Juin 2011Acrylique sur toile40 x 40" Trop de verticales entravaient ma pensée. Trop de verticales me voilaient l’horizon. Cette forêt, c’est dans cette forêt brumeuse que tout s’emmêle. A droite, un arbre, à gauche, un arbre, face à moi, une infinité d’arbres. J'erre, je déambule, tout m’étouffe, tout m’asphyxie. J’ai besoin de sortir, fuir cette dense masse graphique : mais je n’y parviens pas. J’ai perdu mon chemin au sein de ses bois. Peut-être me retrouvera-t-on un jour… Lorsque les sylvains pousseront racines vers le ciel. "
Lire la suite...
Commentaires