Il fait chaud, trop chaud, pas un souffle de vent, on dirait que la lourdeur de l'air fait plier les oliviers et c'est là qu'épuisé je m'allonge en écoutant le chant des grillons à l'ombre bienfaisante.
Le prof de peinture de mon épouse, Pierre Dulieu, peignait ce genre de scène mais dans des tons de loin plus francs. La tonalité que vous offrez est plus vraie.
Mon épouse c'est Monique De Gelas que vous pourrez trouver sur ce site.
Commentaires
merci Freddy, Pascal.
Il fait chaud, trop chaud, pas un souffle de vent, on dirait que la lourdeur de l'air fait plier les oliviers et c'est là qu'épuisé je m'allonge en écoutant le chant des grillons à l'ombre bienfaisante.
Le prof de peinture de mon épouse, Pierre Dulieu, peignait ce genre de scène mais dans des tons de loin plus francs. La tonalité que vous offrez est plus vraie.
Mon épouse c'est Monique De Gelas que vous pourrez trouver sur ce site.
Cordialement,
Freddy Sosson