Oui, la lutte contre sa coquille… C’est la plus difficile de toutes les luttes. Merci pour ce haïku superbe, merci pour ton amitié, Avec la même amitié partagée, Antonia
Merci Jean-Pierre, pour votre commentaire avisé. C’est le subconscient qui guide les pas de l’artiste vers une telle ou telle manière de s’exprimer, qui parfois se complète l’une l’autre. « L’homme et sa coquille » est en fait une femme (je ne suis pas une vraie féministe, rassurez-vous !) ; pourtant, je trouve que l’art permet tout aussi bien aux hommes qu’aux femmes de libérer leur « ego » profond, de se découvrir eux-mêmes, en se montrant aux autres. Cette image, inspirée par un vers du poème « Luciole » (« Coquilles fermées de solitude (…) »), résolut ce problème. D’accord avec Christiane Singer ; quant à Socrate, on naît avec ce désir de se connaître, afin de s’améliorer.
Commentaires
C'est une image possible d'une âme. Il y a parfois même dans la lutte une certaine élégance. Merci Joëlle, amitiés,
J’ai créé cette image pour illustrer mon poème « Luciole » (publié aussi sur ce site). Merci pour votre résonance, Aden Wilson.
Magnifique création esthétique à message subtil et profond qui me parle.
Amitiés
Cette photo ferait une merveilleuse couverture pour un recueil de poésies. LOL
Il est auprès de moi sur mon bureau.
Bonsoir chère Antonia.
Oui, chère Claudine, oser ouvrir sa coquille c'est libérer la danse intérieure de la perle qui s'y cache.
Les huîtres perlières renferment parfois des surprises, telle celle-ci. Beaucoup de grâce, très belle photo.
Oui, la lutte contre sa coquille… C’est la plus difficile de toutes les luttes. Merci pour ce haïku superbe, merci pour ton amitié, Avec la même amitié partagée, Antonia
Naître de plus en plus, à chaque instant...tout le chemin d'une vie, devenir soi afin de mieux accueillir l'autre.
"Issus de poussières d'étoiles,
Nous sommes chacun
des semeurs d'aurores" P. Eyben
Bravo, pour ce beau partage! Mes amitiés, Pascale
Merci Jean-Pierre, pour votre commentaire avisé. C’est le subconscient qui guide les pas de l’artiste vers une telle ou telle manière de s’exprimer, qui parfois se complète l’une l’autre. « L’homme et sa coquille » est en fait une femme (je ne suis pas une vraie féministe, rassurez-vous !) ; pourtant, je trouve que l’art permet tout aussi bien aux hommes qu’aux femmes de libérer leur « ego » profond, de se découvrir eux-mêmes, en se montrant aux autres. Cette image, inspirée par un vers du poème « Luciole » (« Coquilles fermées de solitude (…) »), résolut ce problème. D’accord avec Christiane Singer ; quant à Socrate, on naît avec ce désir de se connaître, afin de s’améliorer.
Amitiés, Antonia