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La sentence

huile sur toile 100 x 100 cm
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Commentaires

  • et bravo pour la mise en vedette de cette superbe oeuvre

  • Merci Artemisia! les sentiments contradictoires que tu soulignes sont incarnés ici par les deux sculptures latérales: l'une exprimant le désespoir, l'autre la résignation...

  • J'adore cette scène : Sous ce ciel de pleine lune l'accusé s'est levé pour entendre la sentence ... Un drame se joue et la foule  s'agite  ... J'ai ressenti la haine,  la satisfaction, le contentement même de certain, mais aussi l'importance du juge qui annonce. Beaucoup de vie et d'humour bravo ! Artemisia 

  • Hé oui Liliane, un jugement n'arrête pas la vie ni ses conflits. D'accord ou pas avec la sentence?

    Innocent ou coupable? Peut-être dans cette foule se trouvent de futurs condamnés...

  • administrateur partenariats

    J'ai déjà commenté votre oeuvre, Claude, et j'y reviens souvent.

    J'y découvre à chaque fois un nouveau symbole, ici, le doigt accusateur pointé vers une dame, d'accord, pas d'accord ? Ce geste distrait l'oeil en nous éloignant du personnage central, donnant une profondeur supplémentaire à l'arrière-plan. Et ce couple qui s'embrasse, je ne l'avais pas vu. Heureux de la sentence ? Une tranche de vie, en somme...

  • En effet Martine: en ce monde où l'on est formé à cacher ses émotions positives, les productions artistiques servent de médium puissant à ces mêmes émotions. Statue du désespoir à gauche et statue de la résignation à droite...

  • Les statues sont plus humaines , tristes et bouleversées que le sont ces juges, que le sont ces gens qui ne pensent qu'à eux.

  • Hé oui Michel! on a volé les juges intègres...

  • "M. le bailli était-il honnête homme ? Je n'oserai dire le contraire .Vous savez que le Code définit les voleurs, et que la société tient pour honnêtes gens tous ceux qui sont en dehors de la définition ; or, M. le bailli n'était point défini par le Code. M. le bailli était parvenu à diriger non seulement les affaires, mais encore les plaisirs de la ville. Comme magistrat, M. le bailli était un personnage assez peu recommandable ; il comprenait bien la loi", Claude Tillier (Mon oncle Benjamin)
  • merci à vous Marijo ainsi que monsieur Paul dont j'ai apprécié la subtile analyse

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