Vous voyez, les idées sont comme l'eau, elles trouvent d'autres chemins pour se répandre.
Tien elle est intéressante cette métaphore ! Il y a des esprits qu'elles submergent d'autres qu'elles humidifient à peine. Et les idées dans lesquelles on baigne comme dans un brouillard, l'air du temps auquel on n'échappe pas...
J'essayais maladroitement d'expliquer qu'il ne faut pas systématiquement assimiler l'oeuvre à son créateur ni aller chercher dans son vécu une explication basée le plus souvent sur des notions de psychomogie primaires.
A force de vouloir "explquer" une oeuvre on en arrive, comme c'est le cas pour l'art conceptuel (qui est l'art officiel de notre époque) à pondre des pages de considérations savantes pour justifier 3 cailloux, reliés par une ficelle à côté d'un tas de sable et pompeusement baptisé "installation"
Le vécu joue évidemment unr role dans la création. Mais dans quelle mesure et par quels chemins ? Comme une illustration de ce vécu ? Comme réaction, comme négation ? un spectacle aperçu dans la rue (par exemple un accident) peut produire un choc qui modifiera quelque chose dans le cerveau et sera à l'origine d'une oeuvre qui est à mille lieues du spectacle lui-même.
Comme Robert Paul a fermé la discussion sur les "tripes artistiques" d'Eric Migom, je viens directement sur votre page vous remercier pour votre seconde réponse ayant trait à "fini de jouer"!
C'était joliment et courageusement dit! Merci ma Dame!
Commentaires
Bonsoir Jean-Marie
Vous voyez, les idées sont comme l'eau, elles trouvent d'autres chemins pour se répandre.
Tien elle est intéressante cette métaphore ! Il y a des esprits qu'elles submergent d'autres qu'elles humidifient à peine. Et les idées dans lesquelles on baigne comme dans un brouillard, l'air du temps auquel on n'échappe pas...
J'essayais maladroitement d'expliquer qu'il ne faut pas systématiquement assimiler l'oeuvre à son créateur ni aller chercher dans son vécu une explication basée le plus souvent sur des notions de psychomogie primaires.
A force de vouloir "explquer" une oeuvre on en arrive, comme c'est le cas pour l'art conceptuel (qui est l'art officiel de notre époque) à pondre des pages de considérations savantes pour justifier 3 cailloux, reliés par une ficelle à côté d'un tas de sable et pompeusement baptisé "installation"
Le vécu joue évidemment unr role dans la création. Mais dans quelle mesure et par quels chemins ? Comme une illustration de ce vécu ? Comme réaction, comme négation ? un spectacle aperçu dans la rue (par exemple un accident) peut produire un choc qui modifiera quelque chose dans le cerveau et sera à l'origine d'une oeuvre qui est à mille lieues du spectacle lui-même.
Tout cela est très compliqué et je m'exprime mal.
Amicalement
LISETTE
Lisette, bonjour
Comme Robert Paul a fermé la discussion sur les "tripes artistiques" d'Eric Migom, je viens directement sur votre page vous remercier pour votre seconde réponse ayant trait à "fini de jouer"!
C'était joliment et courageusement dit! Merci ma Dame!
Bien cordialement,
Jean-Marie Cambier