la route de Jéricho.

[Refrain]

·      https://www.youtube.com/watch?v=72QC8EGnxTw&feature=fvwrel

Yerushalayim Shel Zahav - Ofra Haza (Live) avec sous titres en anglais : Traduction complète

Une version hébreu par yerushalayim shel zahav,
Naomi Shemer pour la beauté de la voix : une voix d’or pour la ville d’or
Sur Images tragiques d’enfants parmi les autres

Par Hélène Ségara avec traduction et partie en français  et partie en hébreu

La célèbre chanson phare : « Jérusalem, ville d’or »  chantée toute en hébreu assez joliment

De belles images et traduction française

 

 

 

 

 

 

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LA RÉINCARNATION - article de Robert LINSSEN

Extrait de Psychisme & Parapsychologie

http://www.jefflemat.fr/autres/117_reincarnation.pdf

Chers amis,

En recherchant une épitaphe connue pour Suzanne Walther-Siksou, lequel j'attribuais faussement à Victor Hugo mais qui est de Benjamin Franklin, j'ai trouvé cet article intéressant à propos des personnalités convaincues de la réincarnation, comme je le suis depuis toute jeune. Victor Hugo en fait aussi partie dont citations en ce sens.

La réincarnation du XVIe au XXe siècle

Giordano Bruno (1550-1600),

l'un des plus célèbres philosophes italiens du XVIe siècle était un fervent partisan de la réincarnation appelée métempsychose à cette époque. Il était connu pour son opposition aux philosophies scolastiques et aristotéliciennes. Dans son ouvrage intitulé Laun fervent partisan de la réincarnation appelée métempsychose à cette époque. Il était connu pour son opposition aux philosophies scolastiques et aristotéliciennes. Dans son ouvrage intitulé La cause, le Principe et l'Un, il déclare que

     l'âme ne périt pas à la mort, qu'elle échange sa première habitation pour une nouvelle, que tout est        transformé mais que rien n'est détruit.

Il fut persécuté par l'Inquisition et dut quitter Rome. Finalement arrêté, il fut condamné au bûcher.

Le médecin et alchimiste suisse Paracelse (1493-1541) enseignait que l'esprit était la base et l'origine de toutes les choses et de tous les êtres. Il déclarait :

« Ce principe spirituel, qui, par l'intermédiaire d'autres principes immatériels, subordonnés à sa puissance, produit le corps dans lequel il manifeste ses merveilles, est appelé à lui survivre, et, ce premier corps détruit, il s'en forme un autre avec des propriétés semblables ou supérieures. »

Dans sa description des Trois Principes, le mystique Jacob Boehme (1575-1624), très influencé par les idées de Paracelse, considérait la réincarnation comme l'expression d'une loi naturelle. Il écrivait à ce propos :

« Par l'essence de son corps, l'homme tient à la nature éternelle, source et siège de toutes les essences. Enfin, par son corps proprement dit, il appartient à la nature visible. Ainsi s'explique la faculté que nous avons de connaître Dieu et l'univers tout entier. »

Le mathématicien et philosophe Jérôme Cardan (1501 -1576) déclarait que

« l'âme était la substance première et véritable de toutes choses, qu'elle est éternelle et ne périt pas avec le corps et qu'elle subit une série d'incarnations successives ».

Le dominicain Campanella (1568-1639) était également favorable à la réincarnation. Il fut persécuté et torturé plusieurs fois par les tortionnaires de l'Inquisition.

Cyrano de Bergerac (1620-1655) enseignait la pluralité des existences et le processus des réincarnations.

Le célèbre philosophe et mathématicien allemand G. Leibniz (1646-

1716) s'est déclaré ouvertement comme partisan de la préexistence de l'âme et de ses incarnations successives.

 Le philosophe et naturaliste suisse Charles Bonnet (1720-1793), fortement influencé par la pensée et les oeuvres de Leibniz, publia un ouvrage important sur la préexistence de l'âme et ses incarnations successives. Dans cet ouvrage intitulé, La Palingénésie philosophique ou idées sur l'état passé et futur des êtres vivants, il écrit :

« L'échelle de l'humanité s'élève par une suite innombrable d'échelons, de l'homme brut à l'homme pensant. Cette progression continuera sans doute dans la vie à venir, et y conservera les mêmes rapports essentiels ; je veux dire que les progrès que nous aurons faits ici-bas dans la connaissance et la vertu détermineront le point où nous commencerons, à partir de l'autre vie et la place que nous y occuperons. ... La mort n'est point une lacune dans cette chaîne; elle est le chaînon qui lie les deux vies ou les deux parties de la chaîne. »

Parmi les écrivains, philosophes ou auteurs connus favorables à la réincarnation signalons encore l'écrivain et mystique chrétien orthodoxe français
Pierre Simon Ballanche (1776-1847),
le littérateur, poète et historien allemand Frédéric de Schlegel (1772-1829),
le moraliste et physicien allemand G. C. Lichtemberg (1742-1799).

