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Arts et Lettres
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Les pivoines sont près d'un point de force tellurique
dans la terre que mon amie géobiologue,
la fée Viviane m'a marqué par une belle pierre.
Il n'y avait rien de rien sur ce lieu et entre automne 2005 et 20012,
je fus beaucoup dans mes sabots dès que possible.
pour faire le parc, sa pelouse, après défrichement, dépierrement, et
cette années, je contemple et soigne au mieux.
Suis toujours autant étonnée d'avoir créé tout cela...
Et remercie les êtres des plantes et leur Créateur de leur cadeau féérique de présence.
Dans le plus long des jardinets d'entrée, il y avait des cailloux... que j'ai ottés et j'ai fait venir de la terre.
Les autres, terre dure jamais travaillée.
Rien ne m’arrêtait pour planter encore et encore arbustes et fleurs et rajouter des jardinets là et là.
Je n'avais jamais assez de fleurs et je me voyais devenir vraiment folle pour elles :
bien du mal à ne pas les accueillir toutes !
Et comme à l'orée de la forêt ce n'est pas toujours idéal ...
L'huile de coude est assez à la mode.
J'ai planté des centaines de fleurs et arbustes et heureusement
tout ne gèle pas ou ne se fait prendre sa place par les autres ou la mélisse !
Les délicates encolies ont bien diminué par exemple et pour retrouver mes lupins ...
Je me les suis gagnés les parterres fleuris.
Et le parc avec sa grande métamorphose, une drôle d'aventure.
Mais un contact régénérant émane de ce lieu fait avec amour,
une telle harmonie dans la beauté florale et sylvestre que la récompense se vit tous les jours
de la belle saison.
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Les pivoines sont près d'un point de force tellurique
dans la terre que mon amie géobiologue,
la fée Viviane m'a marqué par une belle pierre.
Il n'y avait rien de rien sur ce lieu et entre automne 2005 et 20012,
je fus beaucoup dans mes sabots dès que possible.
pour faire le parc, sa pelouse, après défrichement, dépierrement, et
cette années, je contemple et soigne au mieux.
Suis toujours autant étonnée d'avoir créé tout cela...
Et remercie les êtres des plantes et leur Créateur de leur cadeau féérique de présence.
Dans le plus long des jardinets d'entrée, il y avait des cailloux... que j'ai ottés et j'ai fait venir de la terre.
Les autres, terre dure jamais travaillée.
Rien ne m’arrêtait pour planter encore et encore arbustes et fleurs et rajouter des jardinets là et là.
Je n'avais jamais assez de fleurs et je me voyais devenir vraiment folle pour elles :
bien du mal à ne pas les accueillir toutes !
Et comme à l'orée de la forêt ce n'est pas toujours idéal ...
L'huile de coude est assez à la mode.
J'ai planté des centaines de fleurs et arbustes et heureusement
tout ne gèle pas ou ne se fait prendre sa place par les autres ou la mélisse !
Les délicates encolies ont bien diminué par exemple et pour retrouver mes lupins ...
Je me les suis gagnés les parterres fleuris.
Et le parc avec sa grande métamorphose, une drôle d'aventure.
Mais un contact régénérant émane de ce lieu fait avec amour,
une telle harmonie dans la beauté florale et sylvestre que la récompense se vit tous les jours
de la belle saison.