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Publications de Beuzard Jeanne-Marie (14)

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Le cygne

Le cygne

Il était là glissant au fil de l'eau

Lumière faite de halos

On raconte... un conte..

Il dormirait sur un nuage, tout là-haut

Qui lui servirait de berceau

Pouvez-vous imaginer ?

Pareille beauté...

Je n'ai pu, en rêve, résister

A l'idée de le caresser

Etre de douceur, de langueur, tout floconneux

Donnant envie de vaporeux

Voyageur divin sorti du temps

Tu éblouis tant et tant...

Monde de velours et de silence

Qui a inspiré Saint-Saëns

Et lorsque tes ailes, tu déploies

Montant au ciel en émoi

Les étoiles pour toi

Chuchotent tout bas...

Jeanne-Marie

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A mon coeur meurtri

A mon Coeur meurtri

Il était là, tout mignon

Demandant grâce et pardon

Cœur joli tout meurtri

Rempli de cris

Je me suis arrêtée pour l’écouter

Avec pudeur, l’ai ramassé

Le réchauffant dans mes mains

Et lui offrant du vin

Lorsqu’au calice

Empli de suaves délices

Il s’est abreuvé

Attendrie l’ai regardé et à nouveau, de suite …je l’ai aimé

Ame pure et sensible

Troublante de fous désirs

Il était, seul, capable de parler aux astres

Dès que le feu s’attisait dans l’âtre

Et lorsque sa plume il prenait

La lune lui souriait

Et l’enveloppait de brume étoilée

Pour de mille feux embraser … toute la voie lactée

Cœur sorti de sous mon sein ... je t’ai remis dans ton écrin

Comprenant que tu étais mien

Et te touchant du bout des yeux

J’ai entrevu les cieux.

Jeanne-Marie

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Le violoncelle

Dans l’insécurité de ce jour

Je voulais te crier mon amour…

A toi… mon père

Etre si cher…

Que de souvenirs, de moments divins

Tu en jouais si bien…

Le violoncelle lové dans tes bras

Tu le caressais rien que pour moi…

Boccherini, Mozart, Lalo, Saint-Saëns

Prenaient tout leur sens…

Lorsque ton âme vibrait d’émoi

Tu réveillais la divine en moi…

Et ce jour, je monte… je monte à l’infini

Pour t’embrasser au paradis…

Hommage à mon père …. Jeanne-Marie

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Peinture divine

Poème de caresses, de tant de promesses

Nuit d’ivresse, faite de liesse

Mes yeux perdus dans les tiens

Je m’y noie jusqu’au matin

Puits de profondeur, monde de couleurs

Océan de douceur

Nos bouches s’unissent pour le voyage divin

Nirvana serein…

Tes doigts glissent Sublimes de délices

Et la soie de ma peau

T’offre ce qu’il y a de plus beau

Lorsque tes mains épousent mes courbes

Je bois voluptueusement à la coupe

Nous nous rejoignons

Valsant à l’unisson

Nos âmes dansent une folle farandole

Faite de toutes les paraboles

Ta bouche s’abreuve

Tes mains se meuvent

Mes seins brûlants de fièvre

Attendent le velouté de tes lèvres

Mon corps rendu, tel un arc tendu

Espère ta venue

Et lorsque nos doigts s’unissent

Comme de douces suppliques

La pureté des sons jaillit

Une note … gémit

Elle nous éblouit

Au-delà de l’inouï

Et fait resplendir encore et toujours…

Le doux délire de l’amour.

Jeanne-Marie

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Larmes de cristal

Larmes de cristal

Quoi de plus beau, de plus pur, de plus sage

Que d'offrir en partage

Le plus merveilleux des présents

Sorti du temps

Pour arroser les jardins amis

En attente de pluie

Pour que fleurissent les plus belles fleurs

Issues de mes pleurs

Amis... aimés

Je les dépose à vos pieds

Pour vous offrir ... ici

Les perles de ma vie

Jeanne-Marie

A mes amis de toujours... et aux nouveaux…..

