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bague "méandre"

Argent
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Commentaires

  • 2965951830?profile=RESIZE_1024x1024

  • Quelle voix chanterait cela? Il s'agit d'un chant polyphonique où s'harmonisent et dissonnent au moins trois voix en quête d'un point d'orgue difficile à tenir, surtout si l'une des voix se brise, s'éteint avant de trouver la note. Elle ne manque pas de souffle pourtant, elle est claire cette voix et puissante sans tonitruer (tonituer j'avais écrit!). Michel-Arthur, c'est donc ta voix qui manquera au choeur autant qu'au coeur de ceux qui ont l'ineffable plaisir de l'écouter sonner, scander, vibrer. Il n'est point de barreaux assez forts pour t'empêcher d'aller plus avant. Ta voix immatérielle tord l'acier trempé comme d'autres brisent le verre. A bientôt sur le cours d'autres méandres.
  • Chacun peut en effet lire ce qu'il veut... J'ai répondu en un message aux deux conteurs qui ont entrepris de courir sur les chemins de ce "méandre" en une joute verbale à laquelle je prends part avec délice. Cette fenêtre où j'écris en réponse à Arthur en son royaume, pour que peut-être la balle ne transperce jamais son pied, en réponse à Carl sentinelle sur le toît, qui veille, est un espace de liberté comme dans la "faille" que tu connais, où un instant je m'amuse de voir se tramer un "roman de la rose" courtois ( je n'ai pas dit cours toi!), dont les protaganistes connaîtraient les limites implicites et explicites. Mais un espace où les rêves font éclater la fenêtre qui les circonscrit. Alors oui, beaux rêves à toi et à chacun de nous tous et merci de ces beaux échanges qui illuminent un peu ce temps qui est le mien.
  • Tu te tires... dans le pied la balle d'argent vif que pour toi j'ai forgée. Maladroit que tu es encore une balle perdue! Tu l'as trouvée en vidant tes poches, car tu sais que les sangsues et les gueux sont nombreux sur la route qui pilleraient les ors , les heures, les éclats de rire de diamant. Je te regarde de dos, boîtant, je te regarde et je te vois, pour la première fois et peut-être l'ultime. Bel homme blessé. Comment marcher sur un seul pied? Tu l'as cherché!
    Tu cherchais dans mes yeux un miroir où te voir. Tu t'es trop penché, qu'as-tu vu de toi dans ces eaux là, as-tu croisé quelques noyés?
    Tu n'as pas fermé la porte en partant. Je te suis des yeux, j'appelle ton nom mais ma voix est muette. M'as tu entendue pourtant, car tu t'es retrourné, au loin ta main se lève et m'effleure la joue, ou bien est-ce la pluie qui tombe du toît? Carl es-tu là? Il pleut dans ma maison!
  • Cher Carl, qu'importe les murs, les barreaux, les menottes pour un passe-muraille. Faute de soupirant il y a toujours un soupirail par où te faufiler comme un souffle furtif. Jamais captif, tu es l'air que nous respirons, et s'emplir les poumons est mieux que bon, c'est vital!
  • Et si elle partait avant, emportant les velours, les améthystes, les écrins de ses paumes, empaquetés dans le bout de chemise avec son coeur jeté au milieu. Qu'il est lourd ce balluchon sur son dos, et combien chaque pas lui déchire la chair. Que gardera t elle en dernier quand elle aura tout laissé sur le bord de la route?
  • Gong court ou hasard, et foulard, méandre d'art, mots tendres, je préfère arrondir les angles.

    B(l)ague à part: bague à coeur, bague bonheur.
  • Hmmm, joli! Carl a de la concurrence!
    Merci
  • Tu t'y perds un peu ?...Quelle blague !
    C'est comme toi : je ne me perds jamais dans le(s) méandre(s)... Avec ou sans Argent
    Tandis que dans le labyrinthe oui ! Tu le sais comme moi qu'il est parfois salutaire de se perdre... baguée ou pas.. On trouve de l'Or .
    Agnès, je te souhaite de rencontrer, toujours, les plus belles énergies sur le chemin de ton atelier ! File !
  • La bague labyrinthe? Je ne sais pas, je m'y perds un peu!
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