Dans notre numéro sur la traduction, nous avons tenté de juxtaposer le poétique et le sérieux, la théorie et la fantaisie, avec une certaine unité de ton. Il semble, d’après les réactions chaleureuses, que nous ayons assez bien réussi auprès de nos lecteurs. Nous avons donc prévu de récidiver.
Les limitations du format et la décision de ne pas mettre «tout dans le même sac» nous ont retenu de publier une partie des contributions cette fois-ci, notamment une, importante, du poète et théoricien Michel Deguy. Par ailleurs d’autres traductions du poète et prix Nobel Grec Odysseas Elytis, dont c’était le centenaire de la naissance en 2011, n’ont pu prendre place dans le précédent numéro. Cela, ainsi que d’autres contributions intéressantes, sera donc regroupé dans la composition de notre numéro du dernier trimestre 2012.
Nous nous efforcerons de compléter ainsi les perspectives, si riches et variées, concernant cette question du traduire, à laquelle par définition, tout écrivain est attaché puisque « écrire, c’est traduire du silence », comme disait Joë Bousquet.
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Dans notre numéro sur la traduction, nous avons tenté de juxtaposer le poétique et le sérieux, la théorie et la fantaisie, avec une certaine unité de ton. Il semble, d’après les réactions chaleureuses, que nous ayons assez bien réussi auprès de nos lecteurs. Nous avons donc prévu de récidiver.
Les limitations du format et la décision de ne pas mettre «tout dans le même sac» nous ont retenu de publier une partie des contributions cette fois-ci, notamment une, importante, du poète et théoricien Michel Deguy. Par ailleurs d’autres traductions du poète et prix Nobel Grec Odysseas Elytis, dont c’était le centenaire de la naissance en 2011, n’ont pu prendre place dans le précédent numéro. Cela, ainsi que d’autres contributions intéressantes, sera donc regroupé dans la composition de notre numéro du dernier trimestre 2012.
Nous nous efforcerons de compléter ainsi les perspectives, si riches et variées, concernant cette question du traduire, à laquelle par définition, tout écrivain est attaché puisque « écrire, c’est traduire du silence », comme disait Joë Bousquet.
La rédaction de Traversées.