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Quand on arrive en ville

C'est l'antithèse du même titre dans Starmania : ici, ce ne sont pas des caïds qui font peur mais des êtres rampants qui viennent pour ne pas être seuls. La ville a gardé ses couleurs clinquantes mais elle est en train de s'effondrer : de plus en plus d'habitants s'y agglutinent et ses édiles n'ont raisonné sur son organisation et ses possibilités d'accueil qu'en termes financiers. Métaphore : sans fondements solides, basés sur le bien commun, une société s'effondre. Si on suit les "affaires" de corruption du monde des décideurs que nous avons élus en nous limitant au domaine de la construction, on comprend qu'une société qui perd ses fondements moraux présente des signes inquiétants d'effondrement. (On peut élargir en pensant au peu d'efforts fournis pour sauver notre petite planète bleue : tant pis pour nos descendants !)
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Commentaires

  • très bonne synthèse, la ville est à la dérive comme le reste...

  • Des poids lourds à la Cassius Clay devenu Mohamed Ali. Faut l'faire.

    Tant qu'il était là, dans cette banlieue "difficile", il faisait contrepoids.

    Maintenant, il habite Hollywood et ne pratique plus que le Parkinson ( en salle ).

    Et la banlieue...ses frites, ses cervelas, sa sauce pili-pili. J'ai perdu le fil. C'est qui, déjà, Parkinson?

  • Alors ce sont des gros pois !

  • Il est temps de mesurer les poids de nos espoirs !

    Je vois des graines germées à l'avant plan

  • .................Moi  j'en repars  vite   .............

     Il manquait un fil à plomb!

  • J'y vois , aussi, du vert et des fleurs à l'avant-plan , donc la nature est présente, et un maximum de bâtiments de joyeuses teintes de  roses et violets , qui laissent deviner que malgré la laideur  liée aux villes et leurs édiles , la beauté ( serait-elle uniquement intérieure... ? )  reste gagnante ... l'artiste a ce pouvoir !!

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