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TRISTESSE DE LUNE

Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse ;
Ainsi qu'une beauté, sur de nombreux coussins,
Qui d'une main distraite et légère caresse
Avant de s'endormir le contour de ses seins,
Sur le dos satiné des molles avalanches,
Mourante, elle se livre aux longues pâmoisons,
Et promène ses yeux sur les visions blanches
Qui montent dans l'azur comme des floraisons.

Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive,
Elle laisse filer une larme furtive
Un poète pieux, ennemi du sommeil,
Dans le creux de sa main prend cette larme pâle,
Aux reflets irisés comme un fragment d'opale,
Et la met dans son cœur loin des yeux du soleil.

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Emois de Toi

Emois de Toi

Lorsque ton désir se fond en moi

Que se mêlent nos doigts

Que naissent de nos regards… nos émois

Mon plus beau poème… c’est Toi

Lorsque tes mains… timidement

Me découvrent avec ravissement

Que mes dentelles tombent… sans fracas

Mon plus beau poème… c’est Toi

Lorsque nos cœurs s’accélèrent

Que tes gestes s’affairent

Que ta langue s’immisce en moi

Mon plus beau poème… c’est Toi

Lorsque nos soupirs fusent

Tels les chants des muses

Aimant mon corps soumis à ta loi

Mon plus beau poème… c’est Toi

Lorsque tu effleures de ta main

Cette perle… la libérant de son écrin

Me laissant entrevoir le monde et son toit

Mon plus beau poème… c’est Toi

Lorsque de nos corps alanguis

Monte … un seul cri

Celui de l’Amour roi

Mon plus beau poème… c’est Toi

Lorsque repus, confiants, aimants

Nos regards se cherchent tendrement

Nous montrant le chemin… la voie

Mon poème le plus tendre, le plus doux … c’est Toi

Jeanne-Marie

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Je t'Aime

Je t'aime

Je t'aime dans la douceur d'un soir

Dans l'ivresse de l'espoir

Dans la chaleur de tes bras

Dans le plissé de tes draps...

Je t'aime dans le matin levant

Dans le désir naissant

Dans les baisers enivrants

Laissant nos corps ardents...

Dans le frisson assoiffé

Sublime de volupté

D'une caresse faite de sensualité

D'un moment de tendresse à hurler...

Je t'aime le jour et la nuit

Sous l'étoile qui luit

Dans le calme du ruisseau

Dans la force du roseau...

Dans le sourire et dans les larmes

Dans la pureté de mon âme

En attente d'éternité

A jamais... je t'aimerai...

Jeanne-Marie - 09.05.2003

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Volubilité du Qui suis-je ?

Volubilité du Qui suis-je ?

Pourquoi donc ne suis-je libellule, me posant sur ses paupières ?

Survolant doucement ses lacs clairs…

Butinant ses lèvres, au goût de miel

Me faisant caressante, douce, sensuelle

Pourquoi donc ne suis-je africaine ?

Veillant sur lui… le soir venu

Lui contant des histoires d’ébène

Provoquant ses sourires émus

Pourquoi donc ne suis-je drap de soie ?

Glissant, la nuit, sur sa peau comme... bouts de doigts

M’enroulant tel le gui

Me fondant en lui, sous la lune qui luit.

Pourquoi donc ne suis-je sensation ?

Belle et pure comme le diamant

Scintillement serein de la raison

Ouvrant ce cœur… que je sais aimant

Dur et doux d’ainsi aimer

Perdue… un jour parmi les grains de sable.

Volant parfois au vent capricieux et léger

Telle une feuille détachée de son érable

Ne sachant s’il est plus doux de voler que de se poser.

Jeanne-Marie – 17.09.2004

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Clin d'oeil au temps

Clin d'oeil au temps

Serait-ce les montres molles de Dali

Qui me donnent tant de soucis

Qu'il est dur de lire l'heure ainsi

4 heures du matin... pfff …

Yeux ouverts ...tout grands !

