Monsieur Robert Paul,votre commentaire sur ma peinture <les indignés> me touche beaucoup , rien ne change,quelque soit la révolution,c'est un éternel recommencement .
Et pourtant si cela était autrement(comme en 68) ont pourrait dire ,c'était le temps des fleurs ,ont ignorait la peur
Cela me rappelle une rencontre survenue, il y a 40 ans, avec un homme qui hurlait à l'encontre d'un ami écrivain: "Il faut entrer dans le gueuloir"... Cette toile appréhende d'une manière saisissante quelques signes du temps présent. C'est une démonstration également que l'hypothèse de Fukuyama de la "fin de l'histoire" n'était pas correcte. "Tant qu'il y aura des hommes", l'histoire ne sera pas close. Déjà, Isaïe était optimiste.
Commentaires
Monsieur Robert Paul,votre commentaire sur ma peinture <les indignés> me touche beaucoup , rien ne change,quelque soit la révolution,c'est un éternel recommencement .
Et pourtant si cela était autrement(comme en 68) ont pourrait dire ,c'était le temps des fleurs ,ont ignorait la peur
Cela me rappelle une rencontre survenue, il y a 40 ans, avec un homme qui hurlait à l'encontre d'un ami écrivain: "Il faut entrer dans le gueuloir"... Cette toile appréhende d'une manière saisissante quelques signes du temps présent. C'est une démonstration également que l'hypothèse de Fukuyama de la "fin de l'histoire" n'était pas correcte. "Tant qu'il y aura des hommes", l'histoire ne sera pas close. Déjà, Isaïe était optimiste.