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Publications de Charlier Loïc (7)

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Un merveilleux tableau

Protégée, d’un chaud soleil d’été

A l’ombre d’un grand chêne du sentier

Là, assise sur un banc, une jeune maman

Avec dans son landau, un tout petit enfant

 

Soudain, le bébé se fait pleurant

Sous le regard attendri de sa maman,

Il ne sait pas dire j’ai faim

Mais ses pleures en sont bien le refrain

 

La mère le porte à ses genoux

Son regard est si tendre et si doux

Elle relève pudiquement son boléro

Et donne à l’enfant, son sein en cadeau

 

Qui se met à téter goulûment

Sous les yeux ravis de sa maman

Ses petites mains, toutes potelées

Collées au sein, pour ne pas le lâcher

 

Comme il est beau, et attendrissant

De voir ce bébé et sa maman

Cela donne un peu de douceur

Dans ce sentier aux promeneurs

 

Je détourne les yeux de ce magnifique tableau

Que persiste à regarder, un bien curieux moineau

J’aurais aimé être comme l’oiseau regardant

Sans que mon regard se fasse un peu gênant

 

Le repas fini, l’enfant souriant est repu

Le sein bien sage on ne voit plus,

Mais ce fut un moment de beauté à saisir

Ou le sein de la femme n’est pas nommé désir

 

Bien plus tard, quand ce bébé sera grand

Qu’il se fera à la femme caressant

Que sa mémoire lui rappelle ces instants

 

Pour à son oreille lui murmurer

Que chaque femme est une maman en devenir

Pour le plus beau des cadeaux à nous offrir

Et que cela vaut, tout notre respect

 

Loïc-le-26-7-2014 !!

 

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Va me dit-elle

Va me dit-elle promène toi

Sort un peu de chez toi

Profite du soleil, qui réchauffe la ville

Ballade toi, l’esprit tranquille***

Comment veut-elle, elle le sait bien

Que je puisse aller le cœur serein

Seul, sans sa main dans la mienne

Pour nous deux, pas de cela qui tienne***

J’aurais tellement voulu, sa naissance

Ou il n’y ait pas cette intolérance

Ou pouvoir s’aimer, est interdiction

Si l’on n’a pas, la même confession***

Alors je préfère, rester sous mon toit

Ou à ma guise  je pense à toi

Que faire du soleil et du ciel bleu

Qui à l’âme, me mettent que des bleus***

 Si un jour, je n’entendais plus

 Que mes yeux perdaient la vue

Seul, me viendrait le son de ta voix

Mes yeux morts suivraient ta voie***

Si ma mémoire se disloquait

D’avoir beaucoup trop pensé

Tu serais mon immortel souvenir

Toujours présente à mes désirs***

Et puis un jour, peut-être enfin

Je quitterai de la vie le chemin

Pour que je ne sais où, mon âme

S’envole, joyeusement de mes flammes***

S’il y a quelle que chose après la mort

Je sais que je t’aimerai encore

Mais là encore, je serai loin de toi

Car en Dieu moi je ne crois***

Tu es mon amie la plus fidèle

J’espère cette amitié éternelle

Je t’aime ce n’est pas une nouvelle

Mais grâce à Dieu, que c’est cruel

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Elle s'appelée Marion

En cet été, plutôt pluvieux

Me revient un souvenir heureux

Du temps de ma folle jeunesse

Ou tout se conjuguer avec ivresse

 

Elle s’appelée, je ne sais plus

Son prénom peut-être confondu

Un tout petit bout de femme

 Celles qui mettent mon cœur en flamme

 

Des cheveux très courts et blonds

Un visage fin et long

Un beau sourire, des yeux pastel

A mon regard comme une aquarelle

 

Dans un petit sous bois discret

A la fraicheur en ce bel été

Ma main tremblante, à son visage se posa

Ma taille entourée de ses bras

 

A l’orée d’une clairière

Sans autre manière

Un tapis de mousse

Nous servirait de couche

 

Comme par un vent léger

Sa robe  longue, son chemisier

Tout en douceur, je lui enlevais

Découvrant la beauté de sa nudité

 

Ce fut comme un feu d’artifice

Ma peau, à sa peau douce et lisse

Je n’entendais plus que ses soupirs

Ne voyais que ses yeux, troublés de désirs

 

Repoussant, l’instant de jouissance

Qui enflamme tous les sens

Pour l’aimer encore et encore

Dans ce tendre cœur à cœur, corps à corps

 

Sa longue robe, son chemisier remis

Contre un arbre, comme à l’abri

Elle cachât deux petites larmes

L’amour venait de faire d’elle une femme

 

Mon cœur a su retenir

Ce merveilleux souvenir

Et me rappelle son prénom

Elle s’appelait Marion

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Langage universel!!

