Qui fait courber les arbresDéplacer les glaciers et onduler le sable,Ce vent capricieux qui sait hausser le tonsur la portée des ondes,Ce doux,cet alizé digne de la sagesse des vies orientales,Qui hume les parfums dans les parfums du monde,Dévoile les secrets de nos vieilles chimères,Soulève les nuages,à rire ou à pleurerLes tord à l'infini pour que l'aube étincelle,Oh!Savoir être le ventRecueillir les pouvoirs de la fée MélusineChanter siffler souffler,,,,,Mais à présent le vent s'affole,,,,,
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Commentaires
ChristineDFCh
et l'herbe ondulait sous son poids..." magnifique !
col