Goethe (1749-1832) affirmait fréquemment sa croyance en la réincarnation. Dans ses entretiens avec l'écrivain allemand Johannes Falk, rapportés par ce dernier, Goethe déclarait :

« Je suis certain que, tel que vous me voyez, que, tel que vous me voyez, j'ai déjà existé cent fois, et j'espère bien revenir encore cent fois. »

Benjamin Franklin (1706-1790) l'inventeur du paratonnerre était un partisan de la réincarnation. Il exposa sa croyance sous la forme d'une épitaphe humoristique :

« Ici repose le corps de Benjamin Franklin, imprimeur. Il est là, pâture pour les vers, semblable à la couverture d'un vieux livre dont le contenu est arraché, dont le titre et la dorure sont effacés par le temps. Mais l'ouvrage n'est point perdu ; il reparaîtra de nouveau, comme son auteur le croyait, en une édition nouvelle et plus élégante, revue et corrigée par l'auteur... »

Citons encore par ordre chronologique, le philosophe historien et poète allemand J. G.Herder, professeur aux universités de Koenigsberg et de Goettingue;
Martinez de Pasqualis (1717- 1779)
et son élève Louis Claude de Saint-Martin (1743-1803), fondateurs du martinisme;
Saint-Simon (1760-1825),
Jean Raynaud (1806-1863) disciple de Saint-Simon ;
Émile Barrault (1799-1869) ;
le célèbre astronome Camille Flammarion (1842-1925) ;
le philosophe français Charles Renouvier (1815-1903) ;

le philosophe autrichien Rudolf Steiner (1861 -1925) fondateur de l'anthroposophie. Tous furent partisans de la réincarnation.

La réincarnation parmi le monde des lettres et des artistes

Dans son ouvrage Les Visions publié en 1853, Lamartine (17901869) évoque l'histoire de l'âme humaine et de ses incarnations successives au cours de diverses existences, en partant du néant pour tendre vers l'union à Dieu le centre universel.

Victor Hugo (1802-1885) a toujours proclamé sa croyance en la réincarnation. Il déclarait :

«La tombe n'est pas une impasse, c'est une avenue; elle se ferme sur le crépuscule, elle se rouvre sur l'aurore.»

Victor Hugo a exprimé dans un poème intitulé Des destinées de l'âme ses conceptions philosophiques et sa croyance aux vies successives.

L'homme a des soifs inassouvies

Dans son passé vertigineux

Il sent revivre d'autres vies

De son âme il compte les noeuds.

Il cherche au fond des sombres dômes

Sous quelle forme il a lui,

Il entend ses propres fantômes

Qui lui parlent derrière lui.

L'homme est l'unique point de la création

Où, pour demeurer libre en se faisant meilleure,

L'âme doive oublier sa vie antérieure.

Il se dit : mourir, c'est connaître,

Nous cherchons l'issue à tâtons ;

J'étais, je suis et je dois être.

L'ombre est une échelle, montons !

L'écrivain et psychologuefrançais Honoré de Balzac (1799-1850) fut également partisan de la réincarnation. Il exposa ses vues sur les différentes transmigrations des âmes dans un roman-poème intitulé Séraphita.

Théophile Gautier (1811-1872) dans son poème Affinités secrètes et

Gustave Flaubert (1821-1880) dans Madame Bovary et sa Correspondance,

Gérard de Nerval (1808-1855),

Édouard Schuré (1841-1929) dans son ouvrage Les grands Initiés,

Edgar Poe (1809-1849) dans Eurêka,

Percy B. Shelley (1792-1822),

Alfred Tennys (1809-1892),

le célèbre peintre et poète mystique anglais William Blake (1757-1827) furent parmi les réincarnationnistes les plus éminents et la présente rubrique est loin d'être limitative.

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LE CÉLÈBRE CLOWN SUISSE DIMITRI

 

https://www.youtube.com/watch?v=Ci2w3hh6Kjg

Spectacle au bénéfice de l’association THÉODORA  et ses clowns pour les enfants malades

http://www.theatredujorat.ch/spectacles/dimitri.html?gclid=CN_Er7np9rACFQpj3wodIkwP-A

 

Ce jour, samedi 30 juin, suis très heureuse d’avoir pu voir le célèbre clown suisse DIMITRI

au théâtre de campagne du JORAT près de Lausanne.

Tous les petits et grands redevenus enfants ont adoré : il ne pouvait plus partir !

C’est un ancien élève de l’école Steiner Waldorf d'Ascona puis Zürich.

Il est très aimé et apprécié dans toute la Suise.

Avec ses enfants, la famille avait formé une troupe : Famiglia Dimitri, puis il semble que David, son fils

ait créé un cirque à lui.

Dimitri est un être aimable et spirituel - dans tous les sens du terme et il aime à raconter ses visions philosophiques

dans les journaux  de par  son éducation et son choix persistant de la philosophie  Steiner.

Une biographie merveilleuse : Entre Tessin, Zürich, Paris ….

Marcel Marceau – Decroux  Le cirque Knee ….

Artiste sur tous les plans : Céramiste, peintre,  sculpteur comme son père

et surtout clown, mime, musicien,  acrobate tout à la fois

http://www.clowndimitri.ch/f/clown_dimitri_biographie.htm

Le site internet du Clown DIMITRI

http://www.clowndimitri.com/f/home.htm

Clown Dimitri Solo - Kurztrailer Teatro

https://www.youtube.com/watch?v=dk08eC1OK2U

LA FAMIGLIA  DIMITRI

https://www.youtube.com/watch?v=vDYCanh-0eY&feature=related

Tous musiciens, acrobates ....

David Dimitri  - le fils a fait son cirque

www.youtube.com/watch?v=TB0Oyl1gSNk

La musique de sa vidéo est une traditionnelle et très belle musique Klezmer

Je vous souhaite beaucoup de joie et plaisir avec ces vidéos choisies pour vous

Rébecca

 

 

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https://artsrtlettres.ning.com/profiles/blogs/appends-croire-encore-en-la-vie?commentId=3501272%3AComment%3A799725&xg_source=msg_com_blogpost

 

Notre ange qui nous entoure

 toujours est débordant d'amour.