 

Je l’écoute, elle n’a pas de mots

Juste des notes, parfois en sanglot

Pour magnifier, la peine d’un drame

Sur des arpèges, remplis de larmes

***Ses histoires sans paroles

Deviennent d’une gaité folle

Pour dépeindre les saisons

Sortant du cœur des violons

***Là c’est le son du piano

Qui dialogue en concerto

Ici seul, la main indécise

Il écrit sa lettre à Elise

***Ici une sonate en tempête

Digne de son interprète

Des caprices à l’infini

De monsieur Paganini

***Le violon remplace le piano

 Pour un autre concerto

Il rit, il pleure il chante

Chaque note nous enchante

***Puis soudain l’orchestre, s’enflamme

De milles notes sur toutes les gammes

De la beauté de sa langue universelle

Comme une peinture en aquarelle

***La musique n’a pas de mots

Mais on la comprend aussitôt

Nous y mettons nos joies ou nos peines

Pour un moment d’écoute sereine

***Et puis bien sûr, il y a Mozart

Que je place au sommet de l’art

S’il est un dieu, peu importe son nom

A ce géni a posé un doigt sur le front

***Si l’humain, avait ce langage universel

Ne serait-il pas un peu moins cruel

Mai c’est encore un rêve utopique

Ou seul le poète à y croire s’applique

Loïc-le-13-10-2014!!

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L'encre de ma plume!!!

Les encres ou je trempe ma plume

La personnalité, de mon être résument

Celle coulant de mon cœur

Est faite de rires et de pleures

 

Celle venue de mes colères

S’empourpre, devient sévère

Se révolte, dénonce et condamne

En regardant le monde, et ses drames

 

Celle puisée à mon regard curieux

Vagabonde, observe en tous lieus

C’est l’encre de toutes diversités

Qui alimente bien des sujets

 

Quand à l’encre de mes pensées,

Elle est parfois bien embrouillée

Souvent de couleur bien noire

Mais toujours tournée vers l’espoir

 

Celle qui ruisselle de mon âme

Est la plus belle, réservée à la femme

Elle a la couleur et le parfum des fleurs

Pour dessiner, les contours de son cœur

 

Que dire de celle de mes humeurs

D’où coulent, bien des rancœurs

Parfois aussi moqueuse, un peu coquine

Dure, injuste parfois, on le devine

 

C’est l’encre de ma dite raison

Qui coule souvent en déraison

Donnant trop souvent ses faveurs

A celle de mon pauvre cœur

 

Mais c’est à l’encre de ma conscience

Que je puise toute ma reconnaissance

Pour chacune et chacun de vous

Qui pour me lire, sont au rendez-vous

 

Loïc-le-21-8-2014

 

 

 

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La rose

Ce matin une rose est tombée

Il l’avait posée là, sur son oreiller

Elle avait attendu, mais c’était endormi

Avec de doux rêves pour embellir sa nuit

 

Sur la pointe des pieds, il entra dans la chambre

La beauté de son corps, la finesse de ses membres

Sa chevelure cuivrée, sa tendre pâleur

Tous ses sens endormis, l’envahir de bonheur

 

Comme pour ne pas l’éveiller, d’une infinie douceur

Sa main un peu tremblante, sur son front il posa

Avec au fond de lui l’espoir qu’elle s’éveilla

De doux baisers il
posa à son cœur

 

Alors comme un incendie, que l’on ne peut maitriser

Leurs corps dans la nuit finirent par s’enlacer

C’est par ce silencieux tumulte, au fond de leurs draps

Par leurs corps amoureux provoqué, que la rose tomba

 

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Corps de femme

Je vais vous la décrire

Mais il ne faudra lui dire

En cette belle matinée de printemps

Elle est dansante, au bord de l’étang

 

Puis elle fait une pause

Pour que son corps repose

Elle défait ses longs cheveux

A la tresse fermée par un nœud

 

Doucement elle quitte son corsage

Libérant deux petits seins bien sages

A mon pauvre cœur en naufrage

Mais par la beauté ébloui reste sage

 

Sa jupe bien courte, glissante

Aux pieds de ses longues jambes

Me laisse découvrir, l’harmonie

De ses formes bien définies

 

Elle se refait beauté dansante

Heureuse, rien ne la tourmente

Elle est femme moderne

Son oasis nue à l’épiderme

 

Elle me regarde et me sourit

M’invite à la nudité aussi

Mais devant la beauté, de femme qui ondule

L’homme nu, a l’air bien ridicule

 

Dans un éclat de rire sonore

Elle jette à l’étang son corps

Me laissant rêveur contemplatif

A la beauté du cops de femme admiratif

 

Loïc

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