Je le jure! je n'avais pas pensé à Baudelaire en réalisant cette toile! peut-être à Dostoievsky... ou à Stefan Zweig! merci de me rappeler ce poème d'un de mes auteurs-phares!
Merci Claude, pour m’avoir mise les pieds sur terre… Je ne soupçonnais pas ; mon imagination divaguait dans des thèmes revanchards, féministes… Hm, votre toile… c’est de la pure magie, comme dans les romans des grands écrivains que vous venez de citer.
Antonia, je dois à la vérité de dire que la dame debout à droite n'est autre que la croupière... l'employée du Casino. L'air désespéré des joueurs rappelle peut-être ces joueurs des romans de Pouchkine, Dostoievski, Zweig...
La femme joue (debout), signe qu’elle gagne, tendis que les hommes (assis) la regardent consternés, voire désespérés… A la table de jeu tout est possible…
Commentaires
Je le jure! je n'avais pas pensé à Baudelaire en réalisant cette toile! peut-être à Dostoievsky... ou à Stefan Zweig! merci de me rappeler ce poème d'un de mes auteurs-phares!
"Autour des verts tapis des visages sans lèvre,
Des lèvres sans couleur, des mâchoires sans dent,
Et des doigts convulsés d'une infernale fièvre,
Fouillant la poche vide ou le sein palpitant",
Charles Baudelaire,
qui continue d'abattre les cartes de son "Jeu"
"Voilà le noir tableau qu'en un rêve nocturne,
Je vis se dérouler sous mon oeil clairvoyant".
merci Michel! j'en reste confondu!
Ambiance... Bravo pour votre talent, votre éclectisme
... et refaits!
merci de ton passage Fab.
Hum ...les " Je" ....sont faits
voici le croquis que j'ai comis sur place dans ce casino. Mais ce qui est intéressant dans une oeuvre c'est que chacun y voit ce qu'il veut!
Merci Claude, pour m’avoir mise les pieds sur terre… Je ne soupçonnais pas ; mon imagination divaguait dans des thèmes revanchards, féministes… Hm, votre toile… c’est de la pure magie, comme dans les romans des grands écrivains que vous venez de citer.
Merci Nada et Antonia.
Antonia, je dois à la vérité de dire que la dame debout à droite n'est autre que la croupière... l'employée du Casino. L'air désespéré des joueurs rappelle peut-être ces joueurs des romans de Pouchkine, Dostoievski, Zweig...
La femme joue (debout), signe qu’elle gagne, tendis que les hommes (assis) la regardent consternés, voire désespérés… A la table de jeu tout est possible…
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