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triste réalité..

Les arbres traduisent bien le déclin mondial de cette vie, pourrie par cette pollution ambiante, que la planète endure de plus en plus souvent, grâce ou à cause de ces Hommes qui sont eux la première pollution naturelle. Autrement dit, nous sommes le cancer que la Terre ne parvient pas à soigner. Devrions nous craindre sa colère? Je me le demande... Non je le sais! Je devrais plutôt dire: Je vous le demande...Voilà ce que les Hommes voient...Voilà ce que les hommes disent:"C'est magnifiques! Profitons, car il faut l'avouer, malgré ses quelques tracas quotidiens, la vie est belle''Voilà ce que moi je comprends:"La vie est belle! Nous sommes en train de regarder la mort s'installer dans le coeur de notre planète. Tu parles de pollution à quelqu'un et il te répond que c'est pas ce que lui fait qui vaAGGRAVER la situation. Problème: il s'agit de la réplique favorite de chaques Hommes présent sur Terre."Voilà ce que je comprends en voyant un Hommes s'arrêter pour admirer cette pointe de métal, éclairée par des milliards de petites ampoules.Elle me fait penser à une pointe de flèche dirigée vers les Cieux, comme une menace lancée aux Dieux. Là encore, pour se défiler, de plus en plus d'Hommes se disent non croyant... Facile... Quand les Hommes prendront-ils conscience de la situation? Peut-être quand ils ne seront plus si aveuglèment naif?Peut-être bien...
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Commentaires

  • Très beau poème Liliane! Serai-ce une déclaration? hihihi

    trève de plaisanterie je trouve que votre poème à une belle structure, et j'admire vos comparaison!

    Merci Liliane

  • Homme

    Je suis la flamme de ton foyer dans la nuit hivernale

    Et, au plus fort de l'été,l'ombre fraîche sur ton toit

    Je suis le lit de tes sommeils, la charpente de ta maison

    La table où poser ton pain, le mât de ton navire

    Je suis le manche de ta houe, la porte de ta cabane

    Je suis le bois de ton berceau et celui de ton cercueil

    Le matériau de tes oeuvres et la parure de ton univers

    Ecoute ma prière: ne me détruis pas ...

     

    Merci Anthony.

    Amicalement.

    Liliane.

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