J'ouvre le tiroir des carapaces,J'en enfile une,J'ouvre le tiroir des illusionsJe le remplis de tes mensongesJe ferme la porte aux souvenirsAux voyages, aux miragesJe tourne le dosLe regard mortVitreux,Je te maudis comme je t'aime,Je prends la canne blancheCelle des chemins,Longs et traîtresJe laisse la lune,Pleine et lourde de rêves oubliésMe chauffe à ses rayons de glaceEt puis,Je continue la route,Seule,TellementJe te maudis comme je t'aime.Extrait de .......vers l'autre après...Nadine LejeunePhotoNadine LEJEUNE
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Le voici encore au plus fort de sa vie
La peau douce et veinée de tant de jours,
de tant d'amour
se laissait effleurer d'un revers de la main
Le corps à fleur de rêve.
les bras chauds, puissants, élancés vers les cieux
Les pieds plongés aux eaux limpides de sources roucoulantes.
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La peau douce et veinée de tant de jours,
de tant d'amour
se laissait effleurer d'un revers de la main
Le corps à fleur de rêve.
les bras chauds, puissants, élancés vers les cieux
Les pieds plongés aux eaux limpides de sources roucoulantes.
Nad