HommageElle nous offre une mélodie, qui nous emporte sur les Chemins de la Mémoire et comment dire et redire l'enfer de Varsovie, ou parler de l'Eglise rouge prise dans le Mur de Berlin couverte de barbelés ?!Encore et toujours la musique des mots, comme le vent dans le feuillage, comme une pluie d’un soir d’orage, le pépiement des oiseaux au fond de son jardin……..Dans ton manteau d’espérance,Nous n’irons plus boisNous ne verrons plus le Mur, il est tombé !Ni Verdun, ni les falaises de Calais,Ni les cygnes au bord de l’eau.Comme le sable entre les doigts.Le temps d’un siècle s’est écoulé,Quant enfant, tu posais des questionsQue tu rêvais de l’an 2000 sans Corrida,Sans marées noires, et sans soldats,Une larme coule lentement,Qu’écris-tu donc maintenant ?Que fais-tu aujourd’hui,Sous un ciel gris chargé de pluie ?Joues-tu du piano ?Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ,Lorsque souffle la tempête ?Non, tu reste là, seule à ruminer le passé, ceux qui t'ont oublié, car ainsi va la vie, comme un cheval fou, qui ne peut s'arrêter !Mais nous au Chant d'Oiseau, relisons tes écris et pensons souvent à toi .
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