Juin 2012TriptyqueAcrylique et encre sur toile20 x 40 (3)" Entre les souffles frais de l’hiver vient se pavaner une petite teinte d’espoir. De sa petite taille fluette, un bourgeon se dresse fièrement sur un arbre nu. Assez le froid, assez le gris ! L’air le fait danser, il frémit ! Délicat, comme l’est un bourgeon, timide comme un rayon de soleil de début de printemps, il pointe son nez frileusement. Le printemps arrive, et il veut que tous le sache.Ce petit bourgeon n’étant pas seul, la curiosité devint bien plus piquante que la gêne, et l’envie que faire rayonner le printemps le titille. Un pétale, puis un autre, encore suivi d’un autre ! Tous viennent chercher la douceur de la rosée matinale. Le bourgeon n’est plus. La fleur est éclose. "
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