Mais nous, dans notre effroi,

nous nous fermons à Lui.

Lui qui guide nos pas,

Nous ne l'écoutons pas.

Nous nous faisons happés

par mille peurs et folies.

Nous créons la Caverne,

Dispersion nous gouverne

puis nous pleurons après

le paradis perdu

que nous ne trouvons plus.

Il est au cœur de nous

en son sein le plus doux.

 

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https://artsrtlettres.ning.com/video/nicole-zeimet-compositions-florales?xg_source=msg_com_video&id=3501272%3AVideo%3A795517&page=2#comments

 

Chère Nicole,

Jadis, par mes vers mutins,  je vous ai chantée

et chanter encore avec enthousiasme, ici, je le voudrais.

Vos tableaux floraux provoquent tendres émotion et ravissement  !

Soutenus par une  musique aimante qui chavire le cœur tout autant !

De pur émerveillement, leur beauté  me font pleurer :

La fraicheur lumineuse du paradis nous est par vous offerte

dans toute sa primauté et naïve beauté.

La grâce innocente du don floral qui nous est faite

ouvre des mondes angéliques où maintes petites fées

se révèlent ou dans les feuillages se tiennent cachées.

Robert Paul nous procure une joie inestimable

en présentant votre œuvre si belle et si aimable.

Magie !

est bien le mot qui vous relie.

Un immense M E R C I !

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Stellenbosch Waldorf School - Afrique du Sud

La Saint Jean autour du feu et saut du feu

Cliquez sur l'image pour les suivantes !

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=368410963213476&set=a.368410703213502.83662.166121273442447&type=1&theater

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=367703893284183&set=a.170839722970602.45729.166121273442447&type=1&theater

 

College Waldorf  Steiner Micael Sâo Paulo

Cerimônia para acender a fogueira de São João 2011 - Carrossel do Destino

 https://www.youtube.com/watch?v=YSHY99iO4Gg&feature=player_embedded

 

Autres danses du feu

https://www.youtube.com/watch?v=W6ErEv0_bPQ&feature=related

 

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http://unpasse-unehistoire-77340.asso-web.com/44+le-chateau-de-combault.html

Surtout sur la photo de droite moins léchée et avec des enfants ...

Regardez comme il est beau « MON »  château de Combault – et pour cause ! Il a accueilli mon enfance et adolescence et renfermé tant de vécus précieux, de trésors.

Je pourrais en écrire un roman tant les souvenirs sont chers et nombreux et tant mes rêves m’y ramènent toujours. Et c’est ce qu’aimeraient bien certains de l’Hôtel de Ville actuel.

J'ai habité toutes les pièces en 9 années, y ai dormi ou vécu. Je revois des enfants à toutes les fenêtres, en vrai comme sur une des photos que j’ai gardée. J’entends  le chant de la flûte qui résonne dans les salles d'étude et salle à manger en bas à gauche. Devant la maison, nous dansions des danses folkloriques, puis israéliennes le vendredi soir du Shabbath, ou bien nous jouions au ballon prisonnier et au Volley. Mais dés 12-13 ans, j'aimais le plus souvent lire des heures assise sur le bord de la fenêtre en bas à gauche. Ma dernière salle de bains de jeune fille, tout en haut au dessus du perron....  Une autre fenêtre par derrière, mon meilleur poste pour admirer le parc par tous les temps. Toute petite, nos chambres étaient à côté des appartements de notre directrice Fanny, situés derrière le perron. Et lors de mes nuits agitées car privée de maman, j’allais me réfugier dans son lit.

Nous faisions parfois les 400 coups, lors d'épidémies, le dernier 3ème étage devenait une vaste infirmerie et les polissons essayaient de marcher sur les larges gouttières !

Trop d'images de toutes sortes et souvenirs heureux se pressent d’expériences inoubliables ou bien cocasses, de jeux en groupe ou contemplations dans les bois et vergers paradisiaques situés alors derrière le château.

Dans ce lieu, l’historique actuel ne nous mentionne pas, alors que notre Home d’enfants a occupé les lieux plus de vingt ans ! Et je suis en possession d’un livre de ce Château de Madame Sans Gène où nous les enfants de l’OPEJ sommes quand même bien mentionnés et mis en photos.

 

DOULEUR –

Qu’ont-ils fait de mon château !?!

Quand j’y ai amenée ma fille Marienka pour lui montrer mon enfance, j’ai eu trop mal et ce fut comme si l’on me mutilait  :

-        Les magnifiques parquets de bois avaient été arrachés pour faire les comptoirs de l’Hôtel de Ville

     

-        Les splendides moulures de plafond en fleurs sur lesquels je me réveillais le matin en les admirant .... étaient masquées par de faux plafond

   

-        Et j’ai failli faire une syncope lorsque je ne retrouvais plus le SENS, la direction juste de mon grand escalier

lequel je dévalais en voltigeant littéralement ou montait en vrai puis dans mes rêves et que je vois une fois gravir par la petite poupette Lily  de 6 ans avec sa nouvelle poupée Rébecca dont les grandes filles lui ont fait tous les habits...

Et pour cause, ils l’avaient tourné carrément dans un autre sens à son arrivée au rez de chaussée !

