Voilà une image qui appartient à ma prime collection du pays natal, bord de mer et suivi de toutes les voies d’eaux. Elle est à jamais au temps où ma vie, ma poésie, prenaient même substance, même parti pris de défense du pays des courages et des avancées lentes bien avant qu’une force indéfinie m’amène à tout rendre par canal de l’écrit, entre jour de soleil, et jour de pluie, et pour que rien ne s’oublie.
Telle image se fit de jeudi en jeudi et de dimanche en dimanche, et par la visite à l’affection de la marraine et du parrain, et ce, chemin du halage qui n’a jamais quitté son nom même si le temps a voulu lui voler et le condamner à l’ennui. Telle image est belle d’un canal qui transporte mille raisons d’être heureux des jeux de ricochets, des rêves posées sur l’eau en voyage, du nombre et du contenu des péniches, du discours vivant de leurs marquises avec les berges, avec les haleurs, hâbleurs à mains et épaules larges et à casquettes, avec un peuple d’enfants de tous les âges, jardiniers, pêcheurs, promeneurs à pied et à bicyclette. Telle image ne peut supposer qu’un chemin de halage à d’autres moments calmes, à crépuscule secret, synonyme de chemins des amants et des déclarations intimes, et aussi des passerelles et du pont sans pareil … Et je dirais etc. à laisser toute autre version à encenser ton tableau, et toi poète du pinceau et d’autre voie de l’eau…
Bonne soirée. Amitiés.
Bonsoir Robert
Voilà une image qui appartient à ma prime collection du pays natal, bord de mer et suivi de toutes les voies d’eaux. Elle est à jamais au temps où ma vie, ma poésie, prenaient même substance, même parti pris de défense du pays des courages et des avancées lentes bien avant qu’une force indéfinie m’amène à tout rendre par canal de l’écrit, entre jour de soleil, et jour de pluie, et pour que rien ne s’oublie.
Telle image se fit de jeudi en jeudi et de dimanche en dimanche, et par la visite à l’affection de la marraine et du parrain, et ce, chemin du halage qui n’a jamais quitté son nom même si le temps a voulu lui voler et le condamner à l’ennui. Telle image est belle d’un canal qui transporte mille raisons d’être heureux des jeux de ricochets, des rêves posées sur l’eau en voyage, du nombre et du contenu des péniches, du discours vivant de leurs marquises avec les berges, avec les haleurs, hâbleurs à mains et épaules larges et à casquettes, avec un peuple d’enfants de tous les âges, jardiniers, pêcheurs, promeneurs à pied et à bicyclette. Telle image ne peut supposer qu’un chemin de halage à d’autres moments calmes, à crépuscule secret, synonyme de chemins des amants et des déclarations intimes, et aussi des passerelles et du pont sans pareil … Et je dirais etc. à laisser toute autre version à encenser ton tableau, et toi poète du pinceau et d’autre voie de l’eau…
IL faut savoir avent tout que "la peinture ou le dessin, sont des écritures", et comme toutes les écritures il faut commencer par A, a, B, b, C, c !..... Comme quand, petits, nous avons appris à écrire . C'est tout pareil.
Commentaires
Bonjour Robert
Comment ne pas répondre et donner à l'art des passerelles !
Bonne journée. Amitiés. Gil
Qu'une si petite aquarelle puisse te faire écrire une si longue tirade me scie. Et me ravi au plus haut point !
Voici une de mes aquarelles devenue muse, c'est pas génial cela???
MERCI, Gil
Bonjour Robert
Voilà une image qui appartient à ma prime collection du pays natal, bord de mer et suivi de toutes les voies d’eaux. Elle est à jamais au temps où ma vie, ma poésie, prenaient même substance, même parti pris de défense du pays des courages et des avancées lentes bien avant qu’une force indéfinie m’amène à tout rendre par canal de l’écrit, entre jour de soleil, et jour de pluie, et pour que rien ne s’oublie.
Telle image se fit de jeudi en jeudi et de dimanche en dimanche, et par la visite à l’affection de la marraine et du parrain, et ce, chemin du halage qui n’a jamais quitté son nom même si le temps a voulu lui voler et le condamner à l’ennui. Telle image est belle d’un canal qui transporte mille raisons d’être heureux des jeux de ricochets, des rêves posées sur l’eau en voyage, du nombre et du contenu des péniches, du discours vivant de leurs marquises avec les berges, avec les haleurs, hâbleurs à mains et épaules larges et à casquettes, avec un peuple d’enfants de tous les âges, jardiniers, pêcheurs, promeneurs à pied et à bicyclette. Telle image ne peut supposer qu’un chemin de halage à d’autres moments calmes, à crépuscule secret, synonyme de chemins des amants et des déclarations intimes, et aussi des passerelles et du pont sans pareil … Et je dirais etc. à laisser toute autre version à encenser ton tableau, et toi poète du pinceau et d’autre voie de l’eau…
Bonne soirée. Amitiés.Bonsoir Robert
Voilà une image qui appartient à ma prime collection du pays natal, bord de mer et suivi de toutes les voies d’eaux. Elle est à jamais au temps où ma vie, ma poésie, prenaient même substance, même parti pris de défense du pays des courages et des avancées lentes bien avant qu’une force indéfinie m’amène à tout rendre par canal de l’écrit, entre jour de soleil, et jour de pluie, et pour que rien ne s’oublie.
Telle image se fit de jeudi en jeudi et de dimanche en dimanche, et par la visite à l’affection de la marraine et du parrain, et ce, chemin du halage qui n’a jamais quitté son nom même si le temps a voulu lui voler et le condamner à l’ennui. Telle image est belle d’un canal qui transporte mille raisons d’être heureux des jeux de ricochets, des rêves posées sur l’eau en voyage, du nombre et du contenu des péniches, du discours vivant de leurs marquises avec les berges, avec les haleurs, hâbleurs à mains et épaules larges et à casquettes, avec un peuple d’enfants de tous les âges, jardiniers, pêcheurs, promeneurs à pied et à bicyclette. Telle image ne peut supposer qu’un chemin de halage à d’autres moments calmes, à crépuscule secret, synonyme de chemins des amants et des déclarations intimes, et aussi des passerelles et du pont sans pareil … Et je dirais etc. à laisser toute autre version à encenser ton tableau, et toi poète du pinceau et d’autre voie de l’eau…
@ Carl, pour les factures, j'ai le même problème, ... "difficile à colorier".
@ Nicole profitez de vos envies tant que pouvez... Allez au fil de l'eau... et trouvez le bonheur. Merci d'aimer cette aquarelle.
@Carl, tu as la peinture des mots, ils colorient nos images dans MotzArt.
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