Daniel Bastié : Quinze rencontres artistiques - volume II
Quinze personnalités artistiques, toutes différentes et uniques, et un regard sur leur manière de procéder. Qu’ils soient écrivains, compositeurs ou peintres. Il s’agit de rencontres effectuées pour la revue « Bruxelles Culture » et qui présentent succinctement les activités de chacun au rythme de questions-réponses conviviales et participatives. Les quinze artistes sélectionnés apparaissent par ordre alphabétique. Bien entendu, à l’ère d’Internet, je ne peux que vous inviter à découvrir davantage de leur production par le biais d’un ordinateur. Bandes musicales, panorama de dessins et couvertures de livres foisonnent sur la toile en quelques clics de souris via des sites personnels, Youtube, Amazon, Babelio, etc. Voici un ouvrage sans autre prétention que celle de faire partager des coups de cœur et des élans d’amitié. Surtout, ne vous privez pas de plonger dans leur vie de plain-pied, faisant mentir le dicton qui clame que personne n’est prophète dans son pays !Au menu de cet opus : Myriam Buscema, Marc Brees, Christian Dalimier, Viviane Decuypere, Michel Dircken, Michael Loncin, Joske Maelbeek, Kate Milie, Silvana Minchella, Mythic, Cécile Parent, Huguette Van Dyck et,entre autres, Me’asa Weyo.
Daniel Bastié, né à Watermael-Boitsfort en 1962, est un auteur belge de langue française. Il réside à Bruxelles où il enseigne dans diverses écoles de la Cocof. Dès ses 16 ans, il explore différentes pistes créatives : de nuits blanches à écrire des contes, en passant par les mouvements de jeunesse, il peaufine sa formation à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles, avant d’entamer des études de journalisme à l’ULB qu’il abandonne et suivre un cursus qui l’amène à l’enseignement. Dès 1990, il travaille pour différents médias (AZ, Passe-Partout, Les Fiches belges du Cinéma, Grand Angle, Soundtrack, Saisons, etc.) avant de tenter l’écriture de romans. Au début de l’année 2010, Jacques Noël, directeur des Editions Grand Angle, lui propose de rédiger divers ouvrages qui traitent de cinéma. Un challenge, puisqu’il ne s’agit pas de produire le cinquantième volume sur Alain Delon ou Jean-Paul Belmondo, mais de cerner des genres qui n’ont jamais ou peu fait l’objet d’études. Sortent successivement des titres consacrés à la musique de film (Georges Delerue, Michel Magne, Philippe Sarde et François de Roubaix), ainsi que des analyses de longs métrages nés sous la houlette de la Hammer et devant la caméra de Jess Franco et de Jean Rollin.
Ed. Ménadès - 174 pages