 

-        J’y ai encore pleuré la magnifique gigantesque salle de fête disparue du parc,  qui a vu tant de réjouissances. Elle était toute décorée par un artiste dans le genre Chagall avec tout autour de la salle en hauteur, entre les colombages, des personnages hassidiques pittoresques et aussi de magnifiques paroles en  lettres de feu Hébraïques.

 

-        Plus dur encore fut de constater que l’immense parc avec son grand jardin, ses  vergers et les bois avaient presque tous disparus : ils étaient complètement morcelés et vendus. 

Cassé mon beau paradis et sa nature prodigieuse idylique ! Profond malaise de voir endommagé le lieu de mes rêves et secrets, de mes expériences mystiques. Mais une fois reparti des lieux chéris,  j’ai bien vu qu’en moi, tout est demeuré inchangé : Intact mais je redoute de revenir sur place.

 

Pour être juste, je dois dire que ce monument historique lorsqu'il ne fut plus entretenu, après le retrait de l’OPEJ, ( la fondation qui a accueilli et veillé sur tant d’orphelins d’après guerre ou enfants juifs réfugiés de partout pour des raisons sociales ou politiques) aurait pu être détruit ! Alors que Fanny avait fait refaire la toiture.

Mais une Association de défense fut constitué et a volé à sa défense. Elle  a trouvé un financement et "mon" château  est devenu l’Hôtel de Ville non seulement de Combault mais de Pontault aussi.

 

Il y faisait bon vivre à la campagne.  Une vaste ferme jouxtait le domaine du château et nous passions juste devant en revenant de l'école située juste de l'autre côté du parc. Du haut du grenier bourré de déguisements, j’admirais la campagne paisible et les couchers de soleil. Mais maintenant, le village a bien changé en démultipliant sa population Avec le monstre capitale qui étend ses tentacules.

Peut être qu'un jour, je raconterai ...mais pour l'instant je préfère faire des livres pour enfants et m'occuper d'eux.

D'ailleurs mon engouement et projet pédagogique date du château, de mon enfance : je voulais créer un orphelinat avec des enfants de partout aussi. Mon aspiration était suscitée par mon admiration des bons soins que nous recevions. Vers 12-13-14 ans, j'avais conscience que de petits enfants mal traités auraient donné le pire et nous, bien traités, le meilleur, que nous étions sauvés par l'amour, la pratique des arts.

Alors ce n'est pas un orphelinat, L'Oiseau Lyre mais j'accueille les enfants depuis 7h45 à 16 h et nous avons une vie très familiale, par contre les enfants viennent aussi du monde entier et mon projet est bien éducatif pour épanouir au mieux les enfants, leur donner la force et la joie de vivre, la protection de leur enfance.

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Agnès Piantadosi,

Ana Lebre, Annie SUBRA,

Barbara Navarro,

Brigitte Schoorman-Delaby,

ESPIAU,

Lambé Jean Paul,

philippe Schoorman (alias FISCO),

umelda leloup

 

Belle fête à chacun  de mes 9 jumeaux du 13 juin !

Nous sommes les éternels ludiques lutins

émerveillés de beauté !

Nous nous sommes réveillés

En ce jour étoilé,

Comme au premier matin.

Et chacune de notre vie les années,

Heureux et comblés d’être nés

En ce mois des roses et des milles fleurs offertes

Yeux écarquillés devant les multiples découvertes.

 

Quel bonheur d’être venus en ce doux parfumé temps,

Dans le signe des gémeaux et son ultime uranien décan,

En ce jour fleuri de juin, des mois le plus joli.

Nous sommes pétris de l’ambiance de joie et lévité  

De l’heureuse fête aérienne de la Saint Jean

Qui Inspire danse, musique et poésie

Et nous fait sauter haut par-dessus le feu prestement,

Nous nous sentons à l'aise et  libérés

Quand l’air devient transparent et si léger

Qu’il nous soulève de joie et nous fait danser !

Il nous pousse alors des ailes pour nous envoler,

Et pour déclamer mille vers enchantés !

 

Notre ange attitré se penche sur nous, en ce beau jour

Nous adombrant de son fidèle divin amour

Pour nous rappeler nos projets premiers, nos aspirations

et nous donner toujours plus de force et d’inspiration

afin d’aller toujours plus en avant sur notre chemin

Toujours plus en accord à nous mêmes, plus loin !

 

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http://friendfeed.com/melog101/24092c4e/au-secours-nos-lyceens-sont-epuises-paris-match

(Deuxième moitié de l'article)

L'équilibre personnel des jeunes est trop souvent sous-estimé»

Marianne Dodinet est un de ces proviseurs qui n’ont pas peur de la nouveauté. Elle règne sur le collège Georges-­Brassens, dans le XIXe arrondissement parisien, un établissement modèle dans un quartier populaire, et n’hésite pas à utiliser la loi de 2005 qui donne à chaque chef d’établissement le droit à l’expérimentation. A ses élèves les plus en difficulté, elle propose chaque matin une heure d’aide au travail personnel. Et des ateliers semestriels d’art des jardins ou du cirque. « Le rapport au corps, l’engagement dans la vie associative, le respect des règles, tout cela peut concourir à la réussite. En revanche, je refuse d’augmenter leurs heures de cours. Le problème n’est pas là. » Et de regarder avec satisfaction le sondage qui montre que les deux tiers d’entre eux s’estiment « bons élèves ». Qu’importe le manque de lucidité ! « L’estime de soi est la base de tout apprentissage. Il n’y a pas d’acquisition possible des savoirs sans elle. Mais on peut l’acquérir en dehors de l’école. C’est même recommandé en cas d’échec. Des performances sportives en hausse, ce peut être des notes qui s’améliorent. »

