Cette mer rugissante de colère rappelle les vagues-submersion de l'Océan Atlantique sur le bassin d'Arcachon comme votre mer d'encre le suggère.
Tempête en Aquitaine ( 3 Mars 2016 )
Mars, le souffle de l’Océan se déchaîne. Sous les bas nuages fous, des pins sans joie, Maintenant noirs d’ennui, comme lourds de peine, Jettent à la mer leurs aiguilles qui tournoient.
La tempête embrasse ces corps fiers et droits, S’acharne sans pitié comme avec rancoeur, Déracine les plus faibles ici et là, Casse et fracasse ces pauvres en vainqueur.
La bas vers le Bassin le port est dévasté. Dansent, s’entrechoquent et craquent de douleur Des esquifs fragiles troués et bombardés Par la main féroce de ce géant sans coeur .
L’ Océan insiste, frappant la jetée ; Quand un rayon soudain perce puis devient bleu, Alors, le peintre surpris sous la nuée Respire et efface le vent peu à peu !
Commentaires
J'aime !!!! on ressent la force !!
Merci luc !
La mer déchaînée, j'adore !
Voilà pourquoi, peut-être, j'aime tant la Bretagne.
Je suis sauvage.
Très atmosphérique.....D'une légèreté impétueuse.....
La tempête est certainement l'état d'âme le plus facile à exprimer en peinture, merci Jean François .
Merci Paul pour votre visite.
J apprécie beaucoup de travail Dans la tempête il n y a pas de frontières Votre tempête elle est réelle !
Chers amis,
Voilà que je découvre vos cadeaux.
Je ne pensais pas que ma mer en furie susciterait tant d'admiration, alors je vais en faire un billet de partenariat reprenant vos interventions.
Dès que j'en ai le temps, très bientôt.
Merci encore.
Félicitations Liliane,
cette vague déferlante,
noire comme encre,
sur les rochers figés
s'en vient se fracasser
en gerbes écumantes,
nous laissant admiratif et tremblant à la fois devant cette rage indomptable...Que d'émotions devant cette aquarelle, merci
Quelle énergie dans ces quatrains! voici une musique!
Cette mer rugissante de colère rappelle les vagues-submersion de l'Océan Atlantique sur le bassin d'Arcachon comme votre mer d'encre le suggère.
Tempête en Aquitaine ( 3 Mars 2016 )
Mars, le souffle de l’Océan se déchaîne.
Sous les bas nuages fous, des pins sans joie,
Maintenant noirs d’ennui, comme lourds de peine,
Jettent à la mer leurs aiguilles qui tournoient.
La tempête embrasse ces corps fiers et droits,
S’acharne sans pitié comme avec rancoeur,
Déracine les plus faibles ici et là,
Casse et fracasse ces pauvres en vainqueur.
La bas vers le Bassin le port est dévasté.
Dansent, s’entrechoquent et craquent de douleur
Des esquifs fragiles troués et bombardés
Par la main féroce de ce géant sans coeur
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L’ Océan insiste, frappant la jetée ;
Quand un rayon soudain perce puis devient bleu,
Alors, le peintre surpris sous la nuée
Respire et efface le vent peu à peu !