Madame, auriez-vous deviné que j'ai peint cette demoiselle en pensant à "La jeune Parque" qui court jusqu'à la mer pour l'interroger d'un doute qui la hante ? En tout cas vos vers si bien empreints de sensualité honorent à merveille mon oeuvre inspirée du grand poète qu'était Paul Valéry.. Je vous en remercie amicalement.
Commentaires
très belle allure
Paul Valéry ! Un grand.
La gracieuse vestale est sculptée toute entière
comme une déesse
et son lien aux flots bleus de la mer
est une évidence due à vos prouesses !
Madame, auriez-vous deviné que j'ai peint cette demoiselle en pensant à "La jeune Parque" qui court jusqu'à la mer pour l'interroger d'un doute qui la hante ? En tout cas vos vers si bien empreints de sensualité honorent à merveille mon oeuvre inspirée du grand poète qu'était Paul Valéry.. Je vous en remercie amicalement.
Sublime!
Hummm ...
Ces transparents blancs-rosés
sur la peau de la vestale bronzée !
Et ces bleus de rêve écumés...
qui ouvrent les horizons de l'été.
Merci ami peintre Ribot
de ton joli tableau
qui nous émerveille
par cette gracieuse sensuelle
mettant en valeur la mer et le ciel.