Mme Dodinet ne s’intéresse pas qu’aux élèves en difficulté. Elle participe elle aussi à l’expérience « cours le matin, arts et sports l’après-midi », en association avec le conservatoire de musique et le club de tennis de son quartier. A la fin du premier trimestre, elle constatait que les notes avaient suivi le moral. « L’équilibre personnel des jeunes, observe-t-elle, est essentiel. Et trop souvent sous-estimé. »

« En travaillant moins, on apprend mieux

Il y a plusieurs dizaines d’années que cette organisation du temps, sur le modèle anglo-saxon, a été mise en place dans le VIIIe arrondissement de Paris, au collège Octave-Gréard et au lycée Racine qui ­accueillent dans des classes dites « à double ­cursus », les élèves du conservatoire de Paris dont ils sont voisins. L’enseignement y est dispensé le matin ou l’après-midi. La recette connaît un tel succès que le recrutement s’est élargi à des conservatoires de quartier ou des écoles d’art dont les parents se communiquent les adresses en catimini.

En 2009, le nombre de récompenses (félicitations, ­tableaux d’honneur, encouragements) obtenues au collège par les élèves des deux systèmes a été comparé. A leur arrivée en sixième, les « double cursus » étaient légèrement en retard : 41 % contre 45 %. Au deuxième trimestre, la réussite s’inversait largement, 76 % contre 50 %. A la sortie de la troisième, les élèves des classes à double cursus, qui suivent pourtant un enseignement artistique d’au moins deux heures par jour sinon davantage, obtenaient encore 11 % de récompenses en plus que leurs camarades à temps plein. Une différence que la principale, Mme Alexandre, explique par l’engagement des familles. Au lycée Racine, voisin, on ne cache pas que l’excellent taux de réussite au bac (de 91 à 97 % selon les années) résulte encore de la présence, dans les statistiques, des élèves artistes. Tout se passe comme si les acquis extérieurs, l’appui sur les talents créatifs, développaient la capacité de concentration, la mémoire, la rigueur. Et si en travaillant moins, on apprenait mieux... »

 

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Un cerveau mélomane

Selon le psychologue américain Howard Gardner,
la créativité musicale est l’une des fonctions fondamentales du cerveau, au même titre que le langage et la logique mathématique. Au Centre de neurobiologie de l’apprentissage et de la mémoire de Californie, le physicien Gordon Shaw et la psychologue Frances Rauscher ont mené une expérience auprès d’une cinquantaine d’enfants de 3 et 4 ans, répartis en trois groupes : pendant huit mois, le premier groupe a reçu des cours individuels de piano et de chant ; le deuxième, des cours d’informatique; le troisième n’a reçu aucune formation spécifique. Les enfants ont ensuite subi des tests de reconnaissance spatiale (arrangement de puzzles, assemblages de volumes, mise en couleurs d’éléments en perspective, etc.). Le groupe des pianistes en herbe a obtenu un résultat supérieur de 31 % à celui des autres enfants ! L’apprentissage précoce de la musique favoriserait donc le développement des circuits neuronaux dans les zones de représentation spatiale du cerveau.

Par ailleurs, une équipe de chercheurs chinois vient de démontrer qu’en stimulant la mémoire, l’apprentissage de la musique favorisait celui du langage. Ces études montrent surtout que, au cours des premières années de la vie, le cerveau – donc la façon de penser, de réagir, de se comporter – ne se construit pas seulement à partir des stimuli visuels et de l’ambiance familiale, mais aussi en fonction de l’environnement sonore. La manière dont il est structuré peut ainsi correspondre au style de certaines musiques. Par exemple, un cerveau « logique » et analytique se sent dans son élément avec une musique dite « intellectuelle ». C’est pourquoi beaucoup de mathématiciens adorent Bach ! Un cerveau « intuitif » ou « émotionnel » est plutôt touché par des musiques romantiques…

Initier les enfants à la musique classique ne peut donc que leur être profitable. S’il n’y a pas d’âge pour apprendre à écouter, il ne faut pas commencer par des œuvres trop « chargées ». Choisir des œuvres « simples » (Prokofiev ou Schumann ont aussi écrit pour les enfants) et varier les styles pour voir celles qu’ils préfèrent. Il en va de même pour l’apprentissage d’un instrument : la limite d’âge n’est fixée que par le développement des capacités motrices. Dès qu’un enfant sait s’asseoir sur une chaise et se servir de ses mains, il peut, par exemple, apprendre le piano. Mais il faut lui laisser le temps de découvrir l’instrument par lui-même avant de l’envoyer chez un professeur…

Des effets psychologiques

Outre notre fonctionnement mental, notre structure psychique est elle aussi influencée par la musique. Depuis des années, des musicothérapeutes tentent d’établir une relation entre les types psychologiques et les formes musicales… en vain : les études statistiques révèlent que deux personnes au tempérament « identique » peuvent avoir des goûts musicaux très différents. En effet, comme pour la nourriture, c’est notre milieu familial et culturel qui façonne nos goûts. En outre, la musique est porteuse de sens : un rythme spécifique, une phrase mélodique, une œuvre, une ambiance musicale particulière ou un son peuvent être associés à une expérience ou à une période précise de notre enfance. Une personne qui, petite, a été bercée par les chansons de Brel éprouve certainement de grandes émotions en l’écoutant, adulte. Un enfant qui, un jour, a été effrayé par le bruit des tambours au passage d’une fanfare risque d’éprouver toute sa vie une aversion irraisonnée pour ce genre de musique…

On peut cependant, dans les différents styles musicaux, dégager des constantes qui permettront une première sélection d’œuvres. Bien sûr, les tendances qui vont suivre sont très schématisées. Par ailleurs, les effets varient considérablement selon les conditions d’écoute, les interprètes, l’environnement, la posture et, finalement, notre état psychologique et physique général. Pour certaines personnes, travailler en musique, par exemple, peut être propice à la concentration, à la créativité ou, encore, à la détente mentale. Il n’y a qu’une seule façon de découvrir les effets de la musique : essayer !

