L’obélisque perce le bleuet le sang de Dieu coule surl’or du couchant.Dans l’olympe, les déessesrêvent d’un amour mortel.Est-ce toi avec ta beauté d’homme,qui viendra surprendre la paresseet l’ennui des femmes de plumes ?Avec tes mains charnellestu caresseras des corps de brume.Les corps de brumesous tes mains charnellesauront des frissons de feuilles.Un village d’oiseaux brisera le silence.Anne-Marie Derèse
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