Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009

Le rêve exquis

Le rêve exquis
Lire la suite...
Envoyez-moi un e-mail lorsque des commentaires sont laissés –

Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !

Join Arts et Lettres

Commentaires

  • Bonsoir à vous, vous pouvez retrouver le poème et votre peinture en ligne :)
    Voici le lien Le Rêve Exquis - Arts et Lettres (ning.com)
    Encore merci pour cet agréable partenariat ...
    Je reviendrai vers vous pour un autre tableau si vous le voulez bien ?
    Très belle soirée, Laureen

  • Bonjour, merci à vous d'accepter ce partenariat, je vais donc laisser ma plume suivre les vibrations de ce superbe tableau et reviens vers vous dès que le poème est en ligne ! Passez une excellente journée ... Laureen

  • Je me réjouis de savoir que vous êtes sensible à mon tableau "Le rêve exquis". J'en suis honoré  Lauren! Merci pour l'intérêt que vous portez à mes créations...

  • C'est juste magnifique ! Je suis éblouie par cette toile, je dirai même inspirée ... Les couleurs sont lumineuses et cette jolie femme endormie est resplendissante ! C'est fascinant ... Je serai bien tentée de laisser ma plume se connecter à votre œuvre, qu'en dites-vous ? Passez une agréable fin de journée, Laureen

  • administrateur partenariats

    Bonjour Salvatore, votre Rêve exquis a rejoint le très beau blog de partenariat dédié au nu féminin !

    Félicitations pour votre peinture.

    Liliane

    " Etre une femme "

  • Je suis profondément touché  pour l'intérêt  que vous portez à mes tableaux! Je vous en remercie chaleureusement!

    Un grand Merci du Cœur pour le très beau poème de Desashelle qui me touche beaucoup!

  • administrateur théâtres

    Ecoute, Bûcheron, arrête un peu le bras!
    Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas:
    Ne vois-tu pas le sang, lequel dégoutte à force
    Des Nymphes qui vivaient dessous la duré écorce?
    Sacrilège meurtrier, si on pend un voleur
    Pour piller un butin de bien peu de valeur,
    Combien de feux, de fers, de morts et de détresses
    Mérites-tu, méchant, pour tuer des Déesses?
    Forêt, haute maison des oiseaux bocagers,
    Plus le cerf solitaire et les chevreuils légers
    Ne paîtront sous ton ombre, et ta verte crinière
    Plus du soleil d'été ne rompra la lumière,
    Plus l'amoureux pasteur sur un tronc adossé,
    Enflant son flageolet à quatre trous percé,
    Son mâtin à ses pieds, à son flanc sa houlette,
    Ne dira plus l'ardeur de sa belle Janette.
    Tout deviendra muet; Echo sera sans voix;
    Tu deviendras campagne et, en lieu de tes bois,
    Dont l'ombrage incertain lentement se remue,
    Tu sentiras le soc, le coutre et la charrue;
    Tu perdras ton silence, et haletants d'effroi
    Ni Satyres ni Pans ne viendront plus chez toi.
    Adieu, vieille forêt, le jouet de Zéphyre,
    Où premier j'accordai les langues de ma lyre,
    Où premier j'entendis les flèches résonner
    D'Apollon, qui me vint tout le coeur étonner;
    Où premier admirant la belle Calliope,
    Je devins amoureux de sa neuvaine trope,
    Quand sa main sur le front cent roses me jeta
    Et de son propre lait Euterpe m'allaita.
    Adieu, vieille forêt, adieu têtes sacrées,
    De tableaux et de fleurs autrefois honorées,
    Maintenant le dédain des passants altérés,
    Qui, brûlez en été des rayons éthérés,
    Sans plus trouver le frais de tes douces verdures,
    Accusent vos meurtriers et leur disent injures.
    Adieu, chênes, couronne aux vaillants citoyens,
    Arbres de Jupiter, germes Dodonéens,
    Qui premiers aux humains donnâtes à repaître!
    Peuples vraiment ingrats, qui n'ont su reconnaître
    Les biens reçus de vous, peuples vraiment grossiers
    De massacrer ainsi nos pères nourriciers!
    Que l'homme est malheureux qui au monde se fie!
    O Dieux, que véritable est la Philosophie
    Qui dit que toute chose à la fin périra
    Et qu'en changeant de forme une autre vêtira;
    De Tempé la vallée un jour sera montagne
    Et la cime d'Athos une large campagne,
    Neptune quelquefois de blé sera couvert;
    La matière demeure, et la forme se perd.


      Pierre Ronsard

  • administrateur théâtres

    ainsi reposait la fée Viviane? 

  • Merci pour vos commentaires qui me touchent particulièrement! Bien à vous.

  • Beaucoup de fraîcheur dans cette composition!

    Bravo!

This reply was deleted.