Dans le quartier de HohenzollernEntre la Sarre et les casernesComme les fleurs de la luzerneFleurissaient les seins de LolaElle avait un coeur d'hirondelleSur le canapé du BordelJe venais m'allonger près d'elleDans les hoquets du pianola.Le ciel était gris de nuagesIl y volait des oies sauvagesQui criaient la mort au passage...
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Commentaires
...qui chantaient la vie, le voyage...
...la musique des orages...
Et l'Unique...et...
Le Sage...