D'un geste délicat je te vole à mon rêve Je sens sur moi tes doigts puis soudain tes lèvres Je ne peux me contenir, ta beauté me fais avouer Tout ces vieux souvenirs qui en moi étaient noués. . L'air sonne en musique, le vent fait jouer les notes L'ambiance devient magique et l'on oublie toutes nos fautes. On troque notre détresse et nos espoirs non comblés Contre un fleuve de tendresse si grand qu'il fait trembler.
Nos âmes enfin réunies me font revivre la couleur Qui par le temps était ternie et par l'amour et la douleur. Le calme qu'apporte tes yeux m'emplis de joie et me réconforte Alors je me crois Dieu, qui maîtrise tout jusqu'à ta porte.
Mais tu n'existes pas, tu n'es qu'illusion Qui ne vit qu'en moi, dans mon imagination
On me dit tant de choses Il y a mille vérités Tout ce qu'on me propose J'aimerais tant y gouter Tous les chemins s'opposent Mais lequel emprunter. Et cette vie en rose A-t-elle vraiment exister?
Que sais-je du temps passé Est-il perdu ou mort Que sais-je des gens lassés Ont-ils raison ou tort Que sais-je de ce qui n'est pas qui je suis ?
On me parle de bataille De raison de se battre Mais l'homme est-il de taille A jouer sa vie aux cartes On me parle d'amour Avec un grand AIME Mais même l'amour Est berceau de haine
Que sais-je des espoirs cassés Et de ce rêve injuste Que sais-je d'être enlacé Et suis-je assez robuste Que sais-je vraiment de ce qui n'est pas qui je suis ?
On me dit d’être ferme Quand je veux avancer Pour qu'à terme Je puisse être bercé Par le doux sentiment Qu’est la réussite Qui s’obtient par les dents Et que l’on félicite.
Que sais-je des destins brisés Par désir de fortune Que sais-je des rêves écrasés Sous le poids du bitume Que sais-je enfin qui n’est pas qui je suis ?
Je sais qu’un mot peut compromettre Tous les plans établis Qu’un sentiment peut naître Dans les cœurs les plus gris Qu’un geste peut suffire Pour tout recommencer Qu’il faut parfois souffrir Pour pleinement apprécier
Mais qui sait où va le monde Et pour quelles raisons Et tous ces glaciers qui fondent Changent-ils nos saisons ? Faut-il aimer toujours, Ou de temps en temps ? Est-ce réellement l’amour, Le plus important ?
Que sais-je du bonheur Si tu n’es pas là Que sais-je de ces peurs Qu’il y a en soi Que sais-je ,dis le moi.
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Issu d'une banlieue sans issue poursuivit par les sangsues, Sans succès dans la vie je voulais que les autres soient de mon avis Qu’ils comprennent ce qu’ils prennent, ce qu’ils traînent Je ressens leurs peines directement dans les veines et pour personne c'est une vie saine Pour un délire, un délice, une délivrance et si t'as de la chance un état de transe N'est ce pas la le pire, faut pas rire et faut surtout réagir. La volonté est ta seul arme la résigner attire les larmes Qui vont couler le jour du drame ou tu seras tué par ta came Et toxicomane sur la balance il y a deux grammes qui vont décider de la trame De l'histoire, du mélodrame, qui va arriver à ton âme Cercle vicieux dirigé par des cons anxieux tous armés de silencieux Et seul s'en sortent les plus chanceux mais on n’entend jamais plus parler d'eux Pourquoi? À mon avis ils sont aux cieux. Deux grammes sur la balance et la police te traque Un jour vient la balance et la police t'attrapes. Des espoirs désespérant te laissent croire que t'es dans le rang Rangé, dérangé, enragé tu veux changer Laissé passer le temps passé et avancer sans dépasser 29 du 11 2002, deux heures du mat c'est la grosse def, dose départagées Et pour 100 balles c'est dur de partager Le temps a passé et franchement tu trouves que t'as avancé ? Inutile de te donner de leçon, toi même tu sais garçon Avant c'était sans souci pas besoin de chercher Aujourd'hui t'as des sous que si tu les as volés Olé, olé c'est la fête t'es défoncé, je suis désolé mais t'as tête c'est laisse tombé Tu tombes de haut face au mafioso, dans le deal il n'y a pas que des rigolos Rigole un jour, rigole toujours mais viendra le jour ou t'en feras le tour. Dans ce nouveau millénaire démarre une nouvelle ère Les gens se réveillent, veillent à trouver l'éveil Le monde n'a plus son pareil il sort enfin de son sommeil ou en tout cas il essaye. Mais ce n'est pas facile facilité par l'envie de ce qui est vil on vit loin de son domicile L'homicide vient par nature naturellement immature Les dures endurent se durcissent finissent dans le mur et mûrissent. Tu te lève encore tôt, tôt ou tard tu te lèveras plus tard Tu vois une moto c'est parti tu te crois motard Ton esprit divague tu perds contrôle tu n’es plus lucide Ton cœur fait des vagues tu perds ton rôle tu penses au suicide Tu te sens comme dans un nuage enfermé dans une cage Laisse-moi te dire que c'est dommage de partir avant l'âge. La came c'est comme une flamme qui crame ton âme Tu ne plais plus aux dames tu perds ton charme Amené en enfer enfermé dans une sphère Atmosphère difficile et pour s'en sortir c'est pas si facile Face à une telle situation la société incite à s'associer à cette sorte de sensation Sans ce soucié des solutions. C'est pas censé, elle est censée nous diriger vers le bon côté mais ne fait que nous en éloigner Elle crée des dealers de plaisir, d'illusion toute faite Oh oui mais dis leurs que le plaisir n'est que dans la tête Entêté tu veux tâter tout tenter, tout tester, test un jour test toujours Mais dans ton testament il n'y a rien pour tes enfants Chien errant de la société comme blanche neige tu es tombé dans le piège Piégé dans l'antre c'est volé au ventre Complexe et compliqué seules les personnes concernées comprennent le vrai merdier. Hanté par tes démons démontre moi que tu n'es pas un con Je te donne la solution laisse tomber ce poison Retrouve la raison il est temps mon garçon. Je ne suis pas ton tuteur ni ton père Ni ton instructeur ni le Saint-Père Je suis juste l'auteur de ses vers Je ne prie pas Allah, pas Bouddha, ni Jéhovah ni tout ça Mais ce en quoi je crois c'est qu'il y a quelqu'un qui veille sur toi et moi.
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Il faut me faire confiance Surtout ne pas avoir peur Car au bout de l'errance Attend le bonheur La sagesse est le chemin Qui mène à soi Pars tu verras bien Ce que tu y trouveras
La route la plus courte vers sa propre vérité reste celle que l'on évite.
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Le soleil est pareil qu'avant. Il s'avançait vers la fille qui s'excusait de sa maladresse. Si belle, si douce, tendrement bercé par les étoiles son cœur ne faisait que du bruit et se remplissait de son odeur et de son image. Sa joie qui s'accélère, ses mains qui ne trouvent plus leurs places. Et ses yeux qui ne quittaient pas ses yeux si beaux, si troublants. Il distinguait ses formes, si parfaites et pourtant le choix était vaste. Il comprit vite, c'est cupidon qui vient de le toucher. L'angoisse l'envahit, un nombre incalculable de, et si.., oui mais.., mais non.., lui traverse l'esprit. Elle l'a vu. Elle le regarde, serait-ce.., elle rougit. Elle sent monter un sentiment de gène et toujours ce pouls qui n'en fait qu'à sa tête. Ça y est ils se regardent, lui est crispé il n'ose sourire et puis soudain c'est elle qui le fait. Oh le soulagement, comme par magie un poids vient de s'envoler et un mur de se briser. Le cœur se calme, il est plus confiant. L'excitation dépasse le désir, la curiosité devient maître et l'attente se fait insoutenable, pas une seconde sans elle n'a l'air respirable, il doit s'approcher, lui parler, il la sent au fond de lui, il la ressent elle y est depuis toujours. Elle s'impatiente, il se décide et se lève et s'approche. Il se sent si ridicule, cet impression de tout faire mal alors qu'il ne fait que marcher, plus il se rapproche plus il perd son contrôle.Tiens bon cœur, tu y es presque. Il s'assoit à côté d’elle, fixe ses yeux et retombe dedans. Quel effet, il ne se reconnaît pas par contre il croit la reconnaître sans la connaître. C'est au delà des mots, ça a l'air plus ancien. Ils se regardent sans se parler mais se comprennent. Les bruits extérieurs n'existent plus, ils sont dans une bulle d'harmonie, ils se sentent bien, se sont envolés le stress et la peur. Pour laisser place au bonheur et à l'enthousiasme. Elle lui prend la main et sourit, elle est comblée, à cet instant de sa vie elle ne demande plus rien il lui suffit. Ce sentiment est partagé, l'amour, le vrai vient de naître avec son lot de dégâts et sa force qui les réparent.
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Je voudrais bien savoir quel est le problème à profiter de la vie ? Où est le mal à passer des bons moments, à s’amuser. La liberté n’est –elle pas justement de faire ce qui nous plait, de vivre la vie que l’on veut. Combien de temps va-t-on encore critiquer les hédonistes, les libertins ? Ne dit-on pas que la vie passe avant de dire « ouf », que l’on se lève un jour trop vieux, que quand on y prête attention une minute dure toute une histoire et qu’à peine le regard détourné le vrai épilogue pointe son nez. En sachant tout cela pourquoi alors ne pas dûment savourer chaque parcelle, chaque éclat, chaque détour d’une vie pourquoi ne pas tenter à tout prix d’assouvir ses désirs, de vivre heureux de son bonheur malgré le manque de celui-ci chez les autres. Car c’est une des grandes raisons principales invoquée lorsque l’on se questionne sur le fait d’être heureux. Le malheur de l’autre fait de nous des victimes. Quand bien même il y aurait une quelconque question de morale la dessous, j’aimerais que l’on arrête de se perturber la vie avec celles des autres, aimez-les, donnez-leurs mais il est grand temps de vivre et pleinement, pour soi. Car au fond qu’il y a –t-il d’autre qui compte et qui peut le plus pour soi que soi ? Les plaisirs sont multiples et les désirs sont variés, il y a tellement de possibilités que toujours on y arrive l’important c’est de le vouloir et de l’être. Etre prêt, être ouvert et profité.
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Je veux faire de la musique, je suis un artistique Particulier, unique, qui va défrayer la chronique Avec mes sons magiques, ma vie d'excentrique Avec mes textes mystiques je vais trouver mon public Puis entrer en politique et mieux répartir le fric Je veux faire de la chanson, sortez les instruments Je vais d'une belle façon vous expliquer mes arguments Je veux chanter la joie et apporter du bonheur Vous redonner foi en la puissance du cœur Je veux chanter l'amour et le faire devant vous Qui sais peut-être un jour quand nous serons tous fous Fou d'amour et de bonté, à vouloir tous se dire je t'aime A ne plus savoir à qui donner et à donner quand même Heureux comme ça ensemble, tous d'une même égalité On comprendra que l'on se ressemble, oubliant les nationalités
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