Les musiques et leurs effets

Chant grégorien : basé sur les rythmes de la respiration, il donne une impression d’espace. Excellent pour travailler, se concentrer, méditer, il atténue le stress.

Baroque : les mouvements lents de Bach, Haendel ou bien Corelli donnent une sensation de stabilité, d’ordre, de sécurité et créent un environnement stimulant pour les travaux intellectuels.

Classique : la transparence et la clarté de compositeurs tels que Haydn ou Mozart améliorent la concentration, la mémoire et la perception spatiale.

Romantique : c’est la musique la plus chargée émotionnellement (Chopin, Liszt, Wagner) car elle recouvre toute la gamme des sentiments, de la plus grande tristesse à l’exaltation mystique.

Jazz, blues : les multiples formes « classiques » du jazz peuvent évoquer, comme la musique romantique, toutes les émotions humaines, mais elles ont un impact plus tonifiant sur l’organisme.

Rock : certaines formes « classiques » du rock stimulent les passions, d’autres relâchent les tensions intérieures. C’est la musique dont les effets divergent le plus d’une personne à l’autre.

Heavy metal, punk, grunge… : ces musiques, généralement écoutées très fort, affectent directement le système nerveux en sollicitant de manière excessive les tympans et les nerfs auditifs. D’où des réactions physiologiques immédiates telles que l’augmentation des battements cardiaques, de la respiration, de la tension, etc.

Techno : la pulsation et la fréquence de la basse rythmique qui sous-tend toute la techno dite « commerciale » évoquent les battements cardiaques. Plongé dans une ambiance techno, l’organisme est contraint de s’adapter à ce rythme, et ces fréquences modifient celles du cerveau. Ce qui provoque, à la longue, comme un « état de transe ». Les spécialistes de la médecine énergétique chinoise affirment que cette musique perturbe très gravement le « qi ancestral », c’est-à-dire l’énergie qui nous relie à nos vies passées et futures.

Sacrée : orientales, occidentales traditionnelles ou modernes, toutes les musiques sacrées ont la particularité de distendre le temps et l’espace et de faire passer le cerveau en « ondes alpha ». C’est pourquoi elles sont propices non seulement à l’éveil spirituel mais aussi à la relaxation et à la réduction des douleurs.

http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Epanouissement/Articles-et-Dossiers/Musique-la-frequence-bien-etre/4Un-cerveau-melomane

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Le conte vu par Rébecca

http://lalyredalize.org/accueil.html

 

Le conte magique imagé

 

-     Univers magique de beauté, le livre de conte avec aquarelles originales devient ce compagnon précieux et mystérieux renfermant des trésors, parfois venus de la nuit des temps et parlant droit au cœur par son récit profond,  imagé par des gestes d’âme colorés. Par ses peintures aux teintes expressives, aux couleurs douces ou vives, il  ouvre des mondes de liberté où l’imagination peut s’étendre à l’envie et rêver.  Ici chaque conte est un paysage d’âme, l’un est coloré comme l’été flamboyant et l’autre doux et recueilli comme nous sommes au cœur de l’hiver. Une communion peut s’opérer, à chaque page, dans chaque image.

  
La portée du conte et sa valeur pédagogique profonde -
 
Le conte initie à la Magie du Verbe, au mot juste, aux phrases harmonieuses, musicales et bien équilibrées.
Par lui, l’enfant, puis l’élève s'imprègne de la structure logique du récit. Il enrichit aussi bien son imaginaire, que son français et peut prendre goût à l'élocution, à la narration.
Le conte donnée en récit développe aussi le sens de l'écoute, dans une qualité d'intériorité très profonde, écoute non seulement en soi, mais aussi des autres dans cette "ronde" d'écoute.
Le conte développe tout naturellement le goût de la lecture -
 
Le livre devient ce compagnon précieux et mystérieux renfermant des trésors si variés, venant de la nuit des temps et parlant droit au cœur par l'image verbale, car il est montré à l'enfant comment les contes sont recueillis dans ces ouvrages à déchiffrer.
L'essence du conte, nourriture essentielle
 
Les contes, ces histoires en images, ne sont pas inventés à la manière des créations littéraires. Ils descendent soit des grandes mythologies et sont des émanations d'une mémoire populaire relatant les récits d'initiés, soit ils proviennent d'une imagination toute inspirée. Mais tous décrivent les pérégrinations de l'âme dans sa quête pour devenir.
De fait, le conte est intemporel car en joignant l'en deçà et l'au-delà, il devient puissance évocatrice, création d'un imaginaire à la fois universel et propre à chaque personne.
 
Le conte est un art suggestif et évocateur riche en significations et retentissant de portée intérieure mais extérieurement, c’est un art discret et modeste qui ne demande qu’à être transparent pour laisser briller les joyaux cachés contenu à l’intérieur du conte.
 
