Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009

« Que le Diable nous emporte…» est d’abord un roman d’anticipation qui peut être simplement apprécié comme tel. Mais derrière la fiction se dessine un « conte philosophique » sur le thème de l’agressivité inhérente à l’espèce humaine. Et sur les perspectives ouvertes par de futures avancées scientifiques de parvenir un jour à chasser définitivement nos démons…Il s’agit plus précisément de l’histoire d’hommes et de femmes quittant définitivement la Terre pour aller coloniser une planète orbitant autour d’un astre très éloigné du système solaire.Cet exode, rendu possible par la technologie d’une époque située à quelques siècles de la nôtre, a été jugé nécessaire en raison de la dégradation rapide des conditions de vie et du « contrat social » qui font craindre le pire pour l’avenir de la race humaine.Il s’agit donc d’un projet visant à garantir la pérennité de l’espèce en préservant d’une probable annihilation un petit échantillon d’individus qu’une délicate intervention chirurgicale au niveau du paléo-cortex a rendus beaucoup moins agressifs que leurs semblables.
Lire la suite...
Envoyez-moi un e-mail lorsque des commentaires sont laissés –

Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !

Join Arts et Lettres

Commentaires

  • Quinze mille hommes et femmes, jeunes et en bonne santé, choisis parmi une élite intellectuelle, porteurs d’une petite mais importante modification anatomique qui les rendait, sur le plan comportemental, très différents de leurs semblables, ont réussi à établir une colonie à l’autre bout de la galaxie, puis à fonder - non sans mal - une civilisation humaine beaucoup plus prometteuse que celle dont ils s’étaient séparés.

     

    Mais tout va se trouver remis en cause lorsque leurs descendants, parvenus - non sans avoir dû en payer le prix douloureux -  à récupérer leur héritage cosmique et la maîtrise des voyages spatiaux, sont amenés à répondre à un vieil appel de détresse, s’acheminant du même coup vers la fin de leur bienheureux isolement…

This reply was deleted.