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crocrits

Mes carnets disposés en spirales évoquant la coquille d'un nautile.D'un côté, les carnets largement ouverts suggèrent l'envol, l'ouverture vers les autres;de l'autre, les carnets plus fermés symbolisent le repli, l'introspection.
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Commentaires

  • Remis en vedette dans le cadre de mon annonce http://bit.ly/1MxE9Jl

  • Merci beaucoup, Claudine, pour votre gentil message! j'ai également eu une pensée élogieuse à votre intention que j'ai partagée avec un ami qui m'accompagnait lors de la visite d'Art Event Namur!  Mais comme vous étiez absente, je n'ai pu vous l'exprimer de vive voix!

    Bien cordialement,

    Jean-Marie Cambier  

  • J'admire beaucoup ce don inlassable d'observation et de réflexion . C'est très vivant ce défilement de vie .Bravo Jean-Marie.

  • Merci Sandra 

  • Merci Jeanne-Sylvie !
  • Bonjour Jacqueline;merci d'être venue faire un tour sur ma page!

  • ... et pas moyen de corriger cette mauvaise manoeuvre due à un copié-collé malencontreux alors qu'à d'autres endroits du site, l'on dispose de plusieurs minutes pour rectifier le tir! Désolé !      

  • Ma démarche a très bien été expliquée par Robert Paul en peu de mots!Je considère ces carnets comme une oeuvre en soi et je les expose ainsi 2965994644?profile=RESIZE_1024x1024comme en témoigne cette photo de mon exposition en 2012 à la maison du Hainaut. 

    Certes beaucoup  d’artistes tiennent un carnet dans lequel ils croquent des paysages ou des personnages qui servent à leurs futures œuvres. En ce qui me concerne, mes carnets peuvent sous certains aspects remplir ce rôle mais pas seulement ; la cadence avec laquelle je les tenais depuis plus de 20 ans et les tiens encore et l’obstination de ma démarche, ce désir, ce plaisir d’explorer le quotidien de mon environnement et de mes pensées et d’en rendre compte par le croquis et l’écrit en font un réel instrument de vie. 

     Sans doute est-ce une façon de répondre vaille que vaille à ce désir de mon enfance non assouvi d’être explorateur, de ces explorateurs naturalistes à l’ancienne qui notaient tout ce qu’ils voyaient, hommes, plantes animaux dans leur carnet. La vie ne m’ayant pas donné l’occasion de réaliser ce rêve, je me suis dit : 

    - qu’à celà ne tienne, j’explorerai le quotidien, je me livrerai à l’ethnographie urbaine, je traquerai la banalité!

      

    Certes beaucoup  d’artistes tiennent un carnet dans lequel ils croquent des paysages ou des personnages qui servent à leurs futures œuvres. En ce qui me concerne, mes carnets peuvent sous certains aspects remplir ce rôle mais pas seulement ; la cadence avec laquelle je les tenais et les tiens encore et l’obstination de ma démarche, ce désir, ce plaisir d’explorer le quotidien de mon environnement et de mes pensées et d’en rendre compte par le croquis et l’écrit en font un réel instrument de vie. 

     

    Sans doute est-ce une façon de répondre vaille que vaille à ce désir de mon enfance non assouvi d’être explorateur, de ces explorateurs naturalistes à l’ancienne qui notaient tout ce qu’ils voyaient, hommes, plantes animaux dans leur carnet. La vie ne m’ayant pas donné l’occasion de réaliser ce rêve, je me suis dit : 

    - qu’à celà ne tienne, j’explorerai le quotidien, je me livrerai à l’ethnographie urbaine, je traquerai la banalité!

     

    Ces carnets sont devenus petit à petit un lieu d’introspection, un lieu de réflexion, d’auto-analyse, un lieu où ma pensée soumise comme chacun d’entre nous d’ailleurs à la rationalité pour faire face aux relations sociales ordinaires donne libre cours à son penchant naturel pour un mode de fonctionnement que j’ai appelé pensée « comptine » (marabout, bout de ficelle, selle de cheval,… ;-) associant des idées inutiles dans le contexte de la vie courante mais riches d’inventions et profitables à l’imaginaire.  

     

  • merci Jean-Marie de voir encore ces carnets prodigieux un jour, feuilletés à Senghor.
    Amitiés

  • Merci,Michelle, pour votre commentaire élogieux!

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