Il permet la formation d’images intérieures libres qui évoluent au fil du temps. Aussi les illustrations qui le servent doiventelles être d'une grande délicatesse de suggestion et laisser encore une grande ouverture possible au rêve et à l'imagination, à la représentation personnelle.
 
Les images verbales du conte sont des archétypes de portée symbolique vécues au second degré, au sens figuré et non au sens propre. Ainsi elles agissent doucement dans l’être de l’enfant lui permettant tout un cheminement intérieur personnel d’identification et de métamorphose  au cours des années.
 
Le conte est source de forces morales. Il stimule les élans les plus nobles de l'âme humaine et  la renforce dans ses impulsions de combattre tout ce qui est petit et mesquin et de cheminer résolument dans la voie du bien, avec courage.
 
Les contes continuent à vivre dans l'âme de l'enfant et l'éduquent de l'intérieur, lui permettent de développer une moralité vraiment personnelle. D’ou l'importance de ne pas défigurer le conte en le moralisant. Un conte authentique est sans jugement car il a sa force en lui-même et il a le pouvoir de renforcer la confiance et la positivité à l'égard de la vie et du monde : les contes ont une fin heureuse véhiculant force intérieure, espoir et justice. Et c'est pourquoi nous recherchons des couleurs lumineuses douces ou intenses.
 
Le conte décrit en tableaux simples les épreuves que l'homme doit traverser pour s'accomplir et trouver la cohésion de son être dans la confiance en soit et au monde.
Il permet, grâce au talent du conteur de pouvoir extérioriser ses angoisses  et sa peur devant un monde imaginaire inconnu ou connu, mais dont l'image doit rester discrète pour laisser libre place aux représentations intérieures personnelles.
 
Le conte est proche de la nature de l'enfant par sa nature volontaire faite d'actions où la réflexion est plus intuitive que réfléchie. Le conte se rapproche aussi de l'enfant par l'irrationnel qu'il suggère et comme dans son jeu imaginatif, il ouvre tous les possibles.
 

Conscient d’une telle portée dépeinte par nous et du fait qu’il s’agit ici d’un monde intérieur et non de réalités proprement dites et concrètes, -  nous avons à cœur de faire en sorte  que l’image colorée soit toujours subtile et non trop appuyée, ni théâtrale – et encore moins caricaturale - dans sa représentation, pour laisser encore libre le cheminement intérieur. Et surtout nous avons à cœur que par son traitement des couleurs, les images illustrées soient fidèles à la mission des contes d’être rayonnants et positifs, car les contes éveillent à une transcendance et  ouvrent l’avenir.

Sur quoi peut ouvrir le Conte à l’école ?
 
Il y a bien des façons de faire fructifier un conte, après tout un temps de gestation à respecter bien sûr. Cependant, le conte doit rester un cadeau, du domaine du plaisir récréatif (malgré les questions sérieuses qu'il traite), et donc il ne serait pas adéquat qu'il aboutisse à un devoir noté.
Si l'ambiance est préservée par le professeur, le fil bien gardé, le conte peut susciter chez l'élève:
* un récit libre faisant appel à son élocution, sa mémoire, son imagination,
* un récit écrit, rédaction libre faisant appel en plus à l'orthographe et une plus grande concentration et approfondissement sur tous les plans: français et imagination,
* des dessins, des peintures partant du conte,
* une expression par les marionnettes,
* des saynètes, du théâtre,
* une recherche de livres, ou sur un thème donné en lien au conte.
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https://artsrtlettres.ning.com/photo/cauchemar?commentId=3501272%3AComment%3A770851&xg_source=msg_com_photo

L'homme a le libre arbitre de nourrir ou de repousser ses démons intérieurs et de cultiver un centre serein :

nous avons ainsi toute une ménagerie en nous à dompter pour ne pas la laisser nous dominer que nous avons ou pas habituée depuis longtemps à nous habiter, nus influencer.

Autrefois, et il n'y a guère longtemps, ici en occident, religion et morale établie mettaient un frein net à toute cette jungle intérieure depuis des lois extérieures, Mais à présent que l'homme et la femme se sont émancipés à juste titre pour aller de l'enfance à l'adolescence de leur évolution personnelle, l'initiation moderne est dans la vie de tous les jours qui comporte tant d’épreuves par la transformation et la mitrise de nos bébêtes intérieures.

Je pense que vous avez dû avoir aussi des rêves symboliques et archétypaux avec des animaux qui figurent telle ou telle autre aspect de votre âme : Cheval, chat, chiens, ours, renard.

Une fois j'étais assise sur un centaure, exactement comme dans la mythologie. Avec son haut humain sur un corps animal comme dans le signe du Sagittaire : le centaure figure la  maîtrise des instincts.
Une autre fois, deux chevaux  blancs fougueux étaient conduits par des rennes partant du dessus de mes pieds (volonté inconsciente) au lieu que j'ai la maitrise de la conduite par mes mains comme sur la carte du tarot du Chariot. Et je souffrais beaucoup de cette non maîtrise, j'étais toute jeune et je ne concrétisais pas mes aspirations mais les rêvais,   d'où ce coup d'auto semonce qui m'a fait si mal et provoqué un réveil brusque !

Les psychanalistes analysant l'oeuvre de Bosch - qui m'a passionnée depuis des 15 ans - lui trouvaient tous les vices alors qu'il était le voyant de la grande bataille "invisible" dans et autour de l'âme humaine.

Le grand ami guide de mes 12 à 18 ans était psychologue et s'appelait justement Boschi et j'avais la passion depuis ce temps de découvrir les mystères de l'âme humaine, lisant tout ce que je pouvais ramasser !

 

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http://www.lemonde.fr/a-la-une/portfolio/2012/03/08/henri-matisse-s-expose-a-beaubourg_1654151_3208.html

10 images de tableaux

http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Manifs.nsf/0/74951096E37F5FB0C125795F00364512?OpenDocument

Une autre belle vidéo plus fournie

Plaisir d'aller découvrir cette belle exposition

à Beaubourg - Paris

cet après midi, vendredi 1er juin 2012

avant d'aller reprendre mon train !

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Paroles d'arbres


Dimanche - Foi
S'élevant vers les hauteurs et traversant la lumière
Parle le frêne, l'arbre du Soleil d'Or :
"Ô Homme, sois sincère et distingue-toi,
Ne te dissipe point, ni ne soi indigne,
Sois rempli de la conscience de ta noble humanité."


Lundi - Désir
Ainsi dit la Lune d'argent lors de la fête du printemps,
Dans les cerisiers en fleurs qui, l'été, porteront fruits :
"Ô Homme, transforme-toi comme la plante,
Purifie tes instincts, mûris et cueille les fruits de ta vie !"


Mardi - Solitude
Ainsi dit le chêne noueux, le serviteur de Mars de fer :
"Ô Homme, enraciné en profondeur,
Élève-toi dans les hauteurs !
Fort, vigoureux, sois un lutteur, un chevalier, un protecteur."


Mercredi - Vœu
Ainsi dit Mercure en vif-argent dans l'Orme à la vive croissance
Dans les ailes de sa semence :
"Ô Homme, sois mobile, actif, éveillé, prompt, vif."


Jeudi - Intention
Ainsi parle l'érable aux larges feuilles étalées,
L'arbre de Jupiter à qui l'étain est voué :
"Ô Homme, sache vaincre en toi la hâte et la dureté,
Ménage-toi des heures de calme et de paix,
Pour que puissent éclore sagesse et bonté."


Vendredi - Décision
Ainsi parle Vénus, l'astre de cuivre dans le bouleau blanc virginal,
Ses racines frêles et sa soif de lumière :
"Ô Homme, plein d'Amour, affine ta sensibilité dans la délicatesse, admire la beauté."


Samedi - Concentration Souvenir
Ainsi, dans la sombre forêt de hêtres, sapins et cyprès,
Parle Saturne, antique arbre de plomb :
"Ô Homme, dans le malaise de notre ère et de l'humanité entière,
Sens ta responsabilité, prends avec coeur et gravité
La tâche que la vie t'assigne."


Johannes Hemsleben

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http://greenlinkers.org/2012/02/21/artwork-les-villes-revees-de-luc-schuiten-2/

En sortant des films débats de Coline Serreau, je rencontre ce monsieur si fin et raffiné, auréolé de ses cheveux

blancs argentés, assis à la table de présentation des livres qui dessine paisiblement pour dédicacer un de ses très

beaux livres d'architecture futuriste.

Je réalise qu'il est l'homme que je recherche - invité d'honneur représentant la Belgique et je le lui dit sans ambages.

J'essaie de découvrir un peu son œuvre à travers ses livres d'art présentés sur la table et puis d'en parler avec lui.

Il essaie gentiment de m'expliquer que ses créations veulent aller jusque dans les matériaux naturels....

que ce n'est pas le courant de l'architecture organique et goethéen que je connais ...

Mais, en fait,

je ne comprendrais que peu de temps après, les tenants et aboutissants de son oeuvre

en découvrant le bel et grand espace qui lui est dédié en plein centre de la deuxième des trois grandes salles

gigantesques en enfilade de la Foire Ecobio :

une grande exposition de ses oeuvres géantes nommée UTOPIE, avec les projets pour Bruxelles, ville futuriste

évoluant entre 1950 et 2150 par des métamorphoses architecturales végétales successives, et les projets pour les

villes de Nantes et Lyon.

Une petite vidéo explique l'esprit de son travail concernant l'usage de matériaux révolutionnaires extraits de la nature,

des arbres et de la mer.

Comme Luc Schuiten m'a répondu que certains de ses réalisations sont visibles dans Bruxelles, je reste intriguée et

aimerais savoir si certains d'entre vous les connaissent ?!?!

Ce qui est beau c'est que cet artiste poète, dessinateur, architecte vit son rôle très positif d'ouvrir des possibles de

créations artistiques qui redonnent l'espoir et l'élan de créer de belles solutions urbaines d'à venir,

au contraire de l'impuissance et la résignation qui règnent et sévissent en ces temps chaotiques et destructeurs

d'immobilisme.

Cette vision architecturale ouvre des portes vers des matériaux naturels d'énergie renouvelable et non polluante,

elle propose des formes souples, harmonieuses et guérissantes.

Cette architecture d'urbanisme ouvre de nouvelles façons de vivre conviviales.

http://www.cmpaix.eu/DP_Utopia.pdf

http://www.ecoloinfo.com/2009/10/05/la-magnifique-cite-vegetale-de-luc-schuiten/

http://www.mundaneum.be/fichiers/pdf/pedasecondairelight.pdf

Je suis contente de trouver cet intitulé : "De l'Atlantide aux cités du futur"

car j'ai immédiatement songé en découvrant ses dessins de villes

aux visions des villes de l'Atlantide complètement intégrées à la naturedont parle Edgard Cayce.

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