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Commentaires

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  Claude HARDENNE 22 mars 2011 at 2:54

  Merci à vous bien que le texte colle davantage à une danseuse seule que je publierai incessamment en billet blogue
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  Quivron Rolande 20 mars 2011 at 1:43

  "Elle danse sur mes paupières

  et je ne puis fermer les yeux". Merveilleuse image qui clôture un poème où la danse est reine. Telles ces femmes nues qui fendaient les mers à l'avant des bateaux. Avec de beaux "seins bombés sans retenue". Dansantes sur la lame des vagues.

  Corsaires de ce temps.
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  De Ro jacqueline 19 mars 2011 at 7:07

  ah ! Quelle  jolie danse des mots
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  Claude HARDENNE 19 mars 2011 at 3:25

  DANSEUSE

   

   

  Or elle

  Telle d’un temple l’architrave

  Tablant sur la puissance grave

  De son corps souple dont l’étrave

  Fend l’air immaculé

  Et danse

   

   

  Oui Elle

  Seins bombés sans retenue sans

  Aucun scrupule et indécent

  Peut-être mais comme elle le sent

  Son corps de flamme

  Se nue

   

   

  Car elle

  C’est la danseuse ourlée de vie

  Dont aucun des pas ne dévie

  D’un absolu qui vous défie

  D’une innocente

  Puissance

   

   

  Elle danse sur mes paupières

  Et je ne puis fermer les yeux

   

   

  Tangente !

   

   

   

   
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  Quivron Rolande 7 mars 2011 at 1:31

  Pour moi qui adore la danse, cet enlacement des corps est magnifique.

  Je sens le mouvement, j'entends la musique et tout se met à danser.

  Vous qui écrivez de si beaux poèmes, en avez-vous un qui illustre cette sanguine ?

   

  Un vieux rêve se concrétise et je danse dans ma tête dans un rêve de soleil. Merci.
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  De Ro jacqueline 25 janvier 2011 at 7:51

  Dire que je sais aquareller mais ceci m'interpelle à nouveau sur mon manque total de connaissance de cette technique. bravo