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Arts et Lettres
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Parle-moi, ma mère ;
Je te donne ce nom car
Aucune femme ne le fut d’aucun homme
Comme tu l’es pour moi.
Parle-moi, dis-moi
Un seul mot en ces jours immobiles,
En ces jours informes
Qui contre toi se dressent
Tels d’amers poignards
Aux mains de tes propres fils.
Cernuda
Chère Liliane,
La gaieté, bien évidemment !
Merci Liliane pour cette appréciation sensible. C'est en effet ce qui pour moi aussi ressort de ce tableau. Et la gaité des couleurs sert à traduire une grande joie intérieure.
Claude
Bonjour Claude ,
En admirant le beau portrait de votre Maman , je vois le visage de la 'Tendresse, toute imprégnée de l' Amour'.
Magnifique ! Merci pour le partage .
Bonne et belle journée à vous .
Amicalement . Liliane .
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Commentaires
Parle-moi, ma mère ;
Je te donne ce nom car
Aucune femme ne le fut d’aucun homme
Comme tu l’es pour moi.
Parle-moi, dis-moi
Un seul mot en ces jours immobiles,
En ces jours informes
Qui contre toi se dressent
Tels d’amers poignards
Aux mains de tes propres fils.
Cernuda
Chère Liliane,
La gaieté, bien évidemment !
Merci Liliane pour cette appréciation sensible. C'est en effet ce qui pour moi aussi ressort de ce tableau. Et la gaité des couleurs sert à traduire une grande joie intérieure.
Claude
Bonjour Claude ,
En admirant le beau portrait de votre Maman , je vois le visage de la 'Tendresse, toute imprégnée de l' Amour'.
Magnifique ! Merci pour le partage .
Bonne et belle journée à vous .
Amicalement . Liliane .