Pas moyen de se débarrasser du temps

J'écris, j'écris tout le temps

Comprenez mon désarroi naissant

Morphée s'en est allée gaiement

Diantre, fichtre ! Suis-je malade maintenant ?

Ai-je avalé un ver(s) luisant

Pour me permettre d'écrire tout le temps ?

De quoi donc suis-je souffrante

Dites-moi, manant !

Quel diagnostic troublant !

De plumite aigüe ? C'est embêtant ?

Cela me gratte, cela me gratte tout le temps !

Rien à faire! Je vais donc rejoindre mon temps...

Et en profite pour faire… en passant

Un clin d'oeil au beau D'Artagnan

Jeanne-Marie

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A mes fils

Fleurs de vie

Je te désirais tant
Chaton de mon arbre bourgeonnant
Je t'ai de suite aimé
Lorsque je t'ai senti bouger


Puis vint le jour où tu m'as bousculée
Lorsque sur ma peau, on t'a placé
Cadeau merveilleux
Trésor précieux


Tu t'es donné à la vie
Dans toute sa magie
Tu as grandi remplissant mon jardin
De rires enfantins, que de cadeaux divins


Le soir repu, confiant, tendrement
Tu te blottissais contre mon sein accueillant
Tes yeux rivés aux miens, te contant des histoires de fées
Je t'emmenais doucement au pays de Morphée


Et sur la pointe des pieds, sortais un court moment de ta vie
Pour confier ton sommeil aux anges
Qui se bousculaient pour t'avoir, ne fut-ce qu'un court instant, dans les bras
Tant ton sourire était fait d'auras

Et lorsque le soleil se levait
Vers les miens, tu te dirigeais
Pour me permettre de te reprendre la main
Et de t'emmener sur le chemin....

A mes fils, humblement votre maman

Jeanne-Marie

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Automne de vie

Automne de vie

Ce soir…elle était là
Dans le métro… assise devant moi
Les yeux noyés de tristesse
Un être… que la vie blesse

Elle m’interpellait, m’émouvait
Déjà… je l’aimais
J’aurais voulu la prendre dans mes bras
Mais je n’osais pas

Je la trouvais touchante
Elle voulait que je chante
Pour lui rappeler, lui susurrer
Les succès de ses jeunes années

Me suis mise à fredonner
Ai vu ses yeux pétiller
Son âme volait, virevoltait
Valse bénie de la paix

Ses yeux se sont clos… un beau matin
Finis, envolés tous ses chagrins
Il m’arrive encore parfois de la revoir… dans le métro
Avec son béret rouge et sa veste à carreaux


Jeanne -Marie

15.12.2003

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A mon Ange



A mon Ange

Avez-vous déjà parlé à un Ange…
Descendu… doucement, tel un papillon, un soir…
Pour vous prendre dans ses ailes blanches
Et vous redonner l’espoir….

Avez-vous déjà écouté un Ange…
Vous susurrer les plus beaux mots…
Vous inculquant force et courage
Cachant ainsi à vos yeux… ses propres maux

Avez-vous déjà vu pleurer un Ange…
Lorsqu’une aile brisée… il laissait couler une larme
Troublant mélange…
D’une opaline et d’une perle issues de son âme ....

Avez-vous déjà Aimé un Ange…
Si fort… que les cris vous sortaient du coeur…
Tant il était dur de le voir regagner les nuages
Oubliant égoïstement son propre bonheur….

Avez-vous déjà remercié un Ange…
Pour le trésor qu’il vous a légué
Lorsque vous prenant les doigts par temps d’orage…
Terrassé par la foudre… il disait encore vous aimer.


A mon Ami Phil.… qui malade s’oubliait en redonnant

espoir et courage aux autres

Jeanne-Marie… le 